La Synesthésie

antithétiques du rêve et de la réalité coexister. Dans La chambre double,  la réalité est décrite par la dureté de la vie et le temps dont l’homme est esclave ; tandis que dans le rêve, le temps est illimité, de plus les sens sont en harmonie - synesthésie possible grâce à une drogue. Ces idées contraires sont accentuées par le fait que la chambre, fermée, permet d’atteindre la paix, alors que le rêve est plutôt ouvert. Le temps donc est un poids pour l’homme, auquel on peut échapper par l’amour d’une

plaisir érotique est également perceptible : « Volupté, chambre, lit, troublant, baisé soupir, pâmé, vibrante, ouvre la bouche, cherchant le baisé » Elle s’offre donc à la mort comme on s’offre a un amant. * La 2eme partie est construite sur une synesthésie «  musique, étrange senteurs » l21. A. perd tous ses sens elle croit sentir de la musique ou entendre des fleurs. Ce procédé traduit la confusion dans laquelle se trouve la jeune fille dont les sens sont altérés par l’asphyxie progressive, cela

"splendeur orientale" du vers 23. L'allusion à la Hollande est manifeste aux vers 7 et 8, nous y retrouvons l'intérieur des maisons des peintres. D'une manière générale, cette seconde strophe reflète les idées du refrain et nous renvoie au thème de la synesthésie, thème propre à Baudelaire, la correspondance des sens, la vue, l'odorat, l'ouie y sont sollicités. Le rêve s'actualise par l'indicatif du verbe voir "vois". Nous sommes ensuite projetés à l'extérieur de la chambre, dans la ville. Le rêve se poursuit

exotisme → Baudelaire a pu s'inspirer de voyages autour du monde (Île Maurice et Île de la Réunion) mais aussi de tableaux notamment ceux de Johannes Vermeer, Pierre Paul Rubens, Rembrandt, Jan Van Eyck. Sens en éveil → fameuses correspondances ou synesthésies baudelairiennes. L'envie d'un ailleurs, quête du dépaysement. D'où la modernité. Baudelaire cherche à innover , c'est même pour lui une nécessité. D'où également le recours à l'artifice. Goût pour la rareté, la luxure. La fuite du

humanisée, cultivée, urbaine) - Beauté en mouvement => Gradation nette : toujours croissante - de plus en plus - brûlent du désir de rivaliser –(rendant...les fait monter) - Beauté dans l'unité des sensations (rendant visibles les parfums = synesthésie) => Impression d'ensemble : jouissance universelle La jonction : mouvement ascensionnel des parfums, des fumées vers l'azur du ciel, vers l'astre. Ce mouvement vers le haut symbolise l'atteinte de l'idéal. Conclusion partielle : Profusion

Franco-Prusse de 1870. On découvre un monde nouveau, un monde mystérieux mieux cerné par le poète et dont il est plus sensible comme pour « Les correspondances » de Baudelaire ou la nature est présentée comme un lieu sacré. On découvre dans ce texte les synesthésies, mélange des 5 sens ce qui permet une meilleure compréhension du monde. Mais aussi un monde banal, quotidien, qui peut finalement devenir poétique comme nous pouvons le voir avec les poèmes « L’huitre » ou encore « L’orange » tiré du recueil « Le

du texte qui sert de support (Apocalypse) Style : style personnel d’Olivier Messiaen avec chants d’oiseaux et référence aux mélodies médiévales (chant grégorien) et la symbolique chrétienne + association couleurs et sons due au phénomène de la synesthésie. Quatuor en 8 mouvements : relever la symbolique du chiffre 8 = l’Eternité, le prolongement de la création divine vers l’Eternité. Présenter le mouvement étudié en classe : donner son intitulé et la structure en 3 parties. Bien montrer l’opposition

même humanisée, cultivée, urbaine) - Beauté en mouvement => Gradation nette : toujours croissante - de plus en plus - brûlent du désir de rivaliser –(rendant...les fait monter) - Beauté dans l'unité des sensations (rendant visibles les parfums = synesthésie) => Impression d'ensemble : jouissance universelle La jonction : mouvement ascensionnel des parfums, des fumées vers l'azur du ciel, vers l'astre. Ce mouvement vers le haut symbolise l'atteinte de l'idéal. Conclusion partielle : Profusion, richesse

étant de lui donner du sens et de le sublimer. « Paris tu m’as donné ta boue et j’en ai fais de l’or ». C’est la démarche des Fleurs du mal. Cette nouvelle poétique passe par la pratique des correspondances, association des perceptions sensibles (( synesthésie) tel qu’elle est livrée dans ce sonnet. Auteur : Charles Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort le 31 août 1867 à Paris. Il est l'un des poètes les plus célèbres du XIXe siècle : en incluant la modernité comme

alors faire penser au regard et la mousse à l’humidité de ces derniers. On pourrait croire qu’il y a de la vie dans les yeux, que celle-ci renvoie au monde... Ce sont comme des yeux de rêves (nature, harmonie...) L’auteur fait aussi appel à la synesthésie dans son texte. On peut remarquer notamment quatre sur cinq des sens de l’être humain dans les vers https://fr.wikipedia.org/wiki/Dadahttps://fr.wikipedia.org/wiki/Surr%C3%A9alismehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_communiste_fran%C3%A7ais6 à