La Peur Selon Sartre

30 secondes   à imprimer chez soi Marc Levy Écrivain français •  Né en 1961 à Boulogne-Billancourt •  Quelques-unes de ses œuvres : Et si c'était vrai... (2000), roman L'Étrange Voyage de Monsieur Daldry (2011), roman Un sentiment plus fort que la peur (2013), roman Marc Levy, né en 1961, entre à dix-huit ans à la Croix- Et si c’était vrai... Une réflexion sur l’existence •  Genre : roman •  Édition de référence : Et si c’était vrai…, Paris, Robert Laffont, 2000, 299 p. •  1re édition : 2000 • 

Plongeons-nous dans la Grèce du Ve siècle avant J.C. On est alors dans une forme de panthéisme. La réalité ultime est la nature et la matière incréée et éternelle dont l’homme fait partie. Il y a une matière qui est primordiale (arché) et qui varie selon les auteurs. Il y a une unité entre la nature et Dieu. Même si l’on avance un peu, chez Démocrite, on est dans un atomisme matérialiste (atome = ce que l’on ne peut pas diviser). On reste de manière générale dans un panthéisme

Proust notamment qui bouleverse sa conception du roman. En 1932, elle écrits les premiers textes de ce qui deviendra le recueil Tropismes où elle analyse les réactions physiques spontanées imperceptibles. Tropismes sera publié en 1939 et salué par Sartre. En 1941, elle est radiée du barreau et décide alors de se consacrer alors à la littérature. En 1964, elle reçoit le Prix International de Littérature pour son roman Les Fruits d’Or. Simultanément à son œuvre romanesque, elle commence

pour ces personnes. La peur du vide, celle des araignées par exemple, gênent ces personnes de vivre pleinement et entièrement. Les agoraphobes ne peuvent se mêler aux autres et s’interdisent de fréquenter les lieux publics. Pour suivre nos réflexions sur nos peurs irrationnelles, on peut citer le cas de la psychanalyse qui tente de démontrer le rôle de l’inconscient dans des actions, dans l’interprétation de nos rêves. Les actes manqués, les lapsus ou les rêves, sont selon Freud, des expressions

grandit. Mais il est également en conflit avec l’un des intellectuels les plus en vogue de son époque, Jean-Paul Sartre. Cette opposition n’aide pas à sa popularité. C’est à travers l’écriture qu’Albert Camus va évoquer ce jugement, La chute devient ainsi une remise en question de lui-même, mais aussi une critique des existentialistes, mouvement philosophique auquel adhérait Sartre. Il est alors intéressant de se demander dans quelle mesure Clamence, le protagoniste principal de La chute, vit difficilement

......................................................................21 A. Tu dois donc tu peux (Kant).....................................................................................................21 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre)...........................................................................21 C. La liberté : un mythe nécessaire ?............................................................................................22 Conclusion......................

de sa seule volonté et il a donc utilisé son libre arbitre pour agir. De plus, la liberté réside dans la capacité de déterminer ce qui est bien ou mal, non pas au regard des seuls intérêts de l’homme mais au regard de l’humanité entière. D’après Sartre, la liberté consiste en la connaissance de ce qui est mal ou bien au point de s’opposer aux lois imposées par la société quand elles sont au service d’une idéologie dangereuse. L’homme qui pendant la seconde guerre mondiale s’est opposé au régime

exemple dans les paroles du Credo3. Appréhender l’Immortalité L’immortalité varie selon les cultures : Tantôt désir de s’affranchir de la finitude, tantôt repli sur le besoin de conservation, tantôt désir d’avoir le temps d’embrasser toutes les Vies possibles d’un Etre, tantôt refus ou peur du cycle qui s’égrène inexorablement. Une constante cependant : le refus de la souffrance au sens large, souvent associée à la peur de la séparation. Ceci est bien exprimé par Lao-Tseu, dans le « Tao-de-jing » texte

d'avoir peur de la mort : "la mort n'est rien pour nous". Si on a peur d'elle, on ne profite pas de la vie. On doit seulement avoir conscience de notre mortalité. Le stoïcisme : constituée d'une logique, d'une physique et d'une morale, la philosophie stoïcienne forme un système qui invite l'homme à se conformer à un ordre naturel. Philosophie donc distincte en 3 parties : la logique qui est l'art du raisonnement, la physique qui est l'étude de la nature, et la morale qui invite à vivre selon cet

dominer et le rabaisser, cela implique des coups, des blessures pas toujours visibles dans le cas d'une violence morale. C'est une source de méchanceté qui pourrait se qualifier dans certains cas comme un échec personnel, un échec social. Jean- Paul Sartre à dit « la violence, sous quelque forme qu'elle se manifeste, est un échec ». Alors en quoi la violence peut-elle être considérée comme un échec ? Nous verrons en premier lieu les dégâts que peut faire la violence physique et comment elle détruit