Langage des fleurs

Objet d'étude: La poésie du 19eme et 21eme siecle Séquence 1: ‘‘ Les Fleurs du Ma l’’ de Baudelaire Lecture linéaire 1: “intérieure” du recueil Les ContemplationsAuteur: Victor HugoDate: septembre 1841Introduction: “Je vais vous présenter une lecture

éveil le rendent plus capable de ressentir les inégalités et les injustices. Il devient alors une sorte de caisse de résonance. Baudelaire puis les poètes symbolistes voient dans le poète celui qui « comprend […]/Le langage des fleurs et des choses muettes » (« Élévation », Les Fleurs du Mal). Victor Hugo, dans la Fonction du poète, explique pourquoi le poète est plus spécialement désigné pour combattre l’injustice : « rêveur sacré », il est inspiré, il voit plus loin que les autres. Mage, sa

dans ce poème.Il y a tout d'abord le thème de la nature que nous retrouvons dans plusieurs strophes,dans la première strophe (« Des montagnes, des bois, des nuages, des mers ») ou encore dans la dernière strophe (« Comme les alouettes », « Le langage des fleurs »).Il y a aussi le thème de la tristesse et du bonheur ou encore du sombre et de la lumière plus précisément que nous pouvons trouver tout au long du poème. Dans la première strophe (« Par delà le soleil,par delà les éthers »),dans la seconde

BAUDELAIRE : « Correspondances »,  Les Fleurs du Mal , 1857 Introduction: - Relations entre l’Homme et la nature définies dans ce poème - Nature : espace sacré, lieu de déchiffrement de signes - Ecrit au présent, construit sur un jeu de comparaisons  fait apparaître l’existence d’une multiplicité d’analogies (entre le monde & l’homme, les sens/perceptions) - Ces analogies sont soulignées par le pouvoir des mots : les corresp HORIZONTALES se doublent de corresp VERTICALES I-L’importance

I) Poème l’Albatros Ce poème est extrait de "Spleen et idéal", la deuxième partie du recueil Les Fleurs du Mal. « L’albatros » se présente comme une scène de vie en mer dans laquelle les marins s’en prennent cruellement à des albatros. L'albatros traduit chez Baudelaire la conscience d'être différent des autres. Baudelaire a recours à une image très suggestive pour dépeindre sa propre condition dans une société qui l'ignore complètement. L'image de l'albatros capturé évoque l'idée d'un

1658, quand il entre au service du Surintendant Fouquet. Pour Toi Mon Amour (1948)Je suis allé au marché aux oiseaux       Et j'ai acheté des oiseaux                  Pour toi                mon amourJe suis allé au marché aux fleurs       Et j'ai acheté des fleurs                  Pour toi                mon amourJe suis allé au marché à la ferraille       Et j'ai acheté des chaînes            De lourdes chaînes                  Pour toi                mon amourEt puis je suis allé au marché

science ou peut-être est-ce l’inverse. Mais, les chants poétiques et les champs scientifiques cherchent à décrire la même chose : la réalité. Ce qui les différencie toutefois, c’est le langage utilisé. Le langage poétique se veut universel, à la portée des plus jeunes comme aux personnes d’un plus grand âge alors que le langage scientifique est spécialisé. Liée à Dieu, la cosmologie constituait une science majeure. La Nature comme divinité ou comme objet d’étude avait une place de choix. La science, de

Baudelaire, les Fleurs du mal, « Spleen et Idéal », IV, « Correspondances » (1857) Baudelaire, Petits poëmes en prose, (« le spleen de Paris »), I, « l’étranger » (1868) Rimbaud, Poésies,  « voyelles », 1872 Rimbaud, Une saison en enfer, 1873, « délires » II « alchimie du verbe » Annexes : Extrait de la lettre du « voyant »  de Rimbaud à son instituteur Paul Démeny (1872) Extrait de la préface de Paul Valéry à Charmes, son recueil poétique de 1922 Extrait de littérature et langage, de Laufer

génie des vers n'en est pas un".De même que le compositeur utilise des notes de musique, le peintre des pinceaux, des couleurs et des formes, le sculpteur du marbre, du bois ou de la pierre, le matériaux du poète est le langage et il vaudrait mieux dire qu'il est au service du langage, plutôt qu'il ne s'en sert.Un grand poète éprouve bien sûr des émotions, des sentiments et plus profondément et plus intensément sans doute que la plupart des autres hommes, mais il les exprime avec des mots, et de manière

jamais on n’assista à une semblable revue de démons, de fœtus, de diables, de chloroses [maladie], de chats et de vermine.  » a écrit le critique Bourdain dans le Figaro le 5 Juillet 1857 à propos du recueil de poésies les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire.