Le Blanc et le Noir

quoi le problème noir révèle-t-il les limites du modèle d'intégration américain? C'est au début du XVIIème siècle , que dans le cadre du commerce triangulaire, des populations noires venues d'Afrique ont été amenées dans le sud des Etats-Unis notamment, dans le but de cultiver les plantations.Plus de trois sicèles après, les descendants de ces esclaves ainsi que d'autres populations telles que les Hispaniques, ne jouissent toujours pas des mêmes droits que leurs concitoyens blancs, et sont, pour

Luther King, prononcé le 28 août 1963, devant le Lincoln Mémorial de Washington, à l’issue d’une grande marche pour l’emploi et les Libertés, qui réunissait près de 250 000 personnes. Il illustre clairement le désir de voir à l’avenir les Noirs et les Blancs coexister en harmonie et vivre égaux. Ce discours de M.L. King, généralement considéré comme l’un des plus grands et des plus marquants du xx ° siècle, rentre dans le domaine de l’art du langage et dans la thématique « art, état, pouvoir ». Il a

Texte choisi : Bonniol Jean-Luc, la couleur comme maléfice. Une illustration créole de la généalogie des Blancs, Paris, Albin Michel, 1992 Jean-Luc Bonniol est professeur d’anthropologie à l'Université Paul Cézanne Aix-Marseille 3, et travaille à la Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme. Il est Spécialiste des sociétés créoles, et a mené des recherches sur l’impact de la « race » dans la structuration sociale et dans les processus identitaires. Ses nombreux travaux lui ont permis

des évènements personnels , aux souvenirs , aux pensées , aux sentiments de Marjane .L’emploi du dessin permet par ailleurs d’exprimer les horreurs de la guerre tout en les rendant supportables . Oui mais comment ? En utilisant les ombres, le noir , le blanc et les dégradés de gris . Les croix remplacent la vision d’un mort . B) C) D) E) F) G) H) I) L’effet comique des images : un espace dédramatisé Les récits de guerres , les moments douloureux alternent

« qu’est-ce que la justice ? », les premiers mots et images qui nous sont venus à l’esprit ont été « Thémis » avec le glaive tranchant et la balance, « tribunal », « juges/magistrats », « marteau » pour trancher les décisions et les couleurs rouge, noir et blanc qui rappellent le code civil et les robes des juges. De plus, nous avons pensé à la prison, au respect, à l’autorité, à la Constitution mais aussi au fait que la justice est un langage compliqué et non accessible à tous. Afin d’illustrer notre

* Cadre de lit blanc qui donne un contraste avec un mur foncé. Existe aussi en noir (Ref.00005A01 / 00005A02) * Table de nuit blanche complète parfaitement son lit. Existe aussi en noir (Ref.00006B01 / 00006B02) * Bibliothèque blanche modernise la pièce. Existe aussi en noir (Ref.00007G01 / 00007G02) * Lampe de chevet qui illumine la pièce. Existe aussi en noir (Ref.00009F01) Un petit salon moderne accueillant et lumineux. * Fauteuil en cuir blanc facile à déplacer

entre deux effets de couleurs qu’il faut comparer, des différences ou des intervalles sensibles. Lorsque ses différences atteignent un maximum , on parle de contras- tes d’opposition ou de contrastes polaires. Ainsi les oppositions chaud /froid, noir/blanc, petit grand , poussés à l’extrême sont des contrastes polaires. Pour les actions caractéristiques des couleurs on constate sept con- trastes différents: 1• le contraste de couleur en soi 2• le contraste clair obscur 3• le contraste chaud/froid

Un film noir et blanc Wilder fait le choix totalement justifié, de tourner le film en noir et blanc , alors que la couleur existe depuis longtemps, afin de respecter l’esthétique de l’époque. Avant même que le tournage ne débute, Marilyn s’oppose à cette volonté, son contrat avec la Fox stipulant qu’elle ne tournerait que dans des films en couleur. Wilder insiste, prétextant que le maquillage de Curtis et Lemmon passera mieux à l’écran si le film est en noir et blanc. Marilyn accepte

les hommes (à gauche) et les femmes (à droite) sont séparés. Les hommes portent des costumes noirs et plusieurs d'entre eux un chapeau haut de forme. Les femmes quant à elles portent des coiffes blanches et des capuches noires ; plusieurs d'entre elles tiennent un mouchoir blanc dans la main et pleurent le mort. À partir des données des archives municipales et des actes notariés, les historiens ont pu donner un nom à presque tous les personnages, répartis en petits groupes distincts. 2 Analyse

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