La Technique Transforme T Elle Les Hommes

LE TRAVAIL, L’ART ET LA TECHNIQUE Par son travail l’homme produit des objets beaux ou utiles. On oppose souvent (depuis Aristote) la technique qui fabrique des objets utiles à l’art qui fabriquerait des objets beaux. Lors du procès Brancusi cette distinction est discutée. La première question qui sera posée sera celle de l’identification de la notion d’art. Un critère est nécessaire pour distinguer ce qui est de l’art de ce qui n’en n’est pas. La différence spécifique pourrait être esthétique

activité rémunérée. Quelqu’un qui est employé à ne rien faire ne travaille pas au sens strict. En l'occurrence, le travail désigne la transformation collective de la nature qui permet aux hommes de produire ce qui leur est nécessaire pour vivre. le travail relève en effet d'une contrainte majeure : les hommes doivent travailler parce que la nature ne leur fournit pas tout ce qu'il leur faut. Le travail est donc tiraillé entre 2 pôles antagonistes : - On peut voir le travail comme un effort

conflit ressentir un sentiment de révolte face à la guerre est aux souffrances des hommes. De 1915 à 1918, il tient une chronique des évènements liés à la guerre : ce sont des croquis dessinés sur des cartes postales. Puis dans les années 20, il va peindre plusieurs sur les malheurs entrainés par la Première Guerre mondiale. Otto Dix veut exprimer ses sentiments de révolte face à la guerre et aux souffrances des hommes en exprimant la réalité, en s’appuyant sur la réalité mais aussi en la caricaturant

L’ART, LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE Le travail serait la cause première qui permet de développer des techniques et de faire de l’art. Le travail c’est fournir un effort pour obtenir un résultat. Toute technique, tout art, sont-ils le fruit du travail ? Le travail serait un don inné, quelque chose de nature. Il présente des activités naturelles ou culturelles, ce sont des activités acquises et transmises à travers les générations : - tout les groupes humains pas ne feront pas de l’art de

capital permet la production de biens et de services. I. Le facteur travail Le facteur travail désigne la main-d’œuvre, c’est-à-dire la force, l’énergie, les compétences déployées par les hommes et les femmes pour produire des biens et des services. On mesure le facteur travail par : – sa qualité : les hommes et la connaissance qu’ils ont de leur métier sont un patrimoine précieux qui sert la finalité des organisations ; – sa quantité : la quantité de travail disponible dépend de la population

produites par les hommes. Si elle a pour conséquence une élévation du niveau de vie et une amélioration du genre de vie, elle entraîne dans son sillage des externalités négatives qui jettent un doute sur la fiabilité de sa mesure. De la croissance au développement La période de croissance initiée par la Révolution Industrielle a été marquée de phases de prospérité et de crises. Les mutations économiques, sociales et culturelles ont pris la forme d'un développement qui a profondément transformé les conditions

déjà au début du siècle chez les Dadas et futuristes. Performatif : apparait dans les ans 70. Œuvre : forme symbolique, comment le monde s'organise pour nous. La représentation par les œuvres, quelque soit le médium, c'est de l'ordre de ce qu'il transforme. Aujourd’hui on utilise plus le terme performatif que performance. Pourquoi on est arrivé au fait qu’il y a un transversalité entre les catégories artistiques ? Et comment ? Comment peut-on monter un enjeu ? Couples de mots clés : Modernité/postmodernité

Le progrès technique représente l'amélioration des techniques qui sont utilisées dans un processus de fabrication ou qui concernent l'informatique, les capacités militaires, la médecine etc. Il est présent en partie grâce à l'amélioration des connaissances scientifiques à un domaine particulier. La maîtrise, quant à elle, représente le fait de dominer techniquement, intellectuellement ou bien scientifiquement. C'est aussi la sûreté de l'exécution dans un domaine technique ou bien artistique

point d’esprit. Elle est l’opium du peuple ». Traduction de Maximilien Rubel, pour la Pléiade-Gallimard De ceci, la postérité a surtout retenu la dernière phrase : « La religion est l’opium du peuple ». Il s’agit là d’une réduction regrettable qui transforme une pensée en une formule et même en un mot d’ordre. Il convient donc de relire ce court extrait de l’introduction à la Critique de la philosophie politique de Hegel —texte rédigé en 1843— non sous sa forme excessivement tronquée, mais dans la cohérence

liées au travail rappellent que le travail c’est souvent une forme de servitude dont les hommes rêvent de s’émanciper. C’est pour ça que les stés modernes ont créé l’idée de vacances justement pour que notre vie ne se réduise pas au simple métro-boulot-dodo. Depuis d’un siècle, réduction du temps de travail apparait comme une conquête sociale permettant à tous d’accéder à + de liberté. Le progrès technique permet d’alléger les taches les + pénibles. On peut dire que le travail semble être une nécessité