Le Cardinal du Kremlin

formeraient les Cubains à ces matériels. Une délégation militaire se rendrait à Cuba afin d’étudier tout besoin complémentaire. Le 11 mai, le Présidium approuvait une lettre pour Castro 33. Ce document montre, avec la décision du 12 avril, que le Kremlin s’engageait de façon très lourde pour Cuba. La lettre contenait une invitation à Fidel Castro de visiter l’URSS. L’aide militaire serait gratuite pendant deux ans et inclurait des « missiles », mais il s’agissait ici de missiles manifestement «  défensifs 

ecclésiastiques avec, parmi eux, des cardinaux de la curie, des achevêques, des évêques, des prélats et des laïques. On fit une vraie chasse aux sorcières pour trouver ceux qui avaient publié cette liste au lieu de demander des comptes aux personnes citées sur cette liste. Tout commentaire est superflu. Entre autres noms, celui du secrétaire d'Etat du cardinal Jean Villot, du ministre des Affaires étrangères du Vatican Agostino Casaroli, du cardinal Sebastiano Baggio, du cardinal Ugo Poletti et du chef de la

ecclésiastiques avec, parmi eux, des cardinaux de la curie, des archevêques, des évêques, des prélats et des laïques. On fit une vraie chasse aux sorcières pour trouver ceux qui avaient publié cette liste au lieu de demander des comptes aux personnes citées sur cette liste. Tout commentaire est superflu. Entre autres noms, celui du secrétaire d'Etat du cardinal Jean Villot, du ministre des Affaires étrangères du Vatican Agostino Casaroli, du cardinal Sebastiano Baggio, du cardinal Ugo Poletti et du chef de

décembre 1967 aux Etats-Unis : En une seule année (Robert Laffont). On y trouvera mêlé au récit des tribulations dlver- ses qu'elle a connues au cours de ces douze mois, des souvenirs de la vie en U.R.S.S. et sur la grande et petite histoire du Kremlin. Chez le même éditeur paraît un ouvrage collectif sous la direction de Jean Chevalier et Alain Gheerbrant : Dictionnaire des symboles. Il s'agit d'une vaste anthologie abondamment illustrée de l'imaginaire et de l'inconscient collectif : les mythes

girafe En 1897, quel compositeur russe a adapté pour l'opéra le “Mozart et Salieri” de Pouchkine ? Rimski-Korsakov Sur quel lac des États-Unis se trouve la ville de Buffalo dans l'État de New York ? Le lac Érié En Suède, à quel point cardinal peut-on voir le soleil se lever ? A l'est Quel faon de dessin animé inspira l'un des surnoms de Michael Jackson ? Bambi 14 Questions Réponses En 1969, dans quelle comédie musicale Julien Clerc incarne-t-il le personnage de Claude

images organiques. Si un Lénine, de sa marginalité exilée, opérait et opinait selon le modèle révolutionnaire (notre B), une fois établi au Kremlin il ne voulait plus entendre parler des changements radicaux. Staline, dans sa fameuse lettre sur la linguistique, allait exclure toute évolution explosive en communauté communiste. Et puisque nous parlons du Kremlin, parlons aussi d'un autre haut lieu hiérarchique, le Vatican. L'Eglise de Rome, en sortant des catacombes, quitte son lieu d'origine (et

Cependant, il y en a un d’invisible que l’on peut à peine sentir et il pèse sur nous. D’où vient-il ? Où est-il ? Personne ne le sait ou bien ne veut le dire. Ce joug est secret même pour nous les vétérans des sociétés secrètes ». En 1925 Son Éminence le Cardinal Caro y Rodriguez, Archevêque de Santiago au Chili publia un livre intitulé « Le Mystère de la Franc-Maçonnerie dévoilé » afin d’exposer comment les Illuminati, les Satanistes et les Lucifériens avaient constitué une société secrète à l’intérieur

régulièrement compilés par la Sécurité d’État) montre certaines réactions de la population, en janvier 1953, peu de temps après qu’ait été annoncé, dans la presse et à la radio, le « complot des médecins » (un mythique complot de médecins juifs du Kremlin, qui auraient assassiné des dirigeants soviétiques et se seraient apprêté à assassiner Staline lui-même). On constate que cette nouvelle fut accueillie très diversement, parfois avec scepticisme, mais aussi parfois avec approbation. Cette nouvelle

largesses : elle fournit n’importe qui en inconscience, en ignorance, en amour-propre, en orgueil. De plus, chacun l’adore au fond de soi-même, et en fait le fer de lance de sa conduite – ainsi le juriste, le théologien, l’écrivain, le prince, le cardinal et, évidemment, le pape ! Toute cette critique iconoclaste et malicieuse est fort bien comprise à l’époque et n’a rien perdu de son acuité, voire de son actualité… L’humanisme Tout refaire, c’est le mot d’ordre, le leitmotiv des artistes, des intellectuels

largesses : elle fournit n’importe qui en inconscience, en ignorance, en amour-propre, en orgueil. De plus, chacun l’adore au fond de soi-même, et en fait le fer de lance de sa conduite – ainsi le juriste, le théologien, l’écrivain, le prince, le cardinal et, évidemment, le pape ! Toute cette critique iconoclaste et malicieuse est fort bien comprise à l’époque et n’a rien perdu de son acuité, voire de son actualité… L’humanisme Tout refaire, c’est le mot d’ordre, le leitmotiv des artistes, des