La Nuit Transfigurée

décor réaliste de la charrette Un narrateur qui se perd dans les détails : on a une accumulation à la l12 d’objets et d’animaux (l14) dans la description de la charrette. Costumes (accoutrement du protagoniste = Personnage principal (PP) « bonnet de nuit en jarretelles », etc..)  Conteur multiplie rotations visuelles saisissantes qui donnent vie au tableau et créent un effet de réel Texte + descriptif qu’explicatif alors qu’on attend d’un incipit qu’il soit explicatif La description n’a qu’un but :

forces qui nous dépassent: le ça), la psychanalyse, la pathologie du besoin de religions. Musique: – Gustave Mahler et sa musique tonale et le courant romantique. – Les dodécaphonistes: Berg (« Loulou » et « Voidçek »), Schoenberg (« la nuit transfigurée », les lieders, ses sujets sont le suicide, le malheur, l'inceste), Webern et sa musique brève et concentrée. Peinture: Les symbolistes: – Klimt: rapport au sacré et à l'esthétisme, femmes humaines mais éthérées, figures mythologiques (Salomé)

clarté » est « blanchâtre » (l. 8), les « vitres » sont « sales » (l. 8), les « trous » « lugubres », (l. 18), et les « formes » « bizarres » (l. 19)… Les adjectifs sont parfois même doublés (« une sorte de corridor étroit et sombre », l. 2-3 ; « de la nuit salie et ignoble », l. 11), créant un rythme binaire renforcé par le parallélisme de construction : « Par les vilains jours d’hiver, par les matinées de brouillard » (l. 9-10). On trouve également plusieurs énumérations : « dalles jaunâtres, usées

(mots contradictoires), en dépit de la logique. Plus que toute métaphore, cette figure est chargée d’émotion : elle fait appel aux sentiments, aux passions, aux contradictions les plus vives. Exemple : l’obscure clarté une ignorance savante une nuit blanche un mort vivant un cri muet un bûcher de sèves Périphrase Cette figure consiste à exprimer une réalité qu’un seul mot pourrait désigner à l’aide d’un groupe de plusieurs mots. Exemples : Le prince des ténèbres pour le diable L’astre

prince dont il s'agit, non pas d'un décret des dieux. Créon proclame qu'il mérite d'être roi et pour preuve en donne cette décision atroce: s'il peut la prendre, c'est qu'il est digne de régner. Voici qu'un garde lui apprend que son édit a été violé la nuit même -- avant que l'édit ait été formulé, et que voyant le corps de Polynice couvert de poussière, les gardes se sont mutuellement accusés du crime. Le Coryphée demande alors: "L'événement, prince, ne serait-il pas voulu par les dieux ? À la réflexion

rite français a presque certainement moins de deux cents ans.Par contre, il correspond à une partie des rites initiatiques pratiqués en tous temps et en tous lieux.En effet, l'isolement du néophyte dans une cabane ou une caverne est pratiqué depuis la nuit des temps. II s'agit de séparer le néophyte de sa famille, de figurer par son isolement dans un lieu fermé, la mort, une rupture, pour préparer un changement essentiel, comme la chrysalide dans son cocon. Cette analogie comme celle du retour au ventre

que Roxane se retourne. Alors qu’il lui détaille sa gazette, Cyrano s’évanouit, puis se reprend. À sa demande, Roxane le laisse lire, à voix haute, la dernière lettre de Christian, qu’elle conserve sur elle depuis quinze ans ; mais, alors que « la nuit vient insensiblement » et ne permet donc plus de lire, Cyrano est trahi par sa voix, que Roxane reconnaît et qui révèle sa « généreuse imposture », malgré ses inutiles et contradictoires dénégations (« Non, non, mon cher amour, je ne vous aimais pas

La tentation d'un paradis a) les passages d'un autre monde p. 8 b) Une lumière d'incendie p. 25 c) Lumière de l'idylle, lumière de l'âge d'or p. 38 d) La nostalgie de la nuit p. 48 II- "Une goutte de cette lumière pour l'enfer humain" a) Lumière blessée, ombre glacée p. 65 b) La clarté dans l'abîme p. 78 c) la lumière des larmes p. 92 III-

train s’arrêta deux heures à Zumarraga, pendant que des ouvriers déblayaient hâtivement la voie ; puis il repartit pour stopper une seconde fois, en pleine montagne, et trois heures furent nécessaires à réparer le désastre d’une avalanche. Toute la nuit, ceci recommença. Les vitres du wagon lourdement feutrées de neige assourdissaient le bruit de la marche et nous passions au milieu d’un silence à qui le danger donnait un caractère de grandeur. Le lendemain matin. arrêt devant Avila. Nous avions

aussi évoquer la lumière dorée dans laquelle baignent certaines scènes du film qui semblent alors irréelles et dans le roman de Jeffrey Eugenides on est saisi par la beauté des descriptions d’un pavillon de banlieue ordinaire. 2. Une réalité transfigurée A la lumière de cette analyse de la démarche des artistes qui s’inspire de la réalité, on réalise qu’à travers leurs œuvres ils font plus que représenter la réalité ; ils la recréent. Et ce n’est évidemment pas sans conséquences. La précision