Le Bien Et Le Mal Le Chevalier Double

étaient déjà dans les coutumes. Ainsi, on peut voir des femmes devenir prêtresse, médecin, scribe... et même pharaon L'égyptien n'avait qu'une seule femme. Elle était traitée d'égale à l'homme. L'homme s'engageait à protéger son épouse et à assurer son bien-être matériel La femme celte était relativement indépendante de l'homme, elle pouvait posséder des biens propres : bijoux, bétail.... Le mariage était une institution souple, résultat d'un contrat dont la durée n'était pas forcément définitive. En

la plèbe qui se placent dans la continuité des Gracques (104 et 103). Ils fondent de nouvelles colonies dans les provinces, font des lois imposant une certaine mixité dans les jurys pour les procès politiques (de corruption, juré de sénateurs et chevaliers par exemple). C’est un enjeu fondamental pour Rome. Marius se défini comme popularis, et se place dans la lignée des Gracques. Cependant, il va refuser de soutenir les 2 tribuns concernant une loi contre le crime de haute trahison, les personnes

portrait de Mme de T. est introduit par les mots « vous connaissez » (l.41), et se termine par « vous saurez » (l.49) → on trouve le champ lexical de la connaissance. ___═> But recherché : Merteuil doit savoir, mais aussi le lecteur (principe de la double énonciation) → ça ____._.permet de récapituler l'histoire qu'un personnage ne connait pas entièrement et que le lecteur ne ____._.connait pas du tout. ___II)__Les relations entre Valmont et Merteuil. Au début de la lettre, les relations entre

ces terres et vont comme on va le constater a travers cet édit tenter avec le peu de moyens qu'il leur reste de mettre un peu d'ordre. L'edit traite donc de la question des fiefs appelés également bénéfices, il regle la question de la transmission bien qu'au départ le fief n'ai été que viager, l'empereur va faire intervenir son pouvoir de justice qui pourraient regler les quelques conflits qui pourraient intervenir et enfin l'empereur va rappeler quelques privilèges qui lui sont dus comme celui du

). Il comprend également les indications silencieuses (les  didascalies , souvent signalées par une typographie particulière). 1 Une situation d'énonciation particulière On parle de  double énonciation  car : – l'auteur et le personnage qui parle sont simultanément énonciateurs ;– le personnage s'adresse aux autres personnages comme aux spectateurs. L' illusion théâtrale  repose

plaidoyer au narrateur pour lui-même ? Plan : I/ Récit de la rencontre : C’est un récit à la première personne donc c’est un récit subjectif : on a le point de vue du chevalier sur la scène. 1°) Indices temporels a) Le passé : Il s’est passé du temps entre la rencontre et le récit qui en est fait et donc le chevalier a du recul sur ce qu’il lui est arrivé avec l’expérience qu’il a acquise depuis. l.1 : « Hélas, que ne le marquais-je un jour plus tôt » l.25 : « son penchant au plaisir

et qu'elle a tourné la tête. Un autre soir, il fait un rêve étrange dans lequel, après qu'une rafale de vent venant de la fenêtre ouverte a agité la tapisserie, Omphale sort du mur et lui adresse la parole. Elle lui dit qu'elle ne lui veut pas de mal, qu'elle est la marquise de T*** que son mari a fait peindre en reine de Lydie, et enfin lui annonce qu'elle l'aime. Ils sont interrompus par Baptiste, son oncle, qui entre dans la chambre. Le narrateur, qui pensait avoir rêvé, est surpris de trouver

1. Découpage séquentielle du récit : PREMIERE PARTIE «Je suis obligé de faire remonter mon lecteur au temps de ma vie où je rencontrai pour la première fois le Chevalier Des Grieux. Ce fut environ six mois avant mon départ pour l'Espagne. » Pacy sur Eure : Le marquis de Renoncour en se promenant à Pacy rencontre un attroupement de femme prête à être embarqué direction le Havre pour ensuite être emmené de force en Louisiane (USA). Parmi ces femmes, il en remarque une d’une extrême beauté

la chute de l'empire Romain, environ, jusqu’au milieu du 11ème siècle, le second âge féodal se déroule du milieu du 11ème siècle à la prise de Constantinople par les Turcs en 1453. C’est une période d'extrême précarité de l'existence, la nature est mal dominée, sauvage, du fait d’un outillage encore rudimentaire et de techniques agricoles peu performantes : (la jachère, l’attelage au collier, l’araire), les rendements sont faibles, l’autosuffisance alimentaire rarement atteinte. Le commerce se développe

C)- le jeu du contexte La croisade apparaît elle aussi comme une partie de hasart même si elle est jouée d'avance: le roi a la main, Tervagan et saint Nicolas en sont les joueurs. Si le trésor est volé, la chance du roi sort; si le trésor est doublé, c'est la chance du prudhomme et de saint Nicolas. Le roi commence par prendre l'avantage, mais passe son tour, et laisse jouer un nouveau coup en accordant un délai au prudhomme. Ce-dernier finit par remporter la partie. Dieu jette ainsi les dés