La Terreur

tard peut-être il se trouvera une intelligence qui réduira mon fantôme à l’état de lieu commun, — quelque intelligence plus calme, plus logique, et beaucoup moins excitable que la mienne, qui ne trouvera dans les circonstances que je raconte avec terreur qu’une succession ordinaire de causes et d’effets très naturels. Dès mon enfance, j’étais noté pour la docilité et l’humanité de mon caractère. Ma tendresse de cœur était même si remarquable qu’elle avait fait de moi le jouet de mes camarades

sécurité du bâtiment du Pentagone pris pour cible lors des attentats du 11 septembre 20011. Le terrorisme désigne l'emploi de la terreur2 le plus souvent à des fins politiques. Si historiquement le terme désigne le régime politique sous la Terreur pendant la Révolution française, son usage se transforme au cours du XIXe siècle pour désigner la violence politique (attentats, conflits asymétriques, assassinats politiques, etc.)3. Fréquemment utilisé par les journalistes et les chercheurs4,5,6

bourgeoise, où les dominants règnent principalement par la tromperie des masses, mais aussi par les moyens de la répression et de l’oppression ouverte, et 2. le fascisme et la dictature militaire ouverte, où les dominants règnent principalement par la terreur contre les masses, mais aussi par le moyen de la tromperie. Tandis que la dictature militaire se base essentiellement sur son pouvoir armé, le fascisme se pourvoit d’une base de masse et utilise à cette fin sa démagogie sociale-fasciste. Dans le

créent les conditions favorables à la prise de contrôle populaire. Il s’ensuit une dérive terroriste. Transition : Les excès de la Terreur, tandis que les dangers extérieurs s’éloignent, finissent par retourner la situation. La bourgeoisie a alors la possibilité de reprendre l’initiative. III – La bourgeoisie tente de reprendre l’initiative A – La fin de la Terreur permet le retour de la bourgeoisie aux affaires 1 - Les victoires militaires éloignent le danger a) Le succès de la levée en masse

naturelle. Aujourd’hui encore les gens se marient avec des personnes de leur propre caste. Il nous explique ensuite que la terreur n’est pas seulement liée au terrorisme. En effet la terreur peut venir de faits tels que des catastrophes nucléaires par exemple. Il semble dangereux de penser que la terreur est le seul fait des djihadistes ou de l’islam. La montée de la terreur vient de la colère. La colère nait à un endroit puis se propage, elle n’est pas propre à un seul lieu. Elle n’est pas liée

monde extérieur. 3) La Terreur encore dans les esprits Le quatrième paragraphe nous apprend que l’histoire se déroule en 1819 (ligne 15), seulement vingt-six ans après l’époque de la Terreur de 1793, qui a laissé de lourdes traces dans les esprits. Le père de Jeanne est un « aristocrate de naissance » (ligne 23), cette information est d’ailleurs suivie par « il haïssait par instinct quatre-vingt-treize ». Cette famille a donc pleinement vécu l’époque de la Terreur, qui a et va probablement influencer

de la collectivisation forcée des campagnes et de l'industrialisation accélérée. Ces bouleversements, qui visent à « construire le socialisme dans un seul pays », s'accompagnent d'une formidable mobilisation de la société, d'un développement de la terreur, de l'imposition d'un système totalitaire, le stalinisme. Quatre années durant, la Russie est déchirée par une terrible guerre civile, dont le pays sort très affaibli. Cette guerre oppose les « rouges », les bolcheviks, aux « blancs », qui souhaitent

le présent, et par conséquent des marques de l’inspiration divine. De même qu’Athalie, encore perturbée par son songe, le raconte à Abner en employant le vocabulaire de la peur (« trouble funeste » v.510, « horreurs » v.523, « frayeur » v.526, « terreur »v.534, etc), Joad entrevoit lui aussi un évènement bouleversant, l’avenir malheureux d’Israël et en particulier l’assassinat de son fils Zacharie par le jeune roi qu’il s’apprête à mettre sur le trône. La finalité rhétorique des deux visions est

froid : « Un vent froid », «  Elle frissonnait », « ce frisson qui la glaçait ». Elles permettent de créer un effet de forêt malfaisante, glaciale, qui terrorise. En outre, la fillette ignore tout de ce qui l’entoure, ce qui accentue sa terreur : le recours au champ lexical de l’ignorance : « [Elle] regardait d’un œil égaré cette grosse étoile qu’elle ne connaissait pas », ainsi que « Sans se rendre compte de ce qu’elle éprouvait » le traduit. Elle ne comprend pas non plus l’effroi qu’elle

répression et de la terreur à travers la mise en place dès le début du 20ème siècle des régimes totalitaires. Soulignons que ceux-ci organisent des massacres de grandes envergure avec la complicité du tissu administratif de la société. Qu'entendons nous par répression politique ? Il s'agit plus particulièrement de la façon dont le pouvoir réagit face à son peuple. En choisi par exemple le prédicat de la sévérité afin de défier les révoltes et les actes d'insoumissions. Cependant la terreur est une purge