La Prairie

là mon garçon Mon cerveau , à ma grande surprise analysait tout ce qui était en train de m'arriver à une vitesse surprenante . La nuit envoutante était là et la prairie qui s'étendait devant moi était seulement éclairé par le clair de lune . Au premier coup d'œil on pouvait voir que la lumière dans laquelle baignait cette prairie était rouge . Levant les yeux je pus voir une lune que je ne connaissait pas . Rouge feu elle semblait plus près qu'a l'ordinaire . La voix se fit plus insistante

lorsque il longe ces chemins. Le passage qui suit est une longue description, avec plein de détails sur la nature et le décor avec les champsde maïs, les couleurs, les feuilles brunes.. Il raconte ses escapades vers le nord, où habitent les chiens de prairie afin de regarder les chouettes de terriers, il cite Antonia qui aimait l'accompagner. Ils se méfiaient des serpents qui rôdaient et qui s'emparaient des nids d'oiseau. Après ce passage c'est de Antonia que Jim parle, il dit qu'elle avait un avis sur

La nouvelle « Coco » de Guy de Maupassant paraît d'abord dans la revue Le Gaulois du 21 janvier 1884, puis dans le recueil Contes du jour et de la nuit en 1885. Il s'agit d'un récit réaliste, plein de petits faits vrais, évoquant un événement à la fois banal et exceptionnellement choquant, dans une ferme à la campagne : la persécution d'un animal par un jeune paysan. Nous nous demanderons comment ce récit transmet une vision cruelle de l'Homme. Nous évoquerons tout d'abord l'art de la nouvelle :

est la vie quotidienne de la tribu des Lakotas. 3. TON: réaliste - familier - descriptif - poétique - lyrique - ironique - comique - pathétique - épique – tragique Descriptif : il y a des longues descriptions du camp des Indiens. Aussi de la prairie. Réaliste : la description de la vie des Indiens est très réaliste. Fantasie : l’histoire de la cabane magique est inventée. 4. PERSONNAGES PRINCIPAUX: | NOM | FONCTION

loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. Intro : → Charles Baudelaire (1821-1867) : grand poète

pourrait aller. * Il ignore ce qu’il pourrait demander. * Remplacez la proposition relative en gras par un verbe à l’infinitif. Vous construirez ainsi une proposition infinitive. * Ils voient les chevaux qui galopent dans la prairie. * Nous entendons mon frère qui joue du violon. * Nous sentons le vent qui se lève brusquement. * Composez à votre tour deux phrases sur le même modèle (l’une comportant une proposition relative, l’autre une proposition infinitive)

aux perceptions sensorielles : elles sont en effet omniprésentes dans le poème : → les perceptions visuelles : - à travers des éléments visuels : « le temple » et « ses piliers », « les forets », « la nuit et la clarté », « les couleurs », « les prairies vertes » - à travers des verbes et nomes dénotant la vue : « observent », « regards ». → les perceptions auditives : - à travers des noms dénotant le son : « paroles », « échos », « sons », « hautbois » - à travers de verbes impliquant l’ouïe :

fricatives, consonnes de vent en allitérations. Il faut lui trouver des équivalences plus palpables. Sensations avec trois " comme " successifs, avec du : · tactile : " chairs d'enfants fraîches ", · musical : " le hautbois ", · visuel : " vent, prairie, printemps ". De plus, on remarquera que ces sensations ne sont pas enfermées, mais débordent de leur domaine. Le poète cherche un 2ème exemple, auquel il ne donne plus d'équivalences sensuelles mais morales, avec les notions de " corrompu, riche

| |1862. Préférant le naturel, il peint en plein air. Avec Monet, il |Le déjeuner des canotiers, 1881 | |découvre comment rendre les effets de la lumière en éclaircissant |Dans la prairie, 1890 | |ses tableaux par des touches de couleur variées. C’est la naissance |Deux jeunes filles au piano, 1892 | |de l’impressionnisme. D’abord critiqué, il connaît

triste fouet de la réalité Et je n’ai rien à dire Ton sourire est aussi vrai Que mes quatre vérités. LE GRILLON, Jean pierre claris de floran Un pauvre petit grillon Caché dans l’herbe fleurie Regardai un papillon Voltigeant dans la prairie ; L’insecte ailé brillait des plus vives couleurs ; L’azur, le pourpre et l’or éclataient sur ses ailes ; Jeune, beau, petit maître, il court de fleurs en fleurs, Prenant et quittant les plus belles. Ah ! disait le grillon, que son sort