La Terreur des dames

participé au dadaïsme , l'un des créateurs du mouvement surréaliste avec André Breton, Paul Éluard et Philippe Soupault, qui adhéreront au parti communiste français avec lui . Certains de ses textes montrent (sans contexte) une approbation de la terreur organisée par l'URSS bolchévique et stalinienne 1, il écrit notamment en 1931 Vive le Guépéou2 (Guépéou), dans le recueil Persécuté persécuteur. Il ne devient critique à l'égard de l'URSS qu'après la mort de Staline,( à la suite des révélations par (Khrouchtchev)

armes chimiques…). Comment sort-on de cette Guerre? Percer le front via une multiplication des offensives. 1916 les allemands tentent à Verdun 200 000 morts dans chaque camps ; 1917, les français tentent de percer le front allemand « chemin des dames » qui échouent. Trouver des alliés pour avoir des nouveaux hommes pour combattre. Empire Ottoman avec les allemands et USA, Italie avec la Triple alliance. Les puissances coloniales emploient leurs colonies. Pourquoi la 1er GM est une matrice

prend pas toujours ces situations au sérieux et bien souvent par les femmes victimes de violence elles-mêmes. Cette violence est tout autant physique que psychologique et revêt de nombreuses formes : coups et blessures, viols, menaces, climat de terreur, humiliation perpétuelle. A la violence s'ajoute la plupart du temps la dépendance financière et psychologique des femmes envers leur compagnon, dépendance que celui-ci entretient alors avec soin. Les femmes victimes de violences conjugales, comme

entente, mort archiduc = Guerre) -De la Guerre de mouvement à la stabilisation des fronts (Bataille marne, automne 1914) B) La guerre de position (1915-1917) -Situation du front occidental (Carnage, Verdun 1916, Somme, chemin des dames=mutineries) -Les autres fronts (guerre usure échoue, échec entent au détroit des Dardanelles 1915) -Blocus et guerre sous-marine (entente asphyxier, Lusitania, entrée des USA le 2 avril 1917) C) La victoire des alliés (fin 1917-1918)

les camarades [...] disaient que cet animal de Mes-Bottes avait un fichu grelot » (= était un fameux bavard) Jurons : « Tonnerre de Dieu ! » → « effets de réel » qui donnent l’illusion de voir réellement la scène. IIème axe : la gradation vers la terreur : (le relais des regards) L’alambic est vu successivement par plusieurs personnages (focalisation interne) : → Le regard de Gervaise : « elle eut la curiosité d’aller regarder, au fond, derrière la barrière de chêne, le grand alambic » : curiosité

National d'Art Moderne ALLEGRE Nathan Je suis Thésée, Je voyais au loin toutes ces dames qui se rapprochaient de la mer pour aller se baigner et c'est quand elles étaient toutes proches de la mer que ce taureau jaillit de l'eau, ce taureau c'était le fils de Poséidon. Il courut après ces dames qui n'avaient rien fait. Il fallait que j'arrive à soulever ce rocher avant de pouvoir intervenir, toutes les dames coururent, elles étaient toutes en panique mais elles réussirent à passer par-dessus

quelques observations jetées tout à fait à l’abandon et qui lui serviront de préface. Je prends donc cette occasion de proclamer que la haute puissance de la réflexion est bien plus activement et plus profitablement exploitée par le modeste jeu de dames que par toute la laborieuse futilité des échecs. Dans ce dernier jeu, où les pièces sont douées de mouvements divers et bizarres, et représentent des valeurs diverses et variées, la complexité est prise — erreur fort commune — pour de la profondeur

quelques observations jetées tout à fait à l’abandon et qui lui serviront de préface. Je prends donc cette occasion de proclamer que la haute puissance de la réflexion est bien plus activement et plus profitablement exploitée par le modeste jeu de dames que par toute la laborieuse futilité des échecs. Dans ce dernier jeu, où les pièces sont douées de mouvements divers et bizarres, et représentent des valeurs diverses et variées, la complexité est prise – erreur fort commune – pour de la profondeur

Quint, empereur d'Allemagne. Ce dernier avec la complicité du pape, a remis le pouvoir entre les mains du duc Alexandre de Médicis, issu d'une des vieilles familles de la cité. Le duc est jeune et mène une vie débauche. Il règne sur la ville par la terreur, ne tenant compte ni du peuple, ni des autres grandes familles de Florence. On le déteste, mais pas autant que son cousin, son âme damnée : Lorenzo de Médicis, méchamment surnommé Lorenzaccio. Acte I: Le 1° acte décrit la situation à Florence

du comité provincial de Biscaye, elle participe au premier congrès du PCE. A Somorrostro, les dames de la bonne société sont consternées. On rappelle que, quelques années auparavant, Mme Ibarruri mère entraînait sa fille à l'église San Felicismo pour l'exorciser et demandait au curé de prier en ce sens. Déjà, la jeune Dolores contestait les règles archaïques... La voilà devenue communiste. Les dames de Somorrostro veulent sauver Dolores de l'enfer. La préposée au sauvetage, épouse d'un propriétaire