Lard

propulseurs à crochet. tige rectiligne avec le crochet à une extrémité avec une figure animale sculptée (s'observe dans le Périgord et les Pyrénées) - les lampes pierres brutes ou légèrement aménagées servant à transporter dans un creux un morceau de lard enflammé une a été découverte dans la grotte de Lascaux * les éléments de parure : - les pendeloques : objets à suspendre (époque du magdalénien). - les contours découpés : viennent de Dordogne ou des Pyrénées. Représentent des têtes de chevaux

champ lexical ( « avachit » ligne 1, « molle » ligne 2, « elle en prenait à son aise » ligne 5 ). Le narrateur utilise aussi des expressions populaires et imagées pour la qualifier : « les côtes lui poussaient en long » ou encore « elle sauvait son lard ». De plus elle est désormais un peu épicurienne sur les bords, puisqu'elle décide de prendre du « plaisir » ( ligne 37 ) et « du bon temps » ( ligne 38 ) ne tient plus compte du regard des gens, en particulier celui des Lorilleux comme le prouve

toujours un amour profond. De là le malentendu qui aboutira à la tragédie. Julien l'impatient confond réserve et indifférence. Au séminaire de Besançon, Julien est haï par ses camarades, des espèces de paysans affamés dont l'aspiration suprême est "le lard aux œufs du dîner" ; il y fait la rencontre de l’Abbé Pirard qui percevra bien son ambition, mais qui le protégera aussi. Il passera bien des moments pénibles jusqu'au jour où l'abbé Pirard lui propose de devenir le secrétaire du Marquis de La Mole

l'Inquisition qui condamne des personnes selon son bon vouloir sans raisons convaincantes ou logiques. Un Biscayen est condamné car il a épousé sa commère (la marraine de son filleul), deux portugais sont également punis car ils ont refusés de manger du lard (signe d'appartenance à la religion juive), mais les raisons pour lesquels sont condamnés Pangloss et Candide sont encore plus insignifiante : l'un est condamné pour avoir parlé et l'autre pour avoir écouté. Ces trois arrestations forment une gradation

ressemblait beaucoup à ce fameux grand-père mort à Rio de Janeiro, il avait comme lui les cheveux blonds et les yeux bleus. Ce petit Paul était très gourmant, sa mère lui faisant expulser à plusieurs reprises noyaux de pêches, olives noires ou lanière de lard. Joseph : Le père de Marcel qui est instituteur et un grand érudit, élevé par l’école républicaine, il demeure complètement anticlérical. Augustine : La mère de Marcel, couturière et très sensible.Ce dernier est riche, mais trop « vieux » pour

l’homme, par lui-même, n'est, à l’origine, qu’une sale bête… » Et puis, Paul va, à ses yeux, devenir un assassin quand, caché dans une tranchée, un ennemi va tomber à côté de lui. Sans se poser de question, par réflexe, il va lui sauter dessus et le larder de coups de couteau. Il sera immobilisé avec lui dans la tranchée et l'entendra râler pendant des heures. Il s'en approchera et découvrira dans les yeux de l’homme toute la terreur du monde, tout l’effroi du monde… Ce Français qui va expirer à côté

toujours un amour profond. De là le malentendu qui aboutira à la tragédie. Julien l'impatient confond réserve et indifférence. Au séminaire de Besançon, Julien est haï par ses camarades, des espèces de paysans affamés dont l'aspiration suprême est "le lard aux œufs du dîner" ; il y fait la rencontre de l’Abbé Pirard qui percevra bien son ambition, mais qui le protégera aussi. Il passera bien des moments pénibles jusqu'au jour où l'abbé Pirard lui propose de devenir le secrétaire du Marquis de La Mole

disent ces légumineuses. N’est-ce pas, monsieur Ahmed ? Il faut aller au devant du public, pas devant, mais au-devant... LES CITROUILLES (excitées et se rapprochant du tracteur). Sous sous pour les sous du boul’vard Sous sous pour les sous du gros lard ! À bas le fisc du théâtre fécal ! Pour le privé dégrèvement fiscal ! AHMED (leur donnant du bâton). Oh   ! Oh ! Au large, potirons abjects ! (Vers madame Pompestan.) Si vous écoutez ces citrouilles, si vous donnez un seul centime à la télé caca, je

sont consommés par l’homme depuis les temps les plus anciens. Leurs utilisations ont évoluées au cours des siècles. Aux 14e et 15e siècle, on utilise parfois le bacon, le lard et les autres graisses animales comme corps gras. Le beurre est délaissé par la grande cuisine qui lui préfère l’huile les jours maigres et le lard les jours gras. Ce n’est qu’au début du 15e siècle que l’on commence à utiliser le beurre en le chauffant avec les poissons, les crevettes et les amandes. A cette époque,

poisson était frais. Je m’en suis léché les babines. J’en ai pris deux fois. » On note également la présence d’énumérations asyndétiques (c’est à dire sans conjonctions de coordination) : « Nous avons mangé de la soupe, du poisson, des pommes de terre au lard, de la salade anglaise » qui traduisent un manque de naturel et une forme d’automatisme. L’artificialité des répliques de Madame Smith est flagrante quand elle parle de sa fille : « Ça se voit qu’elle n’a que deux ans. Elle s’appelle Peggy « . Préciser