La Tour sombre

------------------------------------------------------- “La conscience” Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes, Échevelé, livide au milieu des tempêtes, Caïn se fut enfui de devant Jéhova, Comme le soir tombait, l'homme sombre arriva 5 Au bas d'une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses fils hors d'haleine Lui dirent : "Couchons-nous sur la terre et dormons." Caïn, ne dormant pas, songeait au pied des monts. Ayant levé la tête, au fond des

------------------------------------------------------------ “La conscience” Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes, Échevelé, livide au milieu des tempêtes, Caïn se fut enfui de devant Jéhova, Comme le soir tombait, l'homme sombre arriva 5 Au bas d'une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses fils hors d'haleine Lui dirent : "Couchons-nous sur la terre et dormons." Caïn, ne dormant pas, songeait au pied des monts. Ayant levé la tête, au fond des cieux

poilus. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit le rouge parce que c’est une couleur organique (celle du sang) mais aussi pour sa valeur symbolique ; dans notre culture le rouge symbolise en effet le violence et parfois la mort. Les couleurs sont sombres, ternes et sales comme l’est l’univers guerrier

comme il y’a également des échos "Zone" est un poème emblématique d'Apollinaire, où il utilise des lieux réels et imaginaires pour dépeindre le paysage urbain moderne de Paris. Il mélange les références à des endroits spécifiques tels que la tour Eiffel, le métro et le boulevard Saint-Michel avec des images fantastiques et surréalistes. "Cortège" décrit un cortège funèbre dans lequel les personnages traversent différents lieux . Ces lieux symbolisent le voyage de la vie et de la mort, et Apollinaire

du poète. Il se questionne « Suis-je amour ou Phébus ?...Lusignan ou Biron ? ». Les « trois points » entre les 2 interrogations montrent bien que le poète hésite et se questionne. Le poète se sent perdu dans son identité « j’ai rêvé », « nage », « tour abolie » Mais les deux tercets montre un regain d’espoir dans l’attitude du poète, il se reprend. A partir du premier tercet, il va être l'élu de la reine. Allusion à la nouvelle des " Filles du Feu " en Adrienne au vers 10. Importance de la victoire

ciel rougeâtre, représentant le sang et la mort qui attend ces soldats. -Le 2nd panneau (panneau central) représente les tranchées, le champ de bataille, après les bombardements et le combat. La présence, toujours en arrière plan de ce ciel sombre et rougeâtre symbolise l’absence d’espoir et la présence de la mort.  En premier on voit l’entassement des corps, cela démontre la brutalité de la guerre et de ses méthodes barbares (tirs d’artillerie, combats au corps à corps) qui rappelle

qui est du titre : avant la lecture , il évoque un matin couvert , un mauvais jours peut être en automne ou en hiver où débute une periode sombre et difficile. Après la lecture, on comprend mieux le sens de Matin qui est le début d'une ère nouvelle qui se lèvre en fait l'aube d'un nouveau régime dictatorial et totalitaire. Pour finir, c'est par un matin sombre que le narrateur se fait arrêter par la police politique. C'est un titre expressif et percutant , il est intrigant et pousse à la lecture

Les Chimères, El DesdichadoJe suis le ténébreux, - le veuf, - l'inconsolé, Le prince d'Aquitaine à la tour abolie : Ma seule étoile est morte, - et mon luth constellé Porte le soleil noir de la Mélancolie. Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé, Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie, La fleur qui plaisait tant à mon cœur désolé, Et la treille où le pampre à la rose s'allie. Suis-je Amour ou Phébus ? ... Lusignan ou Biron ? Mon front est rouge encor du baiser de la reine ; J'ai rêvé

portant son homard en anicroche, s’établit dans une maison, celle-ci doit subir l’invasion d’un rire aux accès argentins, impérieux et mornes. Sans doute est-ce celui de la mignonne sirène dont les deux seins sont en même temps apparus dans un coin sombre du corridor, et qui produit son appel par la vibration entre les deux d’une petite cerise de nickel, y pendante. Aussitôt, le homard frémit sur son socle. Il faut qu’on le décroche : il a quelque chose à dire, on veut être rassuré par votre voix

poilus. Le rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit le rouge parce que c’est une couleur organique (celle du sang) mais aussi pour sa valeur symbolique ; dans notre culture le rouge symbolise en effet le violence et parfois la mort. Les couleurs sont sombres, ternes et sales comme l’est l’univers guerrier