La Paix éternelle

collines élevées seront déprimées ; elles s’écouleront devant sa face comme la cire devant la flamme. La terre sera submergée, et tout ce qui l’habite périra ; or tous les êtres seront jugés, tous, même les justes. 7. Mais les justes obtiendront la paix ; il conservera les élus, et exercera sur eux sa clémence. 8. Alors ils deviendront la propriété de Dieu ; il les comblera de bonheur et de bénédictions ; et la splendeur de la Divinité les illuminera. CHAPITRE 2 1. Voici ! il arrive avec dix mille

tous les mondes et de tous les temps : s’il est permis à de faibles créatures perdues dans l’immensité, et imperceptibles au reste de l’univers, d’oser te demander quelque chose, à toi qui a tout donné, à toi dont les décrets sont immuables comme éternels, daigne regarder en pitié les erreurs attachées à notre nature ; que ces erreurs ne fassent point nos calamités. Tu ne nous as point donné un cœur pour nous haïr, et des mains pour nous égorger ; fais que nous nous aidions mutuellement à supporter

Huns « Hühnengrab » ce paysage de premier plan symbolise donc bien la mort tandis que le paysage lumineux du fond représente au contraire l’espoir d’une vie éternelle Second plan : Le ciel, symbole religieux de la vie éternelle et d’espoir, apporte, par ses couleurs, chaleur et lumière ce qui ouvrent le tableau vers un monde infini de paix. C’est une œuvre romantique car la place de la nature s’accorde avec l’exaltation des sentiments et des émotions que dégage le tableau. Conclusion :

littéraires utilisés à cette fin. Tout d'abord, le texte A est intitulé « Du Souverain ou de la République » extrait du recueil Les Caractères écrit par Jean de La Bruyère et publié en 1688. L'auteur évoque dans ce texte que la guerre est selon lui éternelle en l'associant à « l'antiquité » ligne 1), « dans tous les siècles » (ligne 1), « toujours » (ligne 1), et « de siècle en siècle » (ligne 9). Il évoque aussi par ailleurs la dureté des combats pendant la guerre grâce à la gradation ascendante « se

le jouet du destin ou le pion du hasard. Conclusion : Le sage Le sage est celui qui jouit d’une paix profonde comme les dieux, car son âme n’est pas en proie au désordre, il est délivré en effet de la crainte des dieux, de la mort, et de toutes les cause de troubles, par la connaissance, l’observation de la nature et son explication. Il voit la vérité et la vérité est celle-ci est éternelle comme les Dieux sont immortels. La vue de la vérité amène le sage à l’ataraxie, au bonheur conçu comme

 silence de la volonté, le silence avec soi-même. 3 - L’importance du silence ♦ Pour St Jean de la Croix « LE PÈRE CÉLESTE a dit une seule Parole : c’est son FILS. IL l’a dit éternellement et dans un éternel silence. C’est dans le silence de l’âme qu’elle se fait entendre ». C’est dans le silence que le VERBE DIVIN qui est la grâce en nous, se fait entendre et qu’IL est reçu. C’est dans l’obscurité silencieuse que se font habituellement les développements

Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte, et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence. Sans aliénation, vivez autant que possible en bons termes avec toutes personnes. Dites doucement et clairement votre vérité ; et écoutez les autres, même le simple d’esprit et l’ignorant ; ils ont eux aussi leur histoire. Évitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une vexation pour l’esprit. Ne vous comparez avec personne : vous risqueriez de devenir vain ou vaniteux. Il

Le corpus de textes : La Bruyère, « Du Souverain ou de la République », Les Caractères, 1688.Article « Paix », L’Encyclopédie, 1750 – 1772.Voltaire, « Guerre », Dictionnaire philosophique, 1764.Giraudoux, La guerre de Troie n’aura pas lieu, 1935. I. Question sur le corpus (4 pts) Ces quatre textes dénoncent la guerre. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés à cette fin. I. Corrigé de la question sur le corpus (4 pts) Les quatre textes dénoncent la guerre : c’est la thèse

dent pour dent, œil pour œil pourtant celui de Jésus crie pardon, purification, sanctification, miséricorde, guérison, salut délivrance, paix, vie, restauration. Quelle voix entends tu chaque jour ? Celle du sang d’Abel, c’est pourquoi tu souffre inutilement. Quand est ce que tu vas t’arrêter et reconnaître celle de Jésus ? Elle proclame ta liberté, ta joie, ta paix et ta vie, ta guérison... Colossiens 1 V 12-14 chaque jour la voix de l’accusateur se fait entendre. Pendant des années, des mois

êtres, de tous les mondes, de tous les temps... » (l.1) Dieu est donc qualifié d’omniscient. - « S’il est permis à de faibles créatures [...], d’oser te demander quelque chose, à toi qui as tout donné, à toi dont les décrets sont immuables comme éternels, daigne regarder en pitié les erreurs attachées à notre nature... » (l.2-5) « oser » et « daigne » définis une idée d’infériorité de la part des hommes face à Dieu. - « ...entre toutes nos conditions si disproportionnées à nos yeux, et si égales