La Parure Avis

Mais dans le sens usuel, le luxe signifie faste et raffinement dans les manières de vivre (art de la table, toilette élégante, décor somptueux ...). Le luxe s'entretient et s'acquiert par de grandes dépenses. Les philosophes des Lumières avaient des avis divergents concernant le luxe. Voltaire considérait que cela représentait un soutien essentiel de l'économie. Rousseau quant à lui voyait le luxe comme un principe d'exploitation du petit peuple et le ressort de toutes les perversions, car le luxe

personnage ? Comment et par quelles figures de style, procédés le personnage est-il caricaturé ? L’auteur juge-t-il son personnage ? Si oui, où et comment ? Quel est le ton du portrait ? Ce genre de personnage existe-t-il encore aujourd’hui ? A votre avis, quelle fut la réaction d’Arrias ? B. Lecture Des femmes « Il y a des femmes déjà flétries, qui par leur complexion1 ou par leur mauvais caractère sont naturellement la ressource des jeunes gens qui n’ont pas assez de bien. Je ne sais pas qui est

son comportement affectif et social, didactique et professionnel. Les hommes s'habillent depuis toujours : "parmi les premiers vestiges de la civilisation figurent des grattoirs à peau, des aiguilles d'os, des bâtonnets de fermeture, des parures de coquillages ; les plus anciennes représentations que nous ayons de l'être humain, sur les fresques ou les statuettes ayant survécu, le montrent vêtu."[1] Depuis quelques années, la mode tient une place de plus en plus importante dans la

d'éducation. ROUSSEAU va donc commencer par établir ces différences, afin de chercher et de trouver Sophie. À l'époque, la femme est clairement inférieure à l'homme, elle doit obéir à son père puis à son mari. ROUSSEAU n'est pas tout à fait du même avis. Il convient que la femme doit être conforme à ce qu'on attend d'elle, ses qualités (plaire, être coquette), mais aussi ses devoirs (être mère, s'occuper des travaux d'aiguilles, de ménage..). En revanche, il va parler « d'égalité complémentaire

splendeurs qu’ils admirent, surtout dans leurs pays, sont « considéré pour rien » ici en Utopie où l’or est abondant (111). Ils ont alors abandonné les parures qu’ils étaient si fier de au début de leur visite (111). More présent plusieurs idées intéressant aux lecteurs dans cet extrait à travers les valeurs étrangères des Utopiens : à leurs avis, il est ridicule « [s]’il existe quelqu’un d’assez fou pour se considéré comme ennobli par un vêtement d’une laine plus fine. Car, après tout, si fin que

_______________________________________________________________ Qui est le personnage principal ? ______________________________________________________ Qui a créé l’illustration de la première de couverture ? _____________________________________ A ton avis que va-t-il se passer ? _________________________________________________________________________________ _______________________________________________________________________________ 6. Relis les deux premières questions. As-tu changé d’avis

_______________________________________________________________ Qui est le personnage principal ? ______________________________________________________ Qui a créé l’illustration de la première de couverture ? _____________________________________ A ton avis que va-t-il se passer ? _________________________________________________________________________________ _______________________________________________________________________________ 6. Relis les deux premières questions. As-tu changé d’avis ? Vois-tu

" Description des Erinyes : "Une étrange troupe de femmes [...] je veux dire de Gorgones [...] elles sont noires, absolument repoussantes, le souffle de leurs ronflements ne se laisse pas figurer, de leurs yeux coule une libation d'horreur et leur parure ne se porte avec justice ni devant les statuts des dieux ni sous les toits de hommes." (la Pythie) "Ces vierges abominables, ces vielles enfants du passé que jamais dieu ni homme ne fréquente, ni même bête, nées pour le mal, hantant le mal et l'ombre

réplique, Que ton charme m’a fait de mal ! Gautier commence le poème en décrivant le cadre où se déroule ce passage d’amour, on voit la place de Saint-Marc de Venise et le Lido. Ce poème qui appartient aux Variations sur le carnaval de Venise est à mon avis un des plus personnels de Gautier ou au moins, un poème où le poète apparaît. Le poète nous raconte qu’il est à Venise et il voit un vieil amour, Gautier parle en première personne et cela nous étonne un peu. Il parle de la tristesse qu’il épreuve

mélangeant selon différentes recettes. Ce mélange s’appelle la culture. Elle n’est pas une parure de luxe, elle est l’essence de l’existence. Elle permet aux gens d’agir ensemble avec cohérence. Perdre le sens et les valeurs de sa culture, c’est sombrer dans l’impuissance. La culture, nous permet de vivre tous ensemble, Nord, Sud, Est et Ouest, chacun dans sa singularité. La démocratie et cette capacité à gérer des avis différents est la grande puissance de l’Europe. La Chine, en cela, ne pourra jamais