La Rue Est Elle Un Ennemi Pour La Démocratie

PROGRÈS ET RECUL DE LA DÉMOCRATIE DANS L’ENTRE-DEUX-GUERRES Introduction De Gaulle utilisera l’adage désormais célèbre de 1792, « se réformer ou se briser » en 1958… entre-temps la République aura revêtu des formes diverses, mais observe jusqu’en 1940 -pour ce qui nous concerne- des vices de fonctionnement. Dans toute démocratie, les institutions, nécessaires, sont relatives : elles ont besoin de la Nation, c’est-à-dire d’une réelle activité des votants, de la société, et du renouvellement

crainte car elle a des méthodes expéditives : elle arrête n’importe qui, n’importe quand, n’importe où. Ils ont des mouchards, espionnent, écoutent, font des rapports sur les gens. Ils sont habillés en civil donc on ne peut pas parler ouvertement dans la rue si on veut critiquer le gouvernement. Ceux qui sont arrêtés sont déportés dans les goulags en Sibérie. Ce sont des camps de concentration, des camps de travaux forcés qui fournissent de la main d’œuvre gratuite. En 1944, il y avait 1,2 million de

si aux États-Unis la crise a finalement plutôt contribué à renforcer les institutions et la foi en la démocratie, dans notre pays elle se traduisit par un renforcement des courants extrémistes, à droite (les diverses ligues et autres formations plus ou moins fascisantes) comme à gauche (le Parti communiste, malgré la conversion tactique et momentanée de ses dirigeants à la défense de la démocratie contre le fascisme entre le printemps 1934 et août 1939). Dans l'ensemble donc, une période passablement

propagande des régimes totalitaires vocabulaires figurés en bleu comme les « ennemis du peuple » sont impitoyablesont regroupées dans le glosment éliminés : anti-fascistes, juifs, bourgeois, paysaire en fin de cours. sans riches (koulaks) sont envoyés en camps ou exécutés. On doit même constater que pour réussir dans son dessein de souder la communauté autour d’un projet commun, le so totalitarisme a besoin d’un ennemi et que, s’il n’en a pas, il s’en invente un. Hormis la répression et la surveillance

fuira à Paris le 25 juillet 1793 pour rejoindre Saint-Just)[3]. [pic] [pic] Buste en terre cuite au musée Lambinet à Versailles. De septembre 1786 à mars 1787, Saint-Just est placé, à la demande de sa mère, dans une maison de correction à Paris, rue de Picpus, à la suite d'une fugue. Devenu ensuite clerc auprès de maître Dubois procureur de Soissons, il s'inscrit en octobre 1787 à la faculté de droit de Reims, qu'avaient déjà fréquentée Brissot et Danton, avant de rentrer l'année suivante à Blérancourt

alors d'extrême droite. | | Les mouvements nationalistes au xixe siècle : du « nationalisme ouvert » au « nationalisme fermé » [pic] [pic] Toile de fond du boulangisme, le nationalisme français et la volonté de revanche sur la Prusse (fête nationale Rue Saint-Denis (Paris), par Claude Monet, 1878). [pic] Au xixe siècle, les mouvements nationalistes sont liés à la gauche et au mouvement républicain1. Le nationalisme participe alors de l'idée d'autodéterminationdes peuples et des émancipations nationales

même introduit par l’auteur, il est indispensable que l’on soit averti que l’auteur n’y fait appel qu’à la raison. Cela est indispensable en un temps où la raison a presque autant que jamais des ennemis, qui sont dangereux, où elle a plus que jamais des faux amis, qui sont plus dangereux. On doit nommer ennemis de la raison les déments qui exercent leur démence contre la raison. Et on doit nommer les faux amis de la raison les déments qui veulent que la raison procède par les voies de la déraison. La

Thermopyles Salamine Hégémonie athénienne : Grâce à la ligue de Délos Profite à l’émergence d’une démocratie directe à Athènes - 508 : Réformes de Clisthène, héritage politique Division du pouvoir Autorité suprême à l’Ecclésia Instaure un régime aristocratique tourné vers la démocratie Affirmation de grands principes politiques : Souveraineté populaire, le peuple décide Liberté individuelle SEULEMENT POUR LES CITOYENS

mot : Le Terrorisme. Ce mot a abouti à une définition non partagée par tous. En effet, nous qualifions le terrorisme comme étant des actes et des pratiques criminels et injustifiables. Il porte directement atteinte aux droits de l’homme, menace la démocratie et vise notamment à déstabiliser des gouvernements. Le terrorisme n'est pas une doctrine, c'est une méthode fondée sur l'usage de la terreur. Cependant aucune définition universelle n'a été adoptée. Il s'inscrit en faux contre les principes religieux

Robespierre, il est arrêté et guillotiné avec lui. Hébert, Jacques-René (1757-1794) Journaliste, auteur du journal populaire « Le Père Duchesne », membre de la Commune de Paris. Il accuse le gouvernement révolutionnaire d’être trop indulgent envers des ennemis du peuple. Devenu trop dangereux pour le Comité de salut public, il est arrêté et guillotiné avec d’autres membres de la Commune. Vadier, Marc-Guillaume (1936-1828) Président du Comité de sûreté générale, il dirige le travail du Tribunal révolutionnaire