La Vie Devant Soi Prostitution

| |est d’ailleurs la fille de Gervaise et Coupeau , personnages de L’Assommoir. Les thèmes abordés | | |dans cet extrait sont principalement la mort , mais aussi la vie parisienne et la prostitution. | | |Dans la question posée on peut relever deux choses importantes. En premier « le dernier portrait de| | |Nana » qui est dans cet extrait

succès aux étudiants en Droit de Paris-X. LES ERREURS DE LANGAGE par Jean-Luc Chassel ON NE DIT PAS : - « Le justiciable se demande devant quelle juridiction doit-il faire appel », « Le citoyen ne comprend pas qu’est-ce qu’une consti-tution. » Ces phrases ne tiennent pas compte du style indirect, qui impose de dire : Le justiciable se demande devant quelle juridiction il doit faire appel ; le citoyen ne comprend pas ce qu’est une constitution. ¨ - « Le Code civil et la jurisprudence stipulent

quelqu'un, plus savant que moi. II faut donc prier ce quelqu'un de m'éclairer. C'est le parti le plus sage. Le Dandy doit aspirer à être sublime sans interruption ; il doit vivre et dormir devant un miroir. IV Analyse des contre-religions, exemple : la prostitution sacrée. Qu’est-ce que la prostitution sacrée ? Excitation nerveuse. Mysticité du paganisme. Le mysticisme, trait d'union entre le paganisme et le christianisme. Le paganisme et le christianisme se prouvent réciproquerment . La révolution

voilée dans les rues. Et celle qu’un mari n’a pas prise ira la tête découverte. La prostituée non sacrée ne sera pas voilée, sa tête sera découverte. " En portant le voile, ces femmes se mettaient sous la protection de la déesse Ishatr, déesse de vie et la fertilité mais aussi de l'amour physique et de la guerre. De plus, en cachant leur chevelure séductrice, ces femmes étaient respectable. Ces dispositions n'avaient pas de rapports avec la religion. Le port du voile se retrouve ensuite en Grèce

vieillesse, la prostitution et la violence. Cette œuvre est aujourd'hui exposée au Stadtmuseum de Dresden en Allemagne. II- Description et analyse de l'œuvre Sur le panneau de gauche nous pouvons voir des soldats armés et en uniforme de poilus, ils marchent dos au spectateur et dans la brume, ils forment ainsi une armée sans identité où ils avancent vers les mêmes atrocités. Sur le panneau central nous observons des corps sans vie entassés. Des entrailles et du sang se mêlent devant des ruines

journée / rue de Prague en Allemagne après la 1ere G.M / caricaturé. Description : second plan : ancien combattant mutilé désarticulé yeux vides jambes + 1 bras en bois. Corps affaibli → blessures de guerre. Premier plan : autre homme passe devant le mandiant sans le regarder. Allure + vêtement → richesse / insigne sur son col → ancien combattant / exibes ses blessures avec fierté. Deux hommes : centre du tableau et importance Second plan : faux tenue par mains squelettiques → omniprésence

de la répartition équitable des richesses. Famille bourgeoise = modèle de référence avec son mode de vie tourné vers l’accumulation de biens matériels. L’enrichissement permet de se distinguer socialement; l’argent = prestige. Famille : Père = autorité, sa responsabilité= l’ascension sociale de sa lignée. L’amour= contrat, perd l’aura mystérieuse qui le magnifiait à l’époque romantique. Prostitution = signe d’inégalité entre les sexes. Hommes sacrifient l’amour à l’ambition et choisissent des femmes

thème est Fantine, mère de Cosette qui meurt pour pouvoir sauver sa fille des Thénardier à qui elle en a confié la garde. Nous avons choisi ce thème car ce que vit Fantine est très émouvant. Nous voulons montrer la vie que mène Fantine pour subvenir aux besoins de sa fille. I La vie de Fantine. A l'âge de 15 ans, Fantine alla à Paris pour chercher fortune. Fantine et ses amies rencontrèrent quatre jeunes étudiants qui venaient de villes différentes. Un étudiant qui se nommait Félix Tholomyès

créanciers, le tribunal lui ordonna de vendre la boulangerie pour rembourser les frais de son mari ce qu’elle fit sans rétorquer. Rose ne trouva plus aucun travail après cet évènement : ses charges commençaient à augmenter, ses enfants grandissaient et la vie devenait de plus en plus chère. Son propriétaire la menaça de l’expulser de l’appartement si elle continuait de ne pas payer ; sauf si elle se donnait à lui.sur le moment elle ne comprit pas mais dès lors qu’elle comprit de quoi lui parlait son propriétaire

brute et dans l'homme l'étoffe d'un gueux. Tous deux étaient au plus haut degré susceptibles de l'espèce de hideux progrès qui se fait dans le sens du mal. Il existe des âmes écrevisses reculant continuellement vers les ténèbres, rétrogradant dans la vie plutôt qu'elles n'y avancent, employant l'expérience à augmenter leur difformité, empirant sans cesse, et s'empreignant de plus en plus d'une noirceur croissante. Cet homme et cette femme étaient de ces âmes-là. » — Tome I. Fantine — Livre IV : Confier