La Rose écarlate

avait tinté de nouveau. Le valet annonça: "Mme de Marelle." C'était une petite brune, de celles qu'on appelle des brunettes. Elle entra d'une allure alerte; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs. attirait l'oeil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu'il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. Mme Forestier s'élança: "Bonjour

nouveau. Le valet annonça: "Mme de Marelle." C'était une petite brune, de celles qu'on appelle des brunettes. Elle entra d'une allure alerte; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. 19 Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs. attirait l'oeil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu'il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. Mme Forestier s'élança: "Bonjour

de nouveau. Le valet annonça : – Mme de Marelle. C’était une petite brune, de celles qu’on appelle des brunettes. Elle entra d’une allure alerte ; elle semblait dessinée, 37 moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs, attirait l’œil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu’il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. Mme Forestier s’élança : –

tinté de nouveau. Le valet annonça : – Mme de Marelle. C’était une petite brune, de celles qu’on appelle des brunettes. Elle entra d’une allure alerte ; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs, attirait l’œil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu’il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. me M Forestier s’élança : –

Volodia dans le salon des Arapoff en murmurant : — N’oubliez pas le baisemain, jeunes gens ! Zénaïde Vassilievna Arapoff était assise dans un grand fauteuil près de la table chargée de porcelaines blanches. C’était une femme de quarante ans, potelée et rose, au nez retroussé, au regard tendre. Elle était myope, et plissait les yeux en parlant. D’autres dames l’entouraient et causaient avec animation en tournant des cuillers musicales dans leurs tasses. — Voilà notre petit Volodia et son futur compagnon

tinté de nouveau. Le valet annonça : - Mme de Marelle. C’était une petite brune, de celles qu’on appelle des brunettes. Elle entra d’une allure alerte ; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs, attirait l’œil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu’il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. Mme Forestier s’élança : -

nouveau. Le valet annonça : - 27 - « Mme de Marelle. » C’était une petite brune, de celles qu’on appelle des brunettes. Elle entra d’une allure alerte ; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs. attirait l’œil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu’il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. Mme Forestier s’élança : «

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avait tinté de nouveau. Le valet annonça «Mme de Marelle.» C'était une petite brune, de celles qu'on appelle des brunettes. Elle entra d'une allure alerte; elle semblait dessinée, moulée des pieds à la tête dans une robe sombre toute simple. Seule une rose rouge, piquée dans ses cheveux noirs, attirait l'oeil violemment, semblait marquer sa physionomie, accentuer son caractère spécial, lui donner la note vive et brusque qu'il fallait. Une fillette en robe courte la suivait. Mme Forestier s'élança: «Bonjour