La Peste Camus Confession Tarrou

Lumières et d'avant la révolution industrielle (c'est le cas de Maurras), par une démarche réflexive et un refus de l'actualité (c'est le cas de Valéry ou de Gide), par choix de la mesure face aux tentations de la chair (Claudel) ou de l'histoire (Camus). Romantisme, courant littéraire, culturel et artistique européen dont les premières manifestations, en Allemagne et en Angleterre, datent de la fin du XVIIIe siècle. Il se manifesta par la suite en France et en Italie, mais aussi en Espagne, au Portugal

Lumières et d'avant la révolution industrielle (c'est le cas de Maurras), par une démarche réflexive et un refus de l'actualité (c'est le cas de Valéry ou de Gide), par choix de la mesure face aux tentations de la chair (Claudel) ou de l'histoire (Camus). Romantisme, courant littéraire, culturel et artistique européen dont les premières manifestations, en Allemagne et en Angleterre, datent de la fin du XVIIIe siècle. Il se manifesta par la suite en France et en Italie, mais aussi en Espagne, au Portugal

violence de la première moitié du xx e siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur le

de la première moitié du xx e  siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur

de la première moitié du xx e  siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur

l’homme, faisant preuve de vulgarité et de grossièreté est-il de retour à la vie à l’ « état de nature » ? SUJETS PROPOSÉS Thème : « Caractères » * « Il y a dans les hommes plus de choses à admirer que des choses à mépriser » déclare Albert Camus. Partagez-vous cette vision optimiste de l’humanité ? Vous exprimerez votre opinion en vous référant à des exemples empruntés à l’actualité, à votre expérience personnelle ou à vos lectures. * « L’argent est un bon serviteur mais un mauvais maître

violence de la première moitié du xx e siècle, prennent position par rapport à l’insupportable (la guerre, le nazisme, toutes les formes de totalitarisme) dans des romans engagés : Céline, avec Voyage au bout de la nuit, Malraux, dans L’Espoir, Camus avec La Peste, etc. Dans les années 1950, le Nouveau roman refuse la psychologie des personnages et toute subjectivité ; les auteurs de ce courant (Robbe-Grillet, Duras, Sarraute) ne livrent que l’extérieur des choses et des êtres, laissant au lecteur le

d'enfance et de jeunesse), d'un moment ou d'un aspect de la vie particulièrement importants (Edgar Quinet, Histoire de mes idées). Elle est un instrument privilégié de la connaissance de soi. On comprend alors que le ter~me de « confessions » soit parfois employé (Confessions de Saint-Augustin, de Jean-Jacques Rousseau) lorsque cette réflexion sur soi s'accompagne plus particulièrement d'un but moral. Le genre autobiographique est lui, plus large, et comprend également par exemple les récits de

« S’il advenait que chaque homme fasse ce qu’il se doit, en chacun l’existence serait sauvée sans qu’il y ait lieu de rêver d’un paradis où tous seraient réconciliés dans la mort. » Ce qui allait trouver un écho dans la préoccupation de Tarrou dans ‘’La peste’’ de Camus : « Peut-on être un saint sans Dieu, demande-t-il à son ami, c'est le seul problème concret que je connaisse aujourd'hui. » Près de vingt ans plus tard, Simone de Beauvoir estima que les points faibles l'emportent de beaucoup sur les

Beauvoir crivait Sil advenait que chaque homme fasse ce quil se doit, en chacun lexistence serait sauve sans quil y ait lieu de rver dun paradis o tous seraient rconcilis dans la mort. Ce qui allait trouver un cho dans la proccupation de Tarrou dans La peste de Camus Peut-on tre un saint sans Dieu, demande-t-il son ami, cest le seul problme concret que je connaisse aujourdhui. Prs de vingt ans plus tard, Simone de Beauvoir estima que les points faibles lemportent de beaucoup sur les points forts de