La Seconde Surprise de l'amour

tableau : 1 : le combat. 2 : l’expression d’une jalouse rage. 3 : le vainqueur. Chaque tableau est construit de manière identique. Le fil directeur suit l’idée de surprise dans cette fable. Etude de détail : Titre: Les deux Coqs : titre qui n’est pas évocateur. Vers 1: Il n’y a non pas deux protagoniste mais 3 : effet de surprise. Vers qui est fort marqué par la symétrie qui est protidique et syntaxique. On a un double hémistiche. L’équilibre est rompu par la poule, évènement souligné par

également dans cet églogue les principaux thèmes d'un chant de berger (c'est-à-dire l'amour, la vie campagnarde, la nature, les bergers) dans les répliques de Corydon et Thyrsis. On a par exemple: (v.21-22) " nymphes de Libéthra, nos amours" qui montrent bien la présence du thème de l'amour. (v.25) "champs, cerfs, sangliers, troupeau.." qui montre bien le champ lexical du thème de la campagne qui s'ajoute au thème de l'amour. "lierre, gazon, sources,montagnes, bûches, fleuve.." (v.45) qui représentent

•Dossier_Mise en page 1 19/05/13 12:58 Page5 DOSSIER Portrait d’un amoureux Stendhal et l’amour “L’amour la seule affaire de ma vie”, déclara Stendhal. Sur son testament, une épigraphe reflétant le sens de sa vie : Visse, Scrisse, Amo (la vie, l’écriture, l’amour). Ainsi, l’amour fut l’ultime but de son œuvre et de son existence. par Olivier Hertoux Pour aller plus loin : stendhal-andilly.com H enri Beyle est né à Grenoble le 23 janvier 1783 et décède le 23 mars 1842. À

picturale,  de Praxitèle à Toulouse-Lautrec ou même Roland Topor, laisse en javelle  une embardée de nymphes guettées par des faunes ou satyres, des cohortes de Bethsabées surprises au bain  par quelque puissant monarque, des escouades de Dianes, se baignant nues dans une source et lorgnées par des Actéons en vadrouille. Dès la seconde moitié du XIX° siècle, les artistes, qu'ils soient peintres ou écrivains, se complaisent dans l'exploration de l'intimité de la toilette féminine. [deuxième alinéa : rendre

leur pieds en ensemble et de plus en plus rapidement. Cela appuie habilement l’esprit espagnol de la pièce qui sera encore renforcé plus tard, entre chaque acte et dans certaines scènes où on retrouvera des passages de flamenco avec les musiciens en second plan et les danseurs et acteurs en premier plan. Ces passages, dont les rythmes amplifient la dimension dramatique de la pièce, sont une totale mais ingénieuse prise de liberté de la part du metteur en scène puisqu’ils ne figurent absolument pas dans

sans moi. Pourquoi restes-tu indifférente à mon amour?  J’aime tes yeux, mais je préfère les miens car sans eux je ne verrais pas les tiens.  Pour symboliser la force le lion est là. Pour symboliser la paix la colombe est là. Pour symboliser l'amour que j'ai pour toi je suis là  Dis à l'oiseau de ne plus chanter.Dis au ruisseau de ne plus couler.Dis à la terre de ne plus tourner.Mais ne me dis pas de ne plus t'aimer  Pourtant sans droit à ton égard, j'ai peur de l'instant où tu ne seras

Araminte à aimer Dorante? Nous analyserons d’abord la manière dont Dubois manipule les sentiments d’Araminte, et ensuite nous verrons comment Araminte passe de la dénégation à la «surprise de l’amour». Dubois va user de ses talents d’orateur, de comédien et va mêler mensonge et vérité afin qu’Araminte succombe à l’amour de Dorante. Pour se faire, il va attiser la curiosité d’Araminte au sujet de Dorante par un discours hyperbolique du début à la fin de la scène. C’est le théâtre dans le théâtre

(v. 1-25) EXPLICATION LINEAIREConsidérations d’ordre général  : · Poème se présente comme un récit à la 1re personne sur le thème de l’amour· Cf. Dédicace à Paul Léautaud · Cf. Tout au long : temps du récit : · Imparfait : « ressemblait » ; « sifflotait » ; « semblions » ; « se lamentaient » ; « C'était »

 Séquence 1 – Itinéraires de l’amour : la poésie lyrique Texte 1 Support : L’Olive, sonnet X (1550), Joachim Du Bellay (1522-1560) Du Bellay contribue à enrichir la poésie française en employant une forme considérée comme moderne pour l’époque : le sonnet. Né au XIIIème siècle en Italie, diffusé grâce à l’œuvre de Pétrarque qui chante son amour malheureux pour une jeune femme, le sonnet devient, au XVIème siècle, la forme lyrique par excellence. Du Bellay utilise exclusivement ce type de poème

une tragédie écrite par Jean Racine et publié en 1677. On peut tout de suite constater qu’ils portent sur le même sujet, en l’occurrence : l’amour de Phèdre pour son beau-fils, Hippolyte. C’est dans ces deux passages qu’elle avouera sa flamme, dans un premier temps à Oenone, sa confidente, et dans un second temps à Hippolyte lui-même. De quelle façon l’amour de Phèdre pour son beau-fils est-il déclaré dans ces deux aveux ? On relève tout d’abord qu’Oenone est à l’origine de ces deux aveux.