La Recherche Du Bonheur Par Madame Bovary

tua devait faire descendre Mon corps auprès du sien pour finir mon émoi ; Aussi bien, vu le mal qu’en sa mort je reçois, Je ne saurais plus vivre, et me fâche d’attendre. Quand ses yeux m’éclairaient, et qu’en terre j’avais Le bonheur de les voir, à l’heure je vivais Ayant de leurs rayons mon âme gouvernée. Maintenant je suis mort : la Mort qui s’en alla Loger dedans ses yeux, en partant m’appela Et me fit de ses pieds accomplir ma journée. SEQUENCE

de « Le duc de Nevers, dont le vie était glorieuse… », à «… il levait les yeux jusqu’à elle » -Tome I, ♦ page 18, de « Le lendemain qu’elle fut arrivée… », à «… il alla le soir chez Madame, sœur du roi » -Tome I, ♦ pages 30 à 31, de « Elle passa tout le jour des fiançailles… », à « … il ne put admirer que Madame de Clèves » -Tome III, pages 101 à 102, de « Eh bien, monsieur, lui répondit-elle… », à «…pour avouer cette vérité que pour entreprendre de la cache » -Tome IV, pages 152 à 155, de « Je

le devoir selon un axe unique !!! I-Le personnage est le « lieu » d’une « conversation » entre le lecteur et son auteur. 1-Pour l’auteur il est une sorte de prisme complexe dans lequel il peut se refléter : ( On connaît le « Madame Bovary, c’est moi » de Flaubert. Le goût d’Emma pour les romans sentimentaux, ces inclinations romantiques sont aussi celles du jeune Flaubert dans ses premiers ouvrages. ( Philippe Claudel, dans un entretien à propos du Rapport de Brodeck, un autre

sur l'ensemble de l’œuvreFrédéric : p.41-42 ébauche d'éthopée « il poussa un grand soupir » / nostalgieéthopée continuelle tout au long de l’œuvre à travers le regard du narrateur, mais aussi du point de vue interne (ex. p.43 : « il trouvait que le bonheur mérité par l'excellence de son âme tardait à venir. »).MARIE ARNOUX / éthopée du début jusqu'à la fin, progressive, et toujours à travers le regard de F.→ p. 155 : « Il en vint même à savoir ses antipathies et ses goûts : certains parfums lui faisaient

poétique, de grands rideaux de velours bleus, noirs ou de toiles grises dressés selon une organisation géométrique dont le dépouillement met l'accent sur le jeu des personnages et sur l'action dramatique. Georges Pitoeff tend à une extrême rigueur et recherche avant tout la pureté et l'essence de chaque spectacle, dont Ludmilla est le coeur brulant, l'âme. D'abord influencé par Stanislavski,Komissarjevskaia et Jacques Copeau, Pitoeff affirme rapidement un tempérament original, et voue au théâtre international

tout itinéraire, il faut avoir fait tout le trajet, relevé toutes les difficultés, surmonté un certain nombre d’obstacles, s’être un peu perdu, avoir dû faire demi tour pour pouvoir le tracer pour quelqu’un d’autre. La dissertation retrace cette recherche avec ses erreurs, ses demi-tours, ses raccourcis parfois. Elle ne donne donc pas d’emblée la réponse la plus juste, elle retrace le chemin qu’il a fallu parcourir pour la trouver. La première partie commence donc par proposer une première direction

partagée entre le Spleen et l'Idéal (Harmonie du soir – La cloche fêlée – La Mort des pauvres, il a su réussir une « alchimie poétique » exemplaire en extrayant Les Fleurs du mal dans son recueil publié en 1857Poète du monde réel et de la beauté, du bonheur et de la souffrance, de la morbidité et du péché, il a en grande partie fondé le type du poète tourmenté et inadapté au monde. Les poetes de fin du siecle : le symbolisme : Les figures de Verlaine (1844 – 1896) et de Rimbaud (1854 – 1891) prolongent

don Quichotte et Sancho Pança rencontrent au crépuscule des chevriers qui les accueillent cordialement. Au cours du souper, tandis que Sancho, affamé, s’empiffre, don Quichotte s’exalte en proclamant son idéal de paix, le merveilleux âge d’or et le bonheur qui s’ensuivront. Les chevriers vont assister à l’enterrement de Chrysostome, «l’étudiant berger mort d’amour pour cette endiablée de Marcelle» qui l’a éconduit avec une rare cruauté. Alors que sa dépouille est sur le point d’être recouverte de terre

jusqu’à nous. Né dans la noblesse en réaction contre la grossièreté et la licence de la cour d'Henri IV, l'esprit précieux est d'abord, avant de dégénérer, un esprit de mesure et de politesse ; il vise à réintroduire la décence, la bienséance, à rechercher la délicatesse, l'élégance et le raffinement dans tous les domaines : le langage, les manières, l'habillement, la décoration intérieure, l'expression des sentiments (et de l'amour en particulier), l'art (peinture, musique, danse, et, bien sûr, littérature)

ŒUVRE(S) REMARQUE PRÉLIMINAIRE Pour la présentation des noms d’auteur et des titres, se reporter à la fin de la méthode du commentaire composé. GESTION DE L’ÉPREUVE Durée de l’épreuve 4h 6h 7h Préparation 2h 3h 3h Analyse du sujet 15’ 30’ 30’ Recherche d’ idées 45’ 1h 1h Plan détaillé 30’ 1h 1h Intro-Ccl 30’ 30’ 30’ Rédaction 2h 3h 4h Développement 1h45 2h45 3h30 Relecture 15’ 15’ 30’ ANALYSE DU SUJET Lire très attentivement le sujet en en faisant une mini-explication de texte. Peser