La Valse des pantins

Valse avec Bachir est un film d'animation documentaire sorti en 2008 qui a obtenu de nombreux prix dans le monde comme un Golden Award, un César et une haute place dans la compétition pour la Palme d'Or du Festival de Cannes 2008. Il a été réalisé par Ari Folman, un réalisateur israélien, qui raconte dans ce film ses souvenirs de la Guerre du Liban (1975- 1990). Dans ce commentaire, nous allons nous intéresser au choix d'Ari Folman d'avoir choisi le dessin animé pour Valse avec Bachir

Bonsoir M'amour, paroles de Raoul Le Peltier, musique d’Adelmar Sablon (pseudonyme de Charles Sablon) sur un mouvement de valse lente, est publiée aux éditions Valsien en 1911. Créée par Karl Ditan et chantée par de nombreux artistes, dont Emma Liebel, la chanson obtient un grand succès. Les reprises contemporaines de La chanson de Craonne sont souvent exécutées dans le style de la valse musette, avec accompagnement d'accordéon. C'est notamment le cas des versions de Tichot, des Amis d'ta femme, de Gérard

La mort. Elle est là. Elle rode. Le ciel est de sang. Elle plane. Elle détruit sur son passage et entrain tant de chose avec elle. Non loi de là, le chaos voltige, lévitation magique, terreur obscure. Lentement, ils entament leur dernière valse, leur dernière danse. Bal macabre. Le couple parfait. Symbole même de l’effondrement de notre monde. Notre sort funeste est tracé. Doucement mais surement, il avance. Il est ce souffle luciférien qui ronge notre Terre. Ensemble, ils marient ciel et terre dans

Entre les deux, des films éminemment personnels où se mêlent une vision très «vécue» du milieu italien new-yorkais, un onirisme halluciné et un détournement grinçant du réalisme par N C E SALLE D'ART ET D'ESSAI CLASSÉE RECHERCHE 8, RUE DE LA VALSE 42100 SAINT-ETIENNE 04.77.32.76.96 RÉPONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.32.07.09 2 D O C U l'éclatement formel. Cette filière, inaugurée par Mean Streets, s’est poursuivie avec des films comme Taxi Driver, After hours ou Raging Bull. Les

manière que ces perversions leur paraissent inacceptables moindres égarements. De toutes ces perversions, le racisme est sans doute la plus répugnante".     La bête est revenue   Sait-on pourquoi un matin Cette bêt' s'est réveillée Au milieu de pantins Qu'elle a tous émerveillés En proclamant partout haut et fort Nous mettrons l'étranger dehors Puis cette ogresse aguicheuse Fit des clones imitatifs Leurs tirades insidieuses Convainquirent les naïfs Qu'en suivant leurs diktats xénophobes

ouvrières et industrielles tandis que l'ouest est plus aisés, avec des quartiers d'affaires ( La Défense, dans le département des hauts-de-seine ) . on compte cependant en petite couronne ( hauts-de-seine, valse Marne et Seinesaint-denis) de nombreux quartiers dit "sensibles" -comme Bagneux, Malakoff, Pantin, Saint-ouen - entrecoupés de zones résidentielles de meilleure qualité . Prenons le cas des Yvlines, les grands quartiers se situent le long de la Seine, car c'est la que se regroupaient autrefois les

Scorsese préféré, bien qu'il soit à mon avis trop sous estimé et méconnu. Certes ce film est moins personnel pour le cinéaste que Raging Bull, mais il m'a toujours donné l'impression d'une renaissance visuelle, ce que confirme Scorsese. « Après La valse des pantins j'étais passablement déprimé. Je voulais retrouver le plaisir de filmer, de mouvoir la caméra, de diriger une équipe légère ». Ce plaisir de filmer et de mouvoir la caméra se ressent tout le long du film. C'est justement ce dynamisme et cette

Raging Bull. Pour sa performance mémorable dans le rôle du boxeur Jake La Motta, Robert De Niro recevra l'Oscar du meilleur acteur. Désormais considéré comme l'un des plus grands cinéastes de sa génération, Scorsese va enchaîner les films, La Valse des pantins en 1983, After Hours en 1985, puis La Couleur de l'argent en 1986, qui vaudra à Paul Newman l'unique Oscar du meilleur acteur de sa brillante carrière. Martin Scorsese réalise son rêve d'enfant en 1988 en réalisant un film sur le Christ, La

vitesse.) Un Courtisan (qui a failli se faire renverser) : Longue vie à Sa Majesté ! (Le Roi est allongé sur un divan, dans une cour du palais. Un esclave l'évente. Musique nostalgique. Un petit pantin s'avance et commence à danser. Au bout d'un moment, un Militaire s'avance et se place entre le Roi et le pantin (ce qui ne doit pas gêner le Roi puisque de toute façon il s'était retourné.)) Le Militaire : Mais enfin ! que fait la police ? On devrait la retrouver, cette petite bergère. (Le Roi l'envoie

roi semble impuissant faible.4-a Déjà le titre « bal des pendus » annonce tout de suite que le poème parle de la mort. Puis tout le long du poème, des personnages significatif de la mort ou monstrueux son présent « squelettes », « Belzebuth », « pantins », « orgues », « corbeau », « loup ». Magret le fait que le poème soit un texte nous arrivons a entendre les sons: « danser aux sons d’un vieux Noel » « Belzebuth enragé racle ses violons » « la bise siffle […] le gibet noir mugit comme un orgue »