Langueux

j’aille à la mer! Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache! Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai. Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.

que j'aille à la mer ! Si je désire une eau d'Europe, c'est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesses, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai. Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leurs sillages aux porteurs de cotons, Ni traverser l'orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.

permet à l’homme de vaincre la mort : Dans la rêverie décrite, l’ « immense ciel », l’« éternelle chaleur »  et l’« infini de l’azur tropical » embrassent l’âme du poète, lequel est devenu maître de l’univers et surtout du temps : « je retrouve les langueurs des longues heures passées ». La vision baudelairienne de l’amour trouve son appui essentiellement sur trois figures de style : - La métonymie (et plus précisément la synecdoque) : la chevelure qui renvoie à la bien-aimée. - La métaphore filée : respirer

principal, des Esseintes, un antihéros esthète et excentrique, et constitue une sorte de catalogue de ses goûts et dégoûts. I Résumé ● À travers le personnage de des Esseintes, Huysmans n'a pas seulement résumé et immortalisé les torpeurs, les langueurs, les névroses vénéneuses et perverses du siècle finissant. Car des Esseintes est aussi un héros kierkegaardien, à la fois grotesque et pathétique, une des plus fortes figures de l'angoisse qu'ait laissées notre littérature. Fils spirituel de René

anciennes cartes et atlas du XVI et XVIIème siècle qui faisaient rêver les voyageurs passionnés par la recherche du paradis terrestre. Les contrées rêvées par le poète sont un paradis exotique : - la chaleur : « sous l'ardeur du climat » (v.12). - la langueur : on s'y pâme avec sensualité. - la richesse et le luxe : « dans l'or et dans la moire » (v.18), « le rubis, la perle et le saphir » (v.32). III) Le poète se rêve l'égal de Dieu. 1) Une connaissance universelle. Grâce à la puissance de l'imagination

« laissez mon pâle front s’appuyer sur ma main » ce vers nous indique comme une sorte de faiblesse du poète en effet, « pâle front » est une antéposition de l’adjectif mettant en relief la pâleur du front et « s’appuyer sur ma main » une sorte de langueur de la part du poète. Une idée de faiblesse qui est renforcer par une idée de solitude étant exprimé par « Au poète, courbé sur sa lyre pensive » on remarquera la mise en relief du « Au poète » placé en tout début de vers, étant détaché du reste du

entre-closes, elle se tordait la taille, balançait son ventre avec des ondulations de houle, faisait trembler ses deux seins » , sa danse met en valeur sa sensualité, elle danse avec art « d’une manière Indolente » et « toute sa personne une telle langueur » . Elle exécute plusieurs danses comme le montre l’énumération des danses « Elle dansa comme les prêtresses des Indes, comme les Nubiennes des cataractes , comme les bacchantes de Lydie » . Sa beauté et sa danse font tout les hommes qui assistent

montre bien que Titus est perdu dans le choix de sa décision, au cœur du dilemme. Ensuite nous pouvons voir qu'il y a une véritable opposition entre l'amour et la gloire, cette opposition est montrée par le champs lexical de l'amour : « cœur », « langueur », « charme », « adore », « aime » ; qui s'oppose au champ lexical de la gloire : « Rome », « empire », « lois », « l'état ». Pour finir, Titus hésite toujours et n'est pas près a assumer sa décision, il porte donc un regard critique à son

excellente dans la ville jusqu ’au jour où elle disparut, sans que personne ne sut ce qui lui était arrivé. Quelque temps après, le docteur Torty devint le médecin de la comtesse de Savigny, qui dépérissait chaque jour davantage d ’une maladie de langueur. Au cours d ’une visite de routine, il reconnut Hauteclaire en la personne d ’Eulalie, femme de chambre de Madame. Abasourdi, il observe le comportement de la jeune femme, évidemment complice du comte. Personne, pas même la comtesse, ne soupçonnait

( l.14 ) ne se réduit pas à une stricte précision calorique mais connote l’attitude morale d’Emma . Son «  assoupissement  » ( l.15 , associé à la « langueur ») est provoqué par la perception de certaines odeurs ; Couvent = lieu typique de l’illusion et du rêve , de l’engourdissement de la conscience (et non de l’éveil de l’intelligence