La Route joyeuse

« J’avais déchiré », l’imparfait avec « J’entrais » et le passé simple avec « Je demandé ». Rimbaud utilise le temps du récit car il nous raconte son histoire. Il raconte sa fugue et sa détermination malgré les difficultés : une route longue « depuis 8 jours » au vers 1 et une route accidentée « déchiré mes bottine » au vers 1 et « aux cailloux des chemin » vers 2. Le fait que son trajet ne soit évoqué que sur 2 vers et en 1 seule phrase montre qu’il n’accorde aucune importance à ce trajet. Cependant la

mines qui un jour ne reviennent pas souper après une explosion, les spectateurs se tenaient, les larmes coulaient sur les faces. Mais lors des prochaines chansons tel que Les Choses Évidentes, qui comme la titre le dit est une chanson rigolote et joyeuse qui nous fait remarquer des choses que nous connaissons tous déjà, la foule elle riait et chantait avec Stef, criant les réponses de la chanson avec entrain. Stef essaye de faire embarquer la foule de cette façon en incorporant des chansons à répondre

Alger (en arabe الجزائر, al-Jazā'ir2, al-Jazāir ou Al Djazāir3 ; en arabe algérien الدزاير, Dzayer4 ; en berbère Lezzayer Tamanaɣt, لدزاير تامنغت), surnommée el Bahdja (« la Joyeuse »), el mahroussa (« la bien-gardée ») ou « la blanche », est la capitale de l'Algérie et la plus grande ville du pays. Située au bord de la mer Méditerranée, la ville donne son nom à la wilaya dont elle est le chef-lieu. La ville d'Alger est en fait constituée de plusieurs communes. L'unité urbaine d'Alger comptait

montre aussi la place importante qu’occupe le spleen. Pour nous rapprocher au spleen, Baudelaire nous décrit le destin comme un « chemin bourbeux ». Ainsi il démontre un contraste à l’habituelle représentation de la vie telle une longue route tranquille et joyeuse. L’auteur utilise d’autres expressions pour définir la vie notamment a la vers 7 « le canevas banal de nos piteux destins ». A la ligne 23/24 on peut aussi noter la personnification de la mort « la Mort ... descend ». Ceci indique que la

biens; l'aîné s'éloigne alors de la maison, et la paix revient au foyer. L'avenir ne semble pas sourire aux jeune homme de seize ans qui, aux vacances d'été 1831, est retourné dans sa famille. Et cependant, un matin du mois d'août, Jean prend la route de Chiéri où, pendant les dix prochaines années, il étudiera pour devenir prêtre. Le 30 octobre 1835, Jean Bosco, revêtu de la soutane, entre au Grand Séminaire de Chiéri, et il est ordonné prêtre le 5 juin 1841. À Turin l'abbé Bosco prend conscience

n'était pas besoin, du moment qu'il arrive, de nous en dire si long. Puissions-nous retrouver l'enfant dans le coeur de l'homme. MAITRE BLAZIUS Ma foi, l'écuelle est vide ; je ne croyais pas avoir tout bu. Adieu ; j'ai préparé, en trottant sur la route, deux ou trois phrases sans prétention qui plairont à monseigneur ; je vais tirer la cloche. Il sort. LE CHOEUR Durement cahotée sur son âne essoufflé, dame Pluche gravit la colline ; son écuyer transi gourdine à tour de bras le pauvre animal

il associe au voyage et à la liberté l’image de la fantaisie et de l’insouciance des milieux littéraires et artistiques connus sous le nom de bohème. Le sous-titre du poème est également explicite : il met en évidence l'insouciance et la liberté joyeuses de la vie évoquée, et se retrouve aussi dans l'écriture qui joue avec les codes poétiques. Tout le poème peut être soumis à cette double lecture. B. Un voyageur poète La poésie semble être l’activité essentielle du jeune voyageur. Le mot rime

n'était pas besoin, du moment qu'il arrive, de nous en dire si long.
Puissions-nous retrouver l'enfant dans le coeur de l'homme. MAITRE BLAZIUS 
Ma foi, l'écuelle est vide ; je ne croyais pas avoir tout bu. Adieu ; j'ai préparé, en trottant sur la route, deux ou trois phrases sans prétention qui plairont à monseigneur ; je vais tirer la cloche.
Il sort. LE CHOEUR
 Durement cahotée sur son âne essoufflé, dame Pluche gravit la colline ; son écuyer transi gourdine à tour de bras le pauvre animal

sa place une société galbeuse avec le bricheton assuré et la liberté à la clé... C'est l'idée qu'en ces temps-là, on se faisait de la république. Aussi, quand l'empire croula ce fut une sacrée jubilation : on allait vivre enfin, la Belle était en route! Je t'en fous ! Elle s'est bien amenée - mais quelle garce. Au lieu de la Marianne de ses rêves, le populo a vu une affreuse pétasse réservant ses caresses à tous les charognards de la haute. Banquiers, frocards, chats-fourrés et porte-rapière sont

il associe au voyage et à la liberté l’image de la fantaisie et de l’insouciance des milieux littéraires et artistiques connus sous le nom de bohème. Le sous-titre du poème est également explicite : il met en évidence l'insouciance et la liberté joyeuses de la vie évoquée, et se retrouve aussi dans l'écriture qui joue avec les codes poétiques. Tout le poème peut être soumis à cette double lecture. A. Un voyageur poète La poésie semble être l’activité essentielle du jeune voyageur. Le mot rime