La Vie Dans La Banlieue

la sortie de l’enfance (après  Naissance des pieuvres et Tomboy ) est agréable bien que loin d’être extraordinaire. Le film raconte les premiers émois et galères d’une jeune adolescente de banlieue, Marieme dit « Vic ». Alors qu’elle se retrouve face un système scolaire qui ne l’accepte plus et face à un grand frère tyrannique, Marieme va trouver espoir en côtoyant un groupe de fille : Lady, Adiatou et Fily. Nous retrouvons ici des thématiques

urbain. Malgré cet étalement, Bombay concentre une population très importante sur une superficie relativement réduite, les densités peuvent ainsi aller jusqu’à 100 000 habitants au kilomètre carré. → la population de l’agglomération (ville-centre + banlieues) a été multipliée par 7 entre 1950 et 2010 atteignant les 21M d’habitants. 2°) New-York : (questions 1 à 6, p. 144-145) New York, 22 millions d’habitants, est l’une des métropoles les plus importantes au monde. Elle concentre population, richesses

cette superficie est 2 à 3 fois supérieure à celle nécessaire pour construire les 1.5 millions de logement d’ici 2030. Ensuite, le transport ; 70% des déplacements des franciliens s’effectuent entre les banlieues et 80 % se font en voiture, faute d’efficacité. Les déplacements en banlieues ont augmentés de 50% en 25 ans et le transport n’a pas évolué depuis ce qui signifie que pour la plupart des franciliens, prendre les transports en commun signifie passez par le centre de la capitale ce qui

glissement vers une société de ségrégation, à la présence des quartiers en difficultés dans la banlieue.... La gentrification: les travaux récents s'intéressent au profil des arrivants dans les banlieue ,leur niveau de diplôme et la valorisation d'un mode de vie alternatif leur permettent d'exister dans leurs différences avec toutes les catégories.la qualité de ces espaces urbains ainsi le mode de vie(culture, art, création...) engendra le flambement des prix du foncier ainsi la difficulté des classes

...................... Pages 1 et 2 I ) La phase exploratoire A) La théorie : la documentation et la conceptualisation 1) Les conditions de vie des jeunes de quartiers dit " politique de la ville " 1-1 – Le jeune et la jeunesse .............................................................................. Pages 3, 4 et 5 1-2 – L'histoire des banlieues et ses métamorphoses ........................................ Pages 5 à 7 1-3 – La politique de la ville et son évolution ..................

(avec un croquis ou schéma mettant en valeur son itinéraire) et de sa vie : | | | |Issue d’une famille andalouse de 6 enfants, Luis Fernandez arrive en France en 1966 suite au décès de son papa, dans la banlieue Lyonnaise, à Vénissieux dans le | |quartier des Minguettes.

activités tertiaires, circulation et nuisances population aisée et classes moyennes, habitat individuel et de standing périphéries tentaculaires : près de 50 % pop totale banlieues + périurbains alternant collectif locatif et individuel propriétaire csqses sociales désastreuses avec phénomènes banlieues dortoirs et cités ghettons dvlpt de la rurbanisation : def mitage périphéries agricoles par lotissements programmés ou + ou - anarchiques communes rurbaines de plus en

les centres pour des périphéries plus accueillantes (pavillon, emplois, espaces verts) et la population pauvre quittent les centres pour des périphéries où les coûts sont inférieurs. Ainsi, la banlieue est devenue le lieu de résidence de la majorité des urbains. 3) Inégalités dans les villes Ces banlieues ont des visages différents en fonction des différences sociales : les quartiers aisés et parfois fermés (gated communities) pour les riches (exemple : Los Angeles) et quartiers insalubres ou

effectués dans les banlieues. Si la violence se développe essentiellement dans ses zones, ce n'est pas sans raison. En effet, l'urbanisation de ces espaces est un facteur clé du mal être. Les jeunes concernés par ses actes de violences et donc coupables, vivent ainsi dans des HLM insalubres qui leur rappellent chaque jour la misère de leur habitat. IL est donc difficile pour eux de pouvoir se sentir égaux à des jeunes vivant dans des maisons mieux entretenues et plus détachées de la banlieue. Ce facteur

sensibles : - Une approche sécuritaire : lutte contre la délinquance et démolition des quartiers HLM - une approche répressive : met l’accent sur la responsabilité individuelle plutôt que sur les facteurs sociaux de la pauvreté, renonçant à améliorer la vie des quartiers d’habitat social pour s’engager dans la destruction d’une fraction non négligeable de ces logements. « Les changements de gouvernement sont pour beaucoup dans la nature des solutions mises en œuvre aujourd’hui » . Selon l’auteure, cette