La Rose écarlate

couleurs Les adjectifs de couleurs peuvent aussi être juxtaposés comme “ le sable rose et orange qu’a lavé un ciel vineux “ dans métropolitain ( effet de plage lumineuse aux couleurs intenses, nettoyée de la grisaille ) Le rouge ( passion, violence ) et le noir ( ténèbre, mort ) sont les couleurs dominantes dans Illuminations : - Parade : les yeux sont “rouges et noirs” - Being Beautous : il y a a des “blessures écarlates et noirs” I.BRimbaud aime la peinture claire, il donne dans sa poésie une vision

son œil seul s'allumait vaguement, et sa peau très brune se colorait aux joues d'une teinte plus rose. Le café les acheva. On parla de chanter et chacun dit son couplet, que les autres applaudirent avec frénésie. Puis on se leva difficilement, et, pendant que les deux femmes, étourdies, respiraient, les deux hommes, tout à fait pochards, faisaient de la gymnastique. Lourds, flasques, et la figure écarlate, ils se pendaient gauchement aux anneaux sans parvenir à s'élever ; et leurs chemises menaçaient

maîtrise pas les codes inhérents à cette caste. Ainsi, l’apparition de la reine, à l’acte I scène 5, donne lieu à la didascalie et à l’échange suivants : La reine, vêtue magnifiquement, paraît, entourée de dames et de pages, sous un dais de velours écarlate porté par quatre gentilshommes de chambre, tête nue. Ruy Blas, effaré, la regarde comme absorbé par cette resplendissante vision. Tous les grands d’Espagne se couvrent, le marquis del Basto, le comte d’Albe, le marquis de Santa Cruz, don Salluste

couleurs tertiaires sont obtenues par le mélange d’une couleur primaire et d’une couleur secondaire. Rouge + violet = pourpre Bleu + violet = indigo Bleu + vert = turquoise Jaune + vert = vert chartreuse Jaune + orange = doré Rouge + orange = écarlate Couleurs complémentaires : La couleur complémentaire d’une autre est celle que l’on retrouve diamétralement à sont opposé sur le cercle chromatique. Ainsi, le vert est la couleur complémentaire du magenta, l’orange est la complémentaire du cyan

l'image de la peinture dans les deux textes. Ainsi, dans celui de Proust, le narrateur-personnage assimile le paysage qu'il regarde à une peinture, le champ lexical de la couleur ( « noir », « rose », « peintre », « teint », « pastel », « aviva », « incarnat » , « bleu », « nacre opaline », « rouge », « écarlate », « versatile », « tableau ») appuie sur cette idée : le narrateur regarde une scène, un tableau en perpétuel changement de teinte, comme si un peintre venait apporter une touche de couleur

verte, des draps blancs • Il est invariable lorsque la couleur est désigné par un objet o Des robes azur, une chemise orange, des tissus argent • Important : écarlate, fauve, mauve, pourpre et rose sont des adjectifs qui s’accordent o Des gilets roses, des tissus écarlates • Lorsqu’une couleur est désigné par deux mot ou plus il reste invariable o Jaune citron o Vert pâle o Bleu marine • Important :

se demander dans quelle mesure apprécie-t-on les romans qui sont le reflet de leurs époques ? Les romans qui sont le reflet de leurs époques nous montrent la vision subjective de l’auteur sur son époque. Par exemple Karen Rose dans son roman Les Roses écarlates (2010) nous montre les dangers de la société en effet son héroïne Eve Wilson, s’est fait agressée (poignardée, étranglée et violée) et tandis qu’elle s’est réfugiée dans un monde virtuel un prédateur rôde sur Internet. Evidemment

noir qui revêtaient tout le plafond et les murs, et retombaient en lourdes nappes sur un tapis de même étoffe et de même couleur. Mais, dans cette chambre seulement, la couleur des fenêtres ne correspondait pas à la décoration. Les carreaux étaient écarlates, d’une couleur intense de sang. Or, dans aucune des sept salles, à travers les ornements d’or éparpillés à profusion çà et là ou suspendus aux lambris, on ne voyait de lampe ni de candélabre. Ni lampes, ni bougies; aucune lumière de cette sorte

luxe et la richesse, Belle est douce, modeste et s’intéresse à la lecture. Elle entretient une relation très forte avec son père, au point de se sacrifier à sa place lorsque ce dernier se retrouve condamné à mort par la Bête pour avoir cueilli une rose. Belle part vivre chez la terrible Bête et découvre, au delà de sa laideur, un être généreux qui ne demande qu'à aimer et se faire aimer en retour. « Vous m'apprîtes à démêler les apparences qui déguisent toutes choses. Je sus que l'image trompe

une fraise une fleur de nymphéa au cœur écarlate, blanc sur les bords. Plus loin, les fleurs plus nombreuses étaient plus pâles, moins lisses, plus grenues, plus plissées, et disposées par le hasard en enroulements si gracieux qu'on croyait voir flotter à la dérive, comme après l'effeuillement mélancolique d'une fête galante, des roses mousseuses en guirlandes dénouées. Ailleurs un coin semblait réservé aux espèces communes qui montraient le blanc et le rose proprets de la julienne, lavés comme de