La Solitude Baudelaire

Introduction : L’étranger, de Charles Baudelaire, est un poème en prose paru en 1862 parmi quatorze petits poèmes en prose précédés de la dédicace à Arsène Houssaye, puis dans l'édition posthume de 1869, placé en tête du recueil comme ouverture. Annonce des axes Commentaire littéraire I- Aspect et structure Le poème se présente sous la forme d'un interrogatoire tendant à percer le mystère d'une identité, consciente de sa différence. Le poème a une disposition typographique particulière

locuteur et sa privation d’amour, puisque la personne rêvée demeure une étrangère, renforçant ainsi le caractère ambigu et énigmatique de celle-ci. | En fait, l’idée d’une présence enveloppante et réconfortante contribue même à amplifier le sentiment de solitude du poète. | Au vers 5, le mot « transparent » suggère que la communication est presque totale. Pourtant, au vers suivant, l’interjection « hélas! », jointe à l’anaphore « elle seule », exprime que l’unique personne susceptible de le comprendre ne

est plus importante et forte que la poésie. Dans "parfum exotique" Baudelaire évoque l'odeur avec le parfum. Le thème principal du poème est le voyage. Sa structure syntaxique met en avant l'importance accordée au cadre de la rêverie. Le parfum sert à se remémorer les souvenirs ainsi que les moments passés. Il évoque très sensuellement la femme aimée. La femme a pour l l'image l'évasion. Dans "la chevelure" de Baudelaire. Baudelaire nous plonge dans l' univers féminin. La femme dans se poème est représenté

Lecture analytique poésie Texte 1 : A UNE PASSANTE : Introduction : Amorce : En bon Parisien, Baudelaire connaît très bien la capitale, de ses recoins mal famés aux plus beaux quartiers. Si la plupart des artistes jusqu’alors trouvent leurs inspirations dans des lieux bucoliques, Baudelaire se complaît à la contemplation de la ville : il est attiré, fasciné par son dynamisme, son agitation, mais ressent également un certain dégoût. Paris est duelle, à la fois source de distraction et de spleen

dans ce poème et participant grandement à la déshumanisation, est la solitude. Elle se retrouve à travers quelques expressions: «ouvriers silencieux» (v.2), «qui fermente de fièvre et de folie» (v.5), «la parole humaine est abolie» (v.7). Ici la parole de l’ouvrier de vaut plus rien, il est réduit à un objet industrielle. Il se retrouve alors seul bloqué dans cette univers sans issus, barricadé de haut murs. Mais cette solitude peut également devenir une prison mentale à laquelle l’humain ne peut

abandonnent les règles classiques, par exemple les trois unités au théâtre, et marquent ainsi une coupure avec le XVII et le XVIIIèmes siècles. Les principaux thèmes sont la mélancolie (la nostalgie d'un passé perdu, notamment le Moyen-Age, mais encore la solitude d'un individu dans un monde ou il ne reconnait pas), l'harmonie avec la nature (lieu de méditation et de communion elle est protectrice ou déchainée, c'est un fidel reflet de l'ame romantique), l'exaltation du moi (libération de l'inspiration artistique

Charles Baudelaire est l’un des précurseurs du courant symboliste, qui s’insère au cœur du XIXe Siècle. Son œuvre majeure, les Fleurs du mal, fut publiée en 1857, mais fit l’objet de nombreuses censures. Il est composé de poèmes écrits depuis 1840. « Parfum exotique » est le premier d’entre eux consacré à sa maîtresse Jeanne Duval qu’il rencontra en 1842. Dans cet écrit, le symboliste tend à nous plonger dans le rêve et à retranscrire sa propre vision de la femme. Le poème est ainsi caractéristique

qu'utilisent les auteurs surréalistes ... Mais le rêve se transforme vite en cauchemar quand on saisit les connotations négatives des paysages oniriques. En effet, les châteaux prennent une dimension inquiétante en symbolisant l’enfermement et la solitude. Dans le dessin qui accompagne « Les tours du silence», les corps sont comme emprisonnés dans la pierre et Eluard écrit: « Ils sont aux mains de l'espace » : on retrouve l'image de la main qui enserre et emprisonne, comme dans le dessin de « Pouvoir

qui ronge et qui détruit, et le besoin du poète de fuir la mortelle appréhension de sa morsure. L’ivresse est un moyen de fuir le temps, de retrouver une légèreté déchargé de la pesanteur de l’écoulement des heures. Elle acquiert une noblesse que Baudelaire n’est pas le premier à lui accorder : elle est divine et Platon en fait un des ressorts de la naissance d’Amour dans le mythe des fêtes d’Aphrodite – Vénus qu’il rapporte dans son dialogue du Phèdre. Ailleurs il fait de la poésie un délire comme

au XVIIIe siècle, au profit du théâtre, du roman et du conte philosophique. ▶ LA POESIE AU XIXE SIECLE. A partir du XIXe s., la poésie ne cessera d’évoluer en se . - Pour les poètes romantiques du XIXe s. (Hugo, Musset, Lamartine, Nerval, Baudelaire), la poésie est le , privilégiant . Les thèmes abordés sont . Mais l’expression du moi est au service des autres : « Ah ! Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui croit que je ne suis