La Peste Camus Page 278

le genre humain. Il était implacable dans cette haine. Ayant tiré à clair ceci que la vie humaine est une chose affreuse, ayant remarqué la superposition des fléaux, les rois sur le peuple, la guerre 17 sur les rois, la peste sur la guerre, la famine sur la peste, la bêtise sur le tout, ayant constaté une certaine quantité de châtiment dans le seul fait d’exister, ayant reconnu que la mort est une délivrance, quand on lui amenait un malade, il le guérissait. Il avait des cordiaux et des

toujours à outrer les prononciations consonantiques : « Voilà maman Vauquerre belle comme un astre, ficelée comme une carotte. »52 Il ne recule pas devant certaines familiarités de langage qui sont à la limite de la vulgarité comme celle-ci : « La Camuse* aura longtemps tort avec moi. »53 De même Vautrin devient argotique quand il est démasqué : « ces trois mouchards-là répandaient tout mon raisiné sur le trimar** domestique de maman Vauquer »54Ou encore : « ces gens-là vont se faire un plaisir

Georges Brassens Les chansons de Georges Brassens Samengesteld door drs. Rens H. Veldhuis -1- Georges Brassens -2- Georges Brassens -3- Georges Brassens page CD page ici # GW Chanson (n, a = avec traduction) 6 Introduction à Georges Brassens 8 1 14 La mauvaise réputation (1952)n 10 1 16 Le fossoyeur (1953)n 12 1 18 Le gorille (1952)n 16 1 *Le petit cheval (Paul Fort) (1952) 17 1 *28 Le parapluie (1952) 18 1 30 La marine (Paul Fort) (1953)n 19 1 *Comme hier (Paul Fort) (1953) 20 1 *36 Il

vous le dis, monsieur, c’est la fin du monde. On n’a jamais vu pareils débordements de l’écolerie. Ce sont les maudites inventions du siècle qui perdent tout. Les artilleries, les serpentines, les bombardes, et surtout l’impression, cette autre peste d’Allemagne. Plus de manuscrits, plus de livres ! L’impression tue la librairie. C’est la fin du monde qui vient. – Je m’en aperçois bien aux progrès des étoles de velours », dit le marchand fourreur. En ce moment midi sonna. « Ha !… » dit toute

sur le texte pour répondre aux questions : les citations vous permettent de justifier vos réponses. • Rédigez vos réponses avec concision et clarté : il est inutile de répéter dix fois la même chose sous des formes différentes juste pour « remplir » la page. Allez à l’essentiel. 18 La méthodologie 3. La réécriture Lisez attentivement la consigne, afin de bien comprendre les contraintes que vous devez respecter : il peut s’agir, selon le cas, de changer le genre et le nombre d’un sujet, de modifier

I, p. 100 et suiv., la critique de ces textes, qui contiennent manifestement de graves erreurs. 4. Conf. Partsch (écrit cité plus haut, p. 40. 5. Tissot, I, p. 126, Thomas, Essai d’une description géologique de la Tunisie, I, p. 111 et fig. 19, à la page 112 (d’après un croquis de Tissot). 6. Toutain, dans Mémoires des antiquaires de France, LXIV, 1903, p. 204 et carte. 7. Pline, XVIII, 188 : « in mediis harensis ». LE CLIMAT DE L’AFRIQUE DU NORD DANS L’ANTIQUITÉ 65 de l’eau courante par

l'assistance en ayant esté abbreuvé cent fois. Secondement qu'il me souvient moins des offences receuës, ainsi que disoit cet ancien. Il me faudroit un protocolle, comme Darius, pour n'oublier l'offense qu'il avoit receue des Atheniens, faisoit qu'un page à touts les coups qu'il se mettoit à table, luy vinst rechanter par trois fois à l'oreille, Sire, souvienne vous des Atheniens, et que les lieux et les livres que je revoy, me rient tousjours d'une fresche nouvelleté. Ce n'est pas sans raison qu'on

Xénophane qui vivait aux alentours de 570 avant Jésus-Christ. « Les hommes ont créé les dieux à leur image, ditil : ils croient que les dieux sont nés avec un corps et des vêtements et qu'ils parlent comme nous. Les Éthiopiens disent que leurs dieux sont camus et noirs, les Thraces que les leurs ont les yeux bleus et les cheveux roux. Si les taureaux, les chevaux et les lions avaient su peindre, ils auraient représenté les dieux en bœufs, chevaux ou lions ! » C'est justement vers cette époque que les Grecs

Xénophane qui vivait aux alentours de 570 avant Jésus-Christ. « Les hommes ont créé les dieux à leur image, ditil : ils croient que les dieux sont nés avec un corps et des vêtements et qu'ils parlent comme nous. Les Éthiopiens disent que leurs dieux sont camus et noirs, les Thraces que les leurs ont les yeux bleus et les cheveux roux. Si les taureaux, les chevaux et les lions avaient su peindre, ils auraient représenté les dieux en bœufs, chevaux ou lions ! » C'est justement vers cette époque que les Grecs

faire que de chercher un ouvrage qui les ait tous cités depuis l’a jusqu’au z2, comme vous dites fort Rabbin portugais, puis médecin à Venise, où il écrivit, à la fin du quinzième siècle, les Dialoghi d’amore. Montaigne dit aussi de cet auteur : « Mon page fait l’amour, et l’entend. Lisez-lui Léon Hébreu... On parle de lui, de ses pensées, de ses actions; et si, n’y entend rien. » (Livre III, chap. v.) Cet ouvrage est justement le Peregrino ou l’Isidro de Lope de Vega, terminés l’un et l’autre par une