La Relation Des Personnages Phèdre

historique Registre didactique : But : explicatif. Question : Quelles sont les origines des "monstres" ? Énonciation : "nous" = dénonciateur + tout le monde et "tu" = destinataire, lecteur. ⤷ Ce qui signifie que l'on assiste à une relation maître-élève au savant-inconscient Présence des dessins et schémas : prouvant la volonté de l'auteur à donner un aspect scientifique à sa thèse. Présent de vérité générale : jusqu'au 3 eme paragraphe : faits historiques Le vocabulaire et champ

de cartes, allusions au fait de se perdre dans la ville, références explicites à la mythologie du labyrinthe (Thésée). Cependant, le labyrinthe le plus évident, le plus voyant, est celui que construit le narrateur J. Revel, dans lequel se perd le personnage J. Revel, et avec lui le lecteur : le labyrinthe est habituellement une notion référée à l'espace ; dans L'emploi du temps, on a affaire à la construction d'un labyrinthe fondé sur le temps, sur l'épaisseur temporelle. Le labyrinthe Des trois

Commentaire Composé sur Phèdre Créée le 1er janvier 1677, Phèdre représente la meilleure pièce tragique de Jean Racine. Nous allons étudier la scène 2 de l’acte 4 contenant une tirade importante de Thésée, père d’Hippolyte et roi d’Athènes. Une tirade est une longue suite de phrases ou de vers récités sans interruption par un personnage, elle est souvent employée dans les pièces de théâtre. Dans cette tirade Thésée est très énervé contre son fils qui l’a « trahi ». Nous pouvons nous posez la question

extraordinaire ou banal ? cf La princesse de Clèves et M. de Nemours se rencontrent lors d’un bal royal : leur rencontre est marquée par le regard social de la cour qui pèse sur leur relation. A quelle saison la rencontre a-t-elle lieu ? Le printemps y est propice. Point de vue : la scène est-elle vue à travers les yeux d’un personnage ou rapportées par le narrateur de façon objective ? cf Princesse de Clèves : la scène n’est vue ni à travers les yeux de Mme de Clèves ni M/ de Nemours. Le lecteur assiste

base d’une pièce de théâtre, sans lui, il n’y a pas de pièce. Ce texte est écrit par les auteurs, de façon bien construite et travaillée, dans lequel ils choisissent soigneusement leurs mots afin d’attribuer des textes bien particuliers à chaque personnage. L’auteur embellit son texte avec des figures de style qui rendent le langage plus expressif, soit pour l’atténuer soit pour insister sur une phrase, un mot ou une pensée. Les figures utilisées le plus souvent sont les métaphores, les allitérations

pourquoi il faut lire une œuvre dramatique en ne perdant pas de vue que son aboutissement est la représentation. I COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE Le prologue : Avant-propos qui précède parfois l'action proprement dite, récitée par un personnage généralement étranger à l'action, et qui raconte des événements antérieurs, explique les intentions de l'auteur ou s'efforce de gagner l'indulgence du public. Exemples : Le prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur

SOUS LE SIGNE DE PHEDRESOUS LE SIGNE DE PHÈDRE La Belle Madame Le Vassart et La Curée Les recherches actuelles de la théorie littéraire mettent en évidence que l'intertextualité n'est pas seulement la fonction, mais plutôt le mode d'être du texte littéraire. Cela veut dire qu'il est toujours précédé et suivi d'autres textes, qu'il se trouve dans une situation intertextuelle. Ce qui importe donc le plus, c'est le statut textuel de l'œuvre littéraire se proposant au travail interprétatif du

jeune fille a été tenue à l’écart des réalités. Horace, fils d’Oronte (un autre ami d’Arnolphe), est tombé amoureux d’Agnès au premier regard ; il se confie à Arnolphe dont il ignore le rôle de tuteur, lui avouant qu’il a fait sa cour et raillant le personnage de M. de La Souche. Ce dernier en conçoit de l’amertume. Acte II - Alain et Georgette, les serviteurs, sont réprimandés pour avoir permis à un jeune homme de rencontrer sa pupille. Arnolphe interroge Agnès afin de savoir ce qu'il s’est passé

Commentaire de texte : Phèdre, acte II, scène 2 Dans Phèdre de Racine, la nouvelle de la fausse mort de Thésée (inventé par Racine) délie les langues. L’acte I de cette pièce met en scène deux aveux symétriques à deux confidents : l’aveu d’Hippolyte à Théramène et l’aveu de Phédre à Oenone. Cette dramaturgie de l’aveu involontaire est le moteur de cette pièce, elle tisse l’intrigue, constitue le point d’impulsion de la machine tragique. Elle se retrouve bien sûr dans l’acte 2 qui semble répéter

terreur et la pitié afin d’opérer une purgation des passions qu’il nomme catharsis. Le tragique intervient lorsque les personnages ont conscience que le destin les accable et qu’ils ne peuvent lutter. Le XVIIe siècle Siècle du classicisme, voit l’apogée d’un genre tragique qui devient extrêmement codifié. La tragédie est en vers, comprend cinq actes, doit présenter des personnages de haut rang et le sujet tragique par excellence est le conflit de la passion avec la raison. Au XIXe siècle, au XXe