La Réduction Des Inégalités Est Elle Un Frein à La Croissance

DOCumENt à DétaChER Et à RENvOyER Notice individuelle À compléter et à insérer dans le premier devoir que vous adresserez à la correction à l’attention du professeur correcteur de : (en lettres d’imprimerie) (1) ............................................................................. M. Mme Mlle (2) ........................................................... Prénoms : ........................................................................................... Date de naissance

Dissertation : Peut-on concilier croissance économique et développement durable ? «  Les forêts précèdent les peuples, les déserts les suivent ». Cet adage vieux de plusieurs siècles d’un Chateaubriand pessimiste n’a jamais été aussi d’actualité. En effet, le rythme de croissance moderne fait de plus en plus pression sur l’environnement, et il est urgent d’envisager des solutions afin de préserver l’habitat. Mais dans une société où des objectifs de croissance forte dans certains pays sont clairement

l'inflation est accompagnée du chômage et d'un ralentissement économique. L'inflation se mesure avec l'indice des prix à la consommation, établi par l'INSEE, sur 265 postes. Un indice est calculé pour chaque poste de dépense (articles "du panier de la ménagère"). L'indice général des prix est obtenu par la moyenne pondérée (coefficient budgétaire) de ces indices. Les IPCH (indices de prix à la consommation harmonisés) permettent de comparer les 15 pays de l'UE. L'indice permet de déceler l'inflation

pour effet de freiner la demande et les tensions inflationnistes. → Un soutien de la demande La redistribution des revenus a un effet positif sur la demande. En effet, cette redistribution bénéficie aux ménages à revenu faible qui consommera presque la totalité des revenus secondaires. En parallèle, lorsqu’on augmente les impôts des ménages à haut revenu, ces derniers vont épargner moins et il n’y aura pas de répercussions (ou très peu) sur leur consommation. En somme, la redistribution a pour effet

travail. Aujourd’hui à leur tour, l’ensemble des entreprises contemporaines subissent de plein fouet la crise financière profonde que l’économie porte en son germe en ce début de millénaire. La crise est profonde au point que les États se voient obligés de repenser système monétaire international (SMI) en vue d’une meilleure régulation macroéconomique des flux financiers mondiaux. Lors de l’implantation des chocs successifs, la flexibilité du marché du travail est devenue peu à peu un thème incontournable

aujourd’hui, environ 10 milliards dans moins de 50 ans. D’énormes efforts ont été faits pour faire face aux besoins alimentaires, et le volume de la production a considérablement augmenté. Cependant, plus de 800 millions d’êtres humains souffrent encore de la faim. L’agriculture dans le « Nord » comme dans le « Sud » est une activité qui a, non seulement un impact économique et social important, mais aussi une emprise importante sur l’espace et modifie l’environnement. Cela ne va pas sans conséquences

de la France du XVIII siècle à nos jours Jean-Charles ASSELAIN L'auteur : Jean-Charles Asselain est né à Oran (Algérie), le 28 juin 1942. Après des études d’histoire à l’École normale supérieure de Paris, il a entrepris un doctorat consacré à la planification économique soviétique et une agrégation en histoire suivie d’une agrégation du supérieur en sciences économiques. Il a ensuite été enseignant de sciences économiques et d’histoire économique à Tunis (1968-1970), à l’Université de Paris 1 – Panthéon-Sorbonne

II. LES LIMITES DE LA MONDIALISATION A. Les inégalités de développement Probl : la mondialisation réduit-elle ou renforce-t-elle les écarts de développement ? Débat central sur la question de la mondialisation. Remarque préalable : très forte augmentation de la pop 1900 : 1.5 milliards 1972 : 3.9 milliards 2011 : 7 milliards Arguments favorables : La mondialisation qui s’accélère depuis qques années a permis d’augmenter le niveau de vie de nombreuses personnes dans les pays du « Nord » mais

CROISSANCE, PROGRES TECHNIQUE ET EMPLOI La croissance constitue traditionnellement un enjeu clé pour les économistes compte tenu de ses liens étroits avec la plupart des grandes problématiques économiques d’une part et des choix politiques et sociaux qu’elle implique, d’autre part. Les mots pour qualifier la croissance sont nombreux et divers suivant que sont privilégiés les aspects quantitatifs ou qualitatifs. La désignation la plus courante reste cependant la vision quantitative dont on précise

de 48 heures et la journée de 8 heures. En moins de trente ans, il s’est encore raccourci passant de 48 à 40 heures hebdomadaire avec le Front Populaire en 1936. Il se trouve que l’ensemble des pays industrialisés ont connu le même phénomène. Après un nouveau temps de travail réduit à 39 heures par semaine en 1982 sous la Présidence de François Mitterrand, on s’est retrouvé, à nouveau, confronté à un questionnement en 1997: faut-il encore réduire le nombre d’heures de travail ? La question s’est posée