La Prison Est Elle Nécessaire

PRESENTAION DU MEMOIRE : Communards et anarchistes en prison sous la IIIème République (1871-1914) Le mémoire que nous présentons ici s’intitule Communards et anarchistes en prison sous la IIIème République (1871-1914) et traite donc de répression politique en abordant celle de ces deux mouvements, que sont la commune de Paris et l’anarchisme et plus particulièrement des conditions d’incarcération des acteurs de ces mouvements condamnés à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle

après)  Amélioration de la qualité de vie Le coût du sans-abrisme Fournisseur de services NYC DHS – Centre d’hébergement NYS OMH – Hôpital NYC HHC – Hôpital Medicaid – Hôpital Medicaid – Consultations externes VA – Hôpital NYS DCJS – Prison NYC DOC – Prison Total Nbre moyen de jours (2-ans Coût avant-NY/NY) par jour Coût annualisé 137 $68 $4,658 57.3 16.5 35.3 62.2 (visits) $437 $755 $657 $84 $12,520 $6,229 $11,596 $2,612 7.8 9.3 10 $467 $79 $129 $1,821 $367 $645 $40,449 NY/NY économies:

son action sur le terrain pour résoudre les problèmes concrets rencontrés par les plus pauvres des Afro-Américains. Newton s’inscrit parallèlement à la San Francisco Law School. Il purge en 1964 une peine de prison de six mois, consécutive à une agression à l’arme blanche. À sa sortie de prison, en 1965, les deux hommes se retrouvent au Merritt College où ils adhèrent au Soul Student Advisory Council, une structure émanant du RAM. Ils y participent à une mobilisation pour mettre en place un cycle de

grâce. Voyons, qu'ils donnent leurs raisons. Ceux qui jugent et qui condamnent disent la peine de mort nécessaire. D'abord, - parce qu'il importe de retrancher de la communauté sociale un membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. - S'il ne s'agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu'on peut s'échap- per d'une prison ? faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, com- ment osez-vous

------------------------------------------------- ------------------------------------------------- LE CITOYEN ET LA JUSTICE ------------------------------------------------- Un prisonnier est-il un citoyen comme les autres ? ------------------------------------------------- La prison est depuis de nombreuses années au centre de débats quant aux conditions d’incarcération ou d’application des peines. Mais au-delà de ces questions, il s’agit de savoir si les détenus, qui ne cessent pas d’être citoyen, peuvent exercer leurs droits

catastrophiques. Les prisons sont surpeuplées (parfois à plus 140 %) mais aussi vétustes, inadaptées (la prison des Baumettes a été au centre d’un scandale en 2013 à cause de ces problèmes). Les détenus vivent des situations de promiscuité insoutenables, mais aussi de violence, de racket, de viol. On ne peut pas accepter que les conditions de détention soient à ce point inhumaines. Soit on construit plus de prisons (modèle américain), soit on incarcère moins. Augmenter le nombre de prisons, c’est parfois

assassiné. Quel genre de punition est-ce que les coupables méritent? Certaines personnes sont convaincues que la société devrait enfermer les criminels dans une prison pour l'éternité, tandis que d'autres croient que les coupables devraient souffrir et mourir de la même manière que leurs victimes. A mon avis, la peine capitale est nécessaire afin d'arrêter la violence qui augmente continuellement dans la société. Il est impératif que la société impose des punitions sévères pour assurer la sérénité

Commons NC-BY-SA 3 Table des matières INTRODUCTION ____________________________________________________________ _____________ 4 Chapitre premier FAUX BILAN ____________________________________________________________ _ 7 Chapitre II LA PRISON COMPULSIVE ______________________________________________________ 18 Chapitre III JUSTICE AUTOMATIQUE ______________________________________________________ 28 Chapitre IV MINEURS DÉLINQUANTS. LE DÉBUT DE LA BARBARIE?_________________________ 36 Chapitre

depuis 2009 fait face à une hausse du taux de criminalité, favorisant ainsi la surpopulation carcérale. Cette situation, accablée par les questions de respect des droits de l’homme, rend actuel le thème de la prison, prérogative de la puissance publique. Privilégiant l’humanisation de la prison, on semble toutefois oublier l’envers du décor que représentent les personnes détenues par rapport à l’Etat. Dans le dessein de trouver des moyens pour permettre à l’Etat d’assurer sa mission de protéger l’intérêt

plus de statut juridique. Il n'est plus qu'un être biologique et utilise son corps pour contester son départ. Par exemple, une maladie grave le contraint de rester sur le territoire si son pays d'origine n'est pas en mesure de lui donner les soins nécessaires. Mais ce n'est qu'en 2001 qu'un premier statut des CRA leur confèrent des droits, ceux-ci surveillés de leur mise en œuvre par la CIMADE, on parle alors de « biolégitimité ». Les personnes restent davantage des êtres biologiques que des être humains