La Voix des Femmes

 Cet extrait audio est une annonce qui vise à promouvoir «El comercio andino». Ce commerce se déroule entre la Colombie, la Bolivie, le Pérou, l’Equateur et l’Argentine. On peut entendre plusieurs voix de femmes et d’hommes avec un bruit de fond qui semble imiter une autoroute avec un réseau plutôt dense. La protagoniste principale est une femme, c’est une douanière qui interroge des voyageurs et les passants. Le premier transporte des pommes de terres, d’autres

immobilité, fait ressortir le mouvement du corps en train de remuer le tamis. À l’inverse, la femme située à gauche, vêtue d’une couleur froide, est de face, et semble somnoler, effectuant sa tâche d’une main indolente. On aurait donc, avec ces deux femmes, deux allégories du travail éreintant de la ferme : l’une, pleine

zoo où on ne parle pas à la bête curieuse. - Rica est au centre de toutes les attentions (« je fus regardé » voix passive, « « je me voyais » voix pronominale, « voulaient me voir », voix active → ttes les voix ; « un cercle se former autour de moi » + l’image du cercle traduit l’impression d’être prisonnier) (toute la société représentée par une accumulation : « vieillards, hommes, femmes, enfants » = gradation descendante). Le regard est aussi superficiel → on ne cherche pas à comprendre « sont

passer des choses inadmissibles au regard des femmes. N’est-il pas honteux qu’en Afghanistan, les femmes n’ont pas le droit de se maquiller et donc de se faire plaisir ! N’est-il pas scandaleux qu’en Inde, le code de la route ne s’applique pas aux femmes ? Le nombre de femmes décédées suite à des accidents de la route ne fait que s’accroître. N’ont-elles pas le droit à leur sécurité ? Mon indignation ne s’arrête pas là : au Yémen, savez-vous que les femmes doivent demander la permission à leurs maris

dédient leur poème à un être bien aimé. Toutefois, Baudelaire vénère l’amour de sa vie comme étant une déesse tandis que Verlaine décrit plutôt la femme de sa vie comme étant une femme étrangère avec des traits qui lui sont familiers, lui rappelant les femmes que la vie a exilées. Tout d’abord, les hommes de lettres nommés plus tôt déplorent l’amour comme étant surtout pessimiste, puisqu’ils aiment des êtres inaccessibles. Dans son poème, Baudelaire aime une femme qu’il n’a pas à ses côtés puisque c’est

Dans le cadre du cours d’Epistémologie que nous suivons cette année il nous a été demandé la réalisation d’une fiche de lecture sur l’un des livres de la bibliographie qui nous a été proposée. J’ai personnellement choisi le livre « une voix différente » de Carol Gilligan, pour l’intérêt que ce dernier m’a éveillé lors du cours. Ce livre, écrit par la philosophe Carol Gilligan, en 1982, nous éveil à « l’éthique du Care ». Le « care », traduit en français par « sollicitude » peut-être le fait de

s’éteindre, il y a ce cri, si lointain, si étrange que l’on pourrait croire que la montagne gémit, lassée de sa propre immobilité. Les femmes lèvent la tête et se figent, inquiètes. Elles hésitent, ne sont pas certaines d’avoir bien entendu, et pourtant cela recommence : au loin, vers la montagne Tadma que l’on ne franchit pas, un bébé pleure. Est-ce qu’elles sentent, les femmes du clan Djimba, à cet instant, tout ce que contient ce cri ? Le sang qu’il porte en lui ? Les convulsions, les corps meurtris,

regretter[1], Et qu’aux sanglots et soupirs résister Pourra ma voix, et un peu faire entendre[2], 5. Tant que ma main pourra les cordes tendre Du mignard[3] luth, pour tes grâces chanter, Tant que l’esprit[4] se voudra contenter De ne vouloir rien fors que toi comprendre[5], Je ne souhaite encore point mourir. 10. Mais quand mes yeux je sentirai tarir, Ma voix cassée, et ma main impuissante, Et mon esprit

PARLE DE “NO ET MOI” L’ORIGINE DU LIVRE “Au tout début, c’est une image qui me heurte, presque chaque matin, et qui finit par me hanter: ces silhouettes perdues, ici ou là, sur le boulevard Richard-Lenoir, dans la morsure de l’hiver; des jeunes femmes aussi, parfois seules avec leur chien, parfois entourées d’hommes. Ainsi naît l’envie d’écrire autour de ça, d’approcher par l’écriture quelque chose qui me heurte et que je ne connais pas. Je n’ai pas écrit ce livre pour délivrer un quelconque

fantômes, au lieu des faits du jour. À la place du poster aux fraises accroché dans la kitchenette, des voix silencieuses. Dissipée la figure de l'homme en veste croisée qui l'avait abandonnée, réapparaissait le garçon du bord de la rivière, caché quelque part en elle.  Ou alors elle sortait, à la recherche d'une trace de bonheur. Elle interrogeait les visages des passants. Elle suivait les femmes en essayant