Labé

flemme)ProcédéDéfinitionCitation - IllustrationAnaphore(figure de style)Répétition d’un mot ou d’un groupe de mot : figure d’insistance« Ô beaux yeux bruns Ô regards détournés… » (Louise Labé)Apostrophe oratoire figure de style qui permet à l'orateur, en s'interrompant tout à coup, de s'adresser à quelqu'un ou à quelque chose, de réel ou d'imaginaire« Ô nuit » (Louise Labé)Elégiaque (tonalité) Qui exprime la mélancolie, qui a la tristesse de l'élégieQuatrain Un quatrain est une strophe de quatre versEcole Lyonnaise Fondé au XVI e siècle

sa vie à la poésie : inspiré de l’antiquité tant au niveau des thèmes que de la mythologie, il chante l’amour et la fuite du temps dans de nombreux recueils. Œuvre célèbre : « Les Amours de Cassandre ». • Louise Labé (1526-1566) Poétesse ayant reçue une éducation humaniste, Louise Labé appartenu au cercle des Lettrés lyonnais. Elle remet le sonnet au goût du jour pour exprimer la passion de manière personnelle et intime ce qui vaut à ses poèmes des thèmes sur la joie de l’amour, le plaisir érotique

Lors de la Renaissance française au 16e siècle, l’amour devient le thème privilégié de la littérature et s’exprime surtout dans le renouveau poétique. Louise Labé construit sa renommée littéraire autour du cercle poétique lyonnais, sous l’influence du pétrarquisme et du néoplatonisme qu’elle assimile et personnalise. Elle fait publier en 1555 son recueil d’œuvres qui comprend notamment Le débat d’Amour et de Folie, ouvrage en prose qui expose un dialogue argumenté et Les Sonnets et Elégies, où la

acquérir). Programme : * La poésie : jeux de langage * Approche d’un roman de Jules Vernes * Les compléments circonstanciels * Les figures de style simples * B2i : le power point Groupement de textes : - Louise Labé, « Je vis je meurs » - Santo Blanco, « Six chants de baleine » - Nicolas Sabolotski, « Aux portes de l’Asie » - Moezzi, « Le Pays de l’amie » - F. Garcia Lorca, «Petite  Ballade des trois rivières » - Adaptation poétique illustrée du Tour

deux écoles poétiques au XVIe siècle : - L’Ecole lyonnaise (1530) : au début du XVIe se développe, à Lyon, un actif foyer de poésie se regroupe autour de Maurice Scève. La poésie y est essentiellement féminine, avec Louise Labé et Pernette du Guillet. La poésie de Louise Labé, inspirée par Pétrarque, évoque principalement - La Pléiade (née en 1549) , est un groupe de sept poètes, dont . Le nom « Pléiade », qui signifie « Constellation de sept étoiles », est en hommage aux sept poètes d’Alexandrie

Biographies : Louise labé: Née à Lyon, elle était la fille d'un riche cordier, Pierre Charly (ou Charlin), surnommé Labé. Elle reçut une bonne éducation «!à l'italienne!» - enseignement de l'italien, du latin et de la musique - et fut instruite au maniement des armes. Autour de 1543, son mariage avec un cordier lui valut son surnom de «!Belle Cordière!». Son caractère indépendant et des rumeurs lui prêtant une liaison avec un poète de La Pléiade, Magny, lui firent à tort une réputation de femme

tout ce sens. II/ La poésie du désir, à travers l’exemple de Louise Labé. Grp important de poète regroupé sous l’appellation « l’école lyonnaise », appellation contestable, pck « école » ( règles d’arts communs, mais pas le cas, ils étaient des poètes qui ont écrit à la même période à Lyon. 1540-1550, Louise Labé, Maurice Scève. Leur poésie est avant tt l’expression du désir, (pas de l’amour). Louise Labé inverse les rôle, c’est l’homme qui devient objet de désir, et la femme qui

au vers 17 : « Ha ! ». Cela peut également être de la tristesse comme dans « Je vis, je meurs » de Louise Labé. Elle utilise de nombreuses antithèses par exemple au vers 1 : « Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie » et des oxymores comme au vers 2 : « J’ai chaud extrême en endurant froidure ». Ce sont des figures d’opposition qui nous montrent qu’elle est perdue et malheureuse. Louise Labé emploie un champ lexical du malheur : « malheur » au vers 14, << peine >>> au vers 11, «<

étaient musulmans et tributaires de Labé. Les Soninkés se défendirent désespérément mais ils perdirent progressivement la plus part des provinces. Les peuls du Fouta-Djalon dépendaient dans leur relation avec les comptoirs portugais de Guinée des Mansa de Kabou fut donc un des objectifs de la politique des Almamy. Il y avait aussi que Kabou animiste constituait un réservoir important d’esclaves pour les guerres de mazzias et bientôt de conquête des Alfa de Labé qui voyaient dans ce pays leur zone

connaissons peu de choses sur Louise Labé poétesse du 16ème siècle ; on la rattache aux poètes de l’école de Lyon, comme Maurice Scève, des auteurs marqués par un pétrarquisme raffiné. On en trouve la trace dans ce sonnet VIII des Oeuvres (1555) qui décrit les tourments d’une passion peut-être inspirée par le poète Olivier de Magny. Le sonnet est la plupart du temps sentimental c'est-à-dire qu’il exprime les états d’âmes de l’auteur. Ainsi on retrouve dans le sonnet de Louise Labé l’évocation des tourments