La Solitude Baudelaire

kharifa.cissokho@etu.univ-tlse.fr Poème : « Servante au grand cœur » « La servante au grand cœur » de Charles Baudelaire est extrait du recueil des Fleurs du mal qui, publié en 1857, compte cent poèmes dont certains furent condamnés. La nécessité de remplacer les pièces condamnées pour rétablir l’équilibre de l’architecture, conduit l’auteur à rajouter des poèmes nouveaux et une partie intitulée « Tableau parisien » dans les éditions ultérieures. Ce poème se situe dans cette section « Tableau

Introduction :Baudelaire, poète de la modernité, publie son grand recueil Les Fleurs du mal en 1857. Il expérimente en passant du romantisme au mouvement parnassien puis au symbolisme. De même, il remet au goût du jour la forme oubliée du sonnet, et popularise le poème en prose (Spleen de Paris). Il mène une vie de tourments et de difficultés dont l’angoisse se retrouve dans son concept central du Spleen (humeur dépressive). Le poème « L’Albatros » est le troisième poème de Les Fleurs du mal après

L’Albatros, Charles Baudelaire Charles Baudelaire publie L’Albatros dans son recueil de poème Les Fleurs du mal, en 1857. Censuré, il ressort une seconde édition en 1861. Le recueil est divisé en 3 parties : Spleen, Spleen et Idéal, Idéal. L’Albatros fait partie de Spleen et Idéal tout comme L’homme et la mer (Anthologie). Ce poème montre chez Baudelaire sa différence avec les autres. Il n’est pas reconnu à son époque et fait partie des poètes maudits. I. Anecdote et dramatisation.

au genre littéraire de la poésie. Le poème « Ariette III » (texte A) issu du recueil Romances sans paroles écrit par Verlaine en 1874, relate la mélancolie du poète. « Moesta et Errabunda » (texte B), tiré du recueil Les Fleurs du Mal écrit par Baudelaire en 1857, évoque également la mélancolie devant les souvenirs passés du poète. De plus, Corbière dans son poème « Le Crapaud » (texte C) issu du recueil Les Amours jaunes rédigé en 1873 ; décrit son mal-être à travers une personnification. Enfin

avec la vie de Baudelaire. La place de cette œuvre dans tous ses œuvres. Qu'est-ce que Paris à cette époque-là? Que peut-on entendre par Tableau? I) Montrer la Place de la ville dans ce recueil et dans la vie artistique de l'époque (fin 19éme) -un thème nouveau, la ville. -place de ce thème dans l'œuvre de Baudelaire -Ce thème est le moyen d'exprimer sa sensibilité pour Baudelaire II) Le regard de Baudelaire sur la Ville -Paysage urbain -L'idéal de la ville pour Baudelaire/Ce qu'elle est

Dans ce corpus intitulé ‘’ Le poète et le douleur ‘’. Nous avons trois support, deux poèmes très connu de l’époque et un extrait de correspondance. Le premier poème est ‘’ Les fleurs du mal (1857) de Charles Baudelaire, qui rappelons le est un est poète romantique. Très apprécie du XIXeme siècle. Ensuite le deuxième est un extrait de poème s’intitulant ‘’ La nuit de décembre (1857 ) ‘’ écrite par Alfred de Musset, qui est un poète romantique lui aussi très prisé à l’époque. C’est lui qui donne naissance

De prime abord, on constate une certaine ressemblance entre le poème La Passante d’Émile Nelligan et le poème À une Passante de Charles Baudelaire. On ressent que le désespoir est omniprésent dans les deux poèmes. D’un coté, en regardant tout simplement les mots utilisés dans le poème de Charles Baudelaire on remarque que ceux-ci ont souvent une signification négative, voire même péjorative, signification qui témoigne aisément du mal de vivre de l’auteur. Retenons les mots assourdissant, hurlait

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’L’étranger’’ de Charles BAUDELAIRE dans ‘’Petits poèmes en prose’’ (1869) Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis? ton père, ta mère, ta soeur ou ton frère? - Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère. - Tes amis? - Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu. - Ta patrie? - J'ignore sous quelle latitude elle est située. - La beauté? - Je l'aimerais volontiers, déesse et

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’L’étranger’’ de Charles BAUDELAIRE dans ‘’Petits poèmes en prose’’ (1869) Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis? ton père, ta mère, ta soeur ou ton frère? - Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère. - Tes amis? - Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est resté jusqu'à ce jour inconnu. - Ta patrie? - J'ignore sous quelle latitude elle est située. - La beauté? - Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle. - L'or

exclamation, automne : saison du déclin, de la mort, fin de la journée : crépuscule rouge orangé, mais Baudelaire ne décrit ni les couleurs de la nature, ni le coucher de soleil ; absence de "pittoresque". Le poème suggère plus qu'il ne décrit, sorte "d'impressionnisme". La première phrase instaure un climat de vague mélancolie ; "pénétrantes" : participe présent employé comme adjectif qualificatif. Baudelaire joue sur les deux sens du mot (cf. Verlaine : "J'ai fait ce rêve étrange et pénétrant", "quelle