La Peste Camus Dialogue Entre Rieux Et Paneloux

CAMUS LA PESTE ----------------------------------------- TEXTE I (p11-12) Folio plus classiques Du début a «  ou l’on joue gros jeu sur le hasard des cartes » Ce texte constitue l’incipit de l’œuvre. Traditionnellement un narrateur pose les bases d’un récit qu’il situe à la fois sur le plan temporel et spatial, Ici nous sommes en présence d’un personnage qui se présente come une sorte d’historien et qui annonce des événements paraissant en inadéquation avec le lieu ou ils se sont

thèmes secondaires a- L’exil b- La Révolte II. La narratologie selon Genett 3. Les temps du récit a- L’ordre b- La vitesse 4. Les niveaux a- Les Récits emboités b- La métalepse III. La Narratologie dans la Peste 5. Le mode narratif a- La distance b- Les fonctions du narrateur 6. L’instance narrative a- La voix narrative b- Le temps de la narration I- LA THEMATOLOGIE 1- les thèmes principaux a- La Maladie L’adjectif

Bonnes, les Paravents, Jean Genet - Combat de nègres et de chiens, Bernard-Marie Koltès - Huis clos, Le Diable et le Bon Dieu, Jean-Paul Sartre ROMANS, ESSAIS, POÉSIE, PAR EXEMPLE : - Louis Aragon, Paul Eluard, Robert Desnos - La Peste, l’Étranger, Albert Camus - La Mort du Roi Tsongor, Laurent Gaudé - Étoile errante, J.M.G. Le Clézio - Si c’est un homme, La Trêve, Primo Levi - Tristes Tropiques, Claude Lévi-Strauss - Dora Brüder, La Ronde de nuit, Les Boulevards de ceinture, Patrick Modiano

| | | |Albert CAMUS | |philosophe et écrivain français [1913-1960]

50 ans après la mort de l’auteur(e). Cette œuvre n’est pas dans le domaine public dans les pays où il faut attendre 70 ans après la mort de l’auteur(e). Respectez la loi des droits d’auteur de votre pays. OEUVRES D'ALBERT CAMUS Récits L'ÉTRANGER. LA PESTE. Théâtre CALIGULA LE MALENTENDU L'ÉTAT DE SIÈGE. LES JUSTES Essais NOCES. LE MYTHE DE SISYPHE. LETTRES À UN AMI ALLEMAND. ACTUELLES, CHRONIQUES 1944-1948. ACTUELLES, CHRONIQUES 1948-1953 L'HOMME RÉVOLTÉ. Essai

Contemplations), théâtre (Hernani) Pb : Comment le rire de Gwynplaine illustre-t-il la monstruosité ? I/ Portrait de Gwynplaine A. oscillation entre deux apparences « rire automatique » → monstrueux : le visage est un masque (voir ref. à la comédie antique) / Tout est humain sauf son rire qui se déclenche de manière mécanique(l.9) + de monstruosité/ ocsillation entre corps et âme. Figure d'opposition de la roue/ antithèse « s'il eût pleuré, il eût ri » ou oxymore « Méduse gaie » → donne un caractère étrange

Albert Camus LA PESTE (1947) Table des matières I ................................................................................................. 4 II ..............................................................................................70 III .......................................................................................... 173 IV ............................................................................................191 V ...................................

Albert Camus et l’engagement De tous les penseurs qui ont guidé mon action, c’est Camus dont je me sens le plus proche. [pic]Camus envisageait l’engagement comme une philosophie de vie. Il la justifiait comme une manière de lutter contre l’absurdité fondamentale de nos vies, une fois celles-ci dégagées du carcan des croyances religieuses. Que reste-il aujourd’hui de cette philosophie de l’action à l’heure de l’homme - consommateur ? Peut-on réellement penser que l’acquisition, voire pour beaucoup

exclamative et interrogative qui montre son égarement ! l.1257-1260 : jalousie et désir de vengeance de Phèdre, elle veut se servir de son mari Thésée pour attiser sa haine contre Aricie et pour qu’il l’a tue, ainsi il n’y’ aura plus d’obstacle entre elle et Hipp. Et en plus (l.1262) Thésée a déjà tué les Pallantide (les 50 frères d’Aricie) qui prétendaient au trône, il pourrait aussi tuer Aricie. l.1264 : reprend ses esprit, se convainc d’aimer Thésée et se déteste pour avoir voulu se servir

Albert Camus, La peste (1947) Il est aussi raisonnable de représenter une espèce d’emprisonnement par une autre que de représenter n’importe quelle chose qui existe réellement par quelque chose qui n’existe pas.  DANIEL DE FOE. I 1) Les curieux événements qui font le sujet de cette chronique se sont produits en 194., à Oran. De l’avis général, ils n’y étaient pas à leur place, sortant un peu de l’ordinaire. À première vue, Oran est, en effet, une ville ordinaire et rien de plus qu’une préfecture