La Rue Est Elle Un Ennemi Pour La Démocratie

Editions L’Harmattan, Paris (2008) (2de édition) Un résumé du livre est présenté ci-après. Pour obtenir une copie du livre, deux possibilités : Commandez le livre à un libraire (coût 12,50 euros), ou adressez-vous aux éditions L’HARMATTAN (7 rue de l’École Polytechnique 75005 Paris) (il faudra dans ce cas ajouter les frais d’envoi). RESUME DU LIVRE « Le droit international et la guerre » Avant-propos Le but du livre est double : - donner une information claire et précise sur le droit

palestinien, un antisionisme qu’on qualifie d’islamique, l’antisémitisme et le refus des négociations avec Israël. Dans son préambule, la Charte affirme de manière claire, la centralité du « combat contre les juifs » qui doit être mené jusqu’à ce que les ennemis soient vaincus et que la victoire d’Allah soit établie ». Il considère le territoire de la Palestine, de la bande de Gaza et Israël comme devant être celui des musulmans La première intifada prend fin en 1993 lors de la signature des accords dits

s'enrichir, les auteurs de romans-feuilletons si décriés du Paris fin-de-siècle. Sans contredire ce trend séculaire, le long commerce des romanciers cités avec le journalisme montre que nombreux furent ceux qui refusèrent l'attitude des avant-gardes ennemies du vulgaire et du grand public. Certes, la qualité d'homme de lettres attribuée а Édouard Drumont surprend aujourd'hui, mais elle ne posait aucun problème à ses contemporains, y compris à ceux qui combattaient son antisémitisme virulent. Alain Pagès

H. LES FASCISMES C'est la troisième ligne de force de l'entre-deux-guerres, avec la crise de la démocratie classique et le rayonnement du communisme soviétique. Au départ, le mot fascisme vient de l'italien FASCIO ou Fasci italiani di combattimento, associations composées essentiellement d'anciens combattants et de bourgeois nationalistes qui s'emparent du pouvoir en 1922 sous la conduite de Mussolini. Le nom s'étend de l'organisation au régime : le fascisme italien durera d'octobre 1922 (marche

Dijon couronna la réponse de Rousseau qui remporta le prix et accéda à une célébrité qui allait ne jamais le quitter. Chose encore rare à l'époque, sa notoriété allait devenir telle qu'elle lui valut souvent, à Genève ou à Paris, d'être reconnu dans la rue grâce aux nombreux portraits de lui qui circulaient dans les milieux cultivés. Le ‘’Discours sur les sciences et les arts’’ fut publié en novembre et souleva aussitôt une foule de réfutations, notamment celles du pasteur Vernet, de Grimm et du roi

Hégémonie de Thèbes 357 av. JC Montée du pouvoir de Philipine de Macédoine 337 av. JC Ligue de Corinthe 334-323 av. JC Conquête de l’empire perse par Alexandre Au 5ème siècle avant JC, la cité d’Athènes est devenue la plus puissante démocratie, la première force militaire et navale, le foyer intellectuel et artistique du monde grec. Cette période de domination atteint son apogée sous Périclès (cf date ci-dessus) ; il renforce les institutions démocratiques de la cité, qui est embellie

n’a aucune dimension individuelle et ce, jusqu’en 1944. L’universalisation du droit de vote ne signifie pas égalisation du droit de vote. 2) L’apprentissage électoral La participation électorale n’allait pas de soi. Les partisans de la démocratie ont considéré que les citoyens allaient s’emparer de leurs droits en allant voter. Cependant, on s’aperçoit que cela ne fut pas le cas ; par question d’habitude, ils ont été écartés pendant plusieurs siècles de la sphère politique. Il a fallu, donc

parlementaires exercent la justice parce que le Roi a bien voulu leur donner ce pouvoir. On a donc une attaque sérieuse du pouvoir royal. Les choses s'accélèrent en janvier 1649, le Parlement va déclarer que Mazarin est perturbateur du repos public, ennemi du Roi et de son Etat. Le Parlement le condamne au bannissement, il invoque le droit de résistance à l'oppression. On a une division des parlementaires, entre un parti des légalistes et un parti des ultra, les légalistes pensent que cela peut devenir

beau nom de "fraternité" - ce qui ne veut pas dire que tous les citoyens sont gentils (il existe des frères ennemis). La fraternité va beaucoup plus loin que cette mièvrerie bien-pensante qu'on appelle "solidarité". Il s'agit de la racine la plus profonde du contrat social. Elle fait toute la différence entre un Etat de droit où les citoyens s'unissent en un même peuple, et une démocratie communautariste où chaque groupe politique, professionnel, ethnique, religieux, etc. constitue un lobby promouvant

langue ou pour la faire vivre ? Est-ce qu’on doit s’unir pour connaître son histoire ou pour l’ignorer ? C’est nous qui sommes pour l’unité, ce ne sont pas eux ; encore faut-il qu’elle se fasse sur quelque chose de vrai ! A ce moment-là tous ces ennemis même de l’Algérie, parce que, s’ils étaient des patriotes, il ne leur viendrait pas à l’idée de se nier eux-mêmes, de nier l’essence même de la patrie ; justement, en tant que bourgeois, ils ont besoin de l’arabo-islamique parce qu’ils veulent continuer