La Relation Du Cerveau à La Pensée Bergson

Introduction à la philosophie : La Philo vient de Philein = Amour et de Sophia = sagesse. Ainsi, à la base, c’est l’amour de la sagesse. Elle est née au V° siècle avant J.-C., avec un Grec : Socrate. Avant lui, c’était ce qu’on appelle les penseurs pré-socratiques dont trois se signalent : Héraclite, Parménide et Pythagore. Plus physiciens que philosophes, on leur doit l’apparition de nouvelles sciences : les maths, physique, astronomie, puisqu’ils s’intéressent beaucoup à l’homme, à l’univers

transmissibles, destinés à produire certains résultats, jugés utiles. » (Lalande) La technique est d’abord un moyen. La technique désigne les procédés d’abord conçus par lesquels les hommes adaptent la nature à leurs besoins. La technique est une réponse intelligente à la conservation de la vie humaine. Elle est une médiation artificielle entre nos besoins et le monde : elle est le détour par lequel nous rapportons à la nature et aux autres. En ce sens elle correspond à une nécessité : la capacité

Peut-on se mentir à soi-même ? Cette question qui semble simple possède en fait une grande philosophie. Tâchons d'y répondre sans mentir.Le mensonge est l'intermédiaire entre l'erreur et la vérité. Il est définit à la fois par le vrai et par le faux. se mentir à soi-même équivaut à mentir à son être conscient, le soi. Le verbe pouvoir exprime la possibilité. Répondre à ce sujet équivaut à répondre à la question suivante : l'homme a t-il la possibilité de prouver le faux à son soi conscient alors

 Henri BERGSON (1859-1941) La pensée et le mouvant ESSAIS ET CONFÉRENCES. (Articles et conférences datant de 1903 à 1923) Un document produit en version numérique par Mme Marcelle Bergeron, bénévole Professeure à la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel: mailto:mabergeron@videotron.ca Site web: http://www.geocities.com/areqchicoutimi_valin Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et

De la série à l’éthos : philosophie de Salanskis Introduction Trois centres d’intérêt chez Salanskis : - Les mathématiques : L’herméneutique formelle, Le constructivisme non-standard (intro et conclu, le reste est « indigeste ») (1999), Philosophie des mathématiques (2008, synthèse des deux autres), Vivre avec les mathématiques (2009, le plus « lisible »). - Lévinas et la tradition juive (mais on n’en parlera pas dans ce séminaire) - Philosophie contemporaine, de tous pays : « Derrida

|Mémoire sur | |la décomposition | |de la pensée | | | |

on peine souvent à distinguer avec certitude, chez l'individu ou dans un peuple, ce qui relève de la nature et ce qui relève de la culture. En passant à une échelle supérieure, et ultime, d’observation, nous nous trouvons très brutalement confrontés à deux conceptions antagonistes des rapports entre nature et culture. Le conflit entre ces deux manières d’envisager ces rapports atteint son intensité maximale. A- NATURE Le terme de nature renvoie à ce qui existe spontanément, à ce qui est originel

……………………………..…………………..……….... page 3 à 4 II Une résistance au passé : 1) La résistance à l’Académisme ………………………………………..….. page 5 à 7 2) L’opposition et le refus du « déjà vu, déjà fait » …..…..…………..….. page 8 à 10 III Une résistance contemporaine : 1) Une résistance au quotidien……………..…………………………….. page 11 à 13 2) Une résistance politique...………………………..…………….………. page 13 à 19 3) Une résistance radicale.……………...………………………..……….. page 20 à 21 IV Conclusion ……………………………………………………

La liberté extérieure A. La liberté comme absence d’entraves (Hobbes) B. La liberté et la loi 1. Etat de nature et Etat social 2. Liberté négative et liberté positive 3. L’esclave et l’enfant 4. La liberté d’expression C. Travail et liberté 1. La libération par le salaire 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 3. La libération par la technique (Marx) 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) II. La liberté intérieure A. L’origine du concept de

les autres de mon bon sens. J’aurais moi-même pensé comme eux si, des faits que je vais raconter, je n’avais été le spectateur accidentel et rebelle. De leur apparente absurdité, je suis tellement conscient que je n’en ai jamais parlé à mes confidents les plus intimes. Si je me décide aujourd’hui à rompre le silence, c’est que je ne me reconnais pas le droit de laisser détruire après ma mort le seul objet témoin de cet étrange rêve.  Je demande à ceux qui me liront, avant de rejeter comme invraisemblables