Le Champ Lexical Du Théatre

1952. 4-Le genre Le texte est une pièce de théâtre. Il s’agit d’un genre littéraire que le philosophe et écrivain camerounais Hubert Mono Ndjana définit dans un article intitulé : « Le théâtre populaire camerounais » en ces termes : « l’art de la représentation. C'est-à-dire une reproduction de la vie qui se donne à voir. L’existence se laisse imiter sous forme de spectacle organisé en séquences significatives : actes, scènes, tableaux etc. […] Le théâtre apparaît donc comme une représentation spectacularisée

Baroque est assez libre. Il a republié la pièce en 1660 en changeant le côté baroque en classique. On pourrait poser comme problématique : Comment cet extrait de dénouement montre t'il les pouvoirs de l'illusion théâtrale et fait il l'éloge du théâtre et du métier de comédien ? En quoi cette scène est elle bien une scène de dénouement ? ALCANDRE MANIPULATEUR ET DOUBLE DU DRAMATURGE : Il attise la douleur de Pridamant. Dans sa première réplique, il insiste sur les aléas de la fortune

en un acte dont le titre est un clin d’œil à l’Impromptu de Versailles de Molière, met en scène la troupe de Louis Jouvet en pleine répétition : comme dans la pièce de Molière, Giraudoux exploite dans cette pièce le procédé du procédé du théâtre dans le théâtre. Dans cet extrait, les acteurs engagent la discussion avec Robineau, un visiteur, à propos du public. Nous verrons comment ce passage exploite le procédé de mise en abyme pour proposer une vision originale de l’interaction qui existe entre

décorateur lui-même. - vers 329 : « perspectives » - vers 330 : « faux jours » Fonctionnement en trompe l’œil. - vers 327 : « Joint qu’on voit mieux de loin ces raccourcissements » B° La minosie : L’art d’imiter le réel, la nature. Le théâtre se doit de donner l’illusion de réel. - Au niveau de la décoration : - vers 324 : « Faire un jour naturel, au jugement de yeux » - vers 331 : « Et, comme à la nature, est nuisible à notre art » Décorateur prééminence de la

sera la proie des chacals et on prépare les funérailles d’Etéocle. - Une scène d’exposition de tragédie. ~> Personnages de hauts rangs : Créon le Roi + Ismène, Antigone des princesses. ~> Omniprésence de la mort : « mort » clôt le prologue. Champs lexical. ~> La fatalité : héros qui ne peut rien contre son destin. + Solitude : Créon Antigone et le messager sont en retrait « pense » « médite » « rêve » = Enfermés les autres personnages ne peuvent rien faire pour eux. Antigone. Solitude perceptible

 Au XIXe siècle, le théâtre voit l’apparition d’un nouveau genre qui rompt avec la tragédie et mêle les différents registres : c’est le drame romantique. Ce mouvement littéraire est incarné par Victor Hugo, homme politique influant et un des plus grand poète, dramaturge et romancier du XIXe siècle, auteur de nombreuses œuvres tel que Ruys Blas, dont nous allons étudié un extrait. Cette pièce raconte les péripéties d’un laquais, Ruys Blas, au service d’un grand d’Espagne : Don Salluste

au genre de l’autobiographie = idée En effet, on trouve des indices qui le montrent comme, la première personne : « Je », « me »… De plus, le champ lexical de l’enfance : « enfant », « petit ». Enfin, le champ lexical du souvenir est un indice de ce genre : « me souviens ». - la première personne : - le champ lexical du souvenir ; - le champ lexical de l’enfance. Les contraintes du genre autobiographique • préserver l’anonymat de certains proches (noms changés, surnoms, initiales…)

|PROCÉDÉS |GENRES | |LE REGISTRE TRAGIQUE |Dans la tragédie : la |La fatalité, le destin, la mort, la |Champs lexicaux de la fatalité, de la mort, de la |Tragédies, | |Un être, placé en situation de victime, est confronté à des forces |terreur et la pitié. |puissance des passions, le désespoir,|passion désespérée, figures de style

’hyperbole [ a tout lu, a tout vu ] suivi du GN [ un homme universel ] qui viennent amplifier le savoir d’Arrias et l’étendre à toutes les connaissances - or dans cette première phrase La Bruyère nous fait comprendre implicitement grâce au champs lexical du mensonge [persuader, mentir, se donne pour tel] qu’Arrias est en fait un ignorant .- La Bruyère procède donc à la satire du personnage dans cette première phrase, qui est en fait une antiphrase, en soulignant justement qu’Arrias ne sait RIEN

une scène de comédie traditionnelle qui dénonce l’injustice et l’inégalité. I- Scène de comédie On reconnaît que cette scène est une scène de comédie par son coup de théâtre son registre comique et son dynamisme A)Scène de reconnaissance : coup de théâtre Comique de situation Les stichomytie signal qu’on est dans un coup de théâtre. Scène vive stichomythie accélération Il présente sa tache de naissance comme un hiérogliphe qq chose de divin. Il se présente comme un héro de roman, il a été enlevé