La nuit nous appartient

«Confession d'un enfant du siècle », 1836, Musset nous fait part de son impression de mal du siecle, son sentiment de ne pas être a sa place, d'etre née trop tard. I) ENFANCE Né sous le Premier Empire, le 11 décembre 1810, Alfred de Musset appartient à une famille aristocratique, affectueuse et cultivée, lui ayant transmis le goût des lettres et des arts. Son père, Victor-Donatien de Musset-Pathay, est un haut fonctionnaire, chef de bureau au ministère de la Guerre, et un homme de lettres

signe de Dieu. La robe de mariée : Frasquita coud sa robe de mariée sur la robe de ces ancêtres pour épouser José Carasco. Lors de son mariage tout le monde la jalouse et petit à petit sa robe se fane à cause des fleurs cousues sur celle-ci. La nuit de noce : couche avec José pour la première fois et rencontre la vieille Carrasco. Les femmes qui aident : La Maria et la Blanca aident les femmes du village lors des naissances et de la mort. Frasquita accouche d'Anita. La mort de la vieille

fils cadet logent tout deux à Sarrebourg, à environ 15 min du domicile de leur père. Monsieur B est à la retraite depuis 27ans, il est assuré chez BTP. Il a désigné sa fille, madame X comme étant se personne de confiance. Elle est joignable jour et nuit sur son portable. Le patient est arrivé à l’hôpital en fin de soirée, sa fille l’a ramené. Il a été hospitalisé 4 jours. Il a été admis pour douleur abdominales au niveau de l’ombilic, une hernie ombilicale. Ce patient a déjà eu un AVC (accident

Maupassant, d’abord publié en feuilleton il fut publié à partir de 1883 en livre de poche. L’ECRIVAIN : GUY DE MAUPASSANT (1850-1893) est un écrivain français, qui après avoir été militaire puis fonctionnaire se consacre à sa carrière d’écrivain. Il appartient aux mouvements réalistes et naturalistes, tout comme ses amis Emile Zola et Gustave Flaubert. Après le succès de Boule de suif en 1880 il devient riche et mène une vie de fêtes. Très diminué physiquement et nerveusement par la syphilis, il décède

place. Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme. Demain du sang noir sèchera au grand soleil sur les routes. Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes. Chantez, compagnons, dans la nuit la Liberté nous écoute... Montez de la mine, descendez des collines, camarades ! Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades. Ohé, les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite ! Ohé, saboteur, attention à ton fardeau : dynamite

La famille de Verlaine appartient à la petite bourgeoisie : son père, comme celui de Rimbaud, est capitaine dans l'armée. Sa mère a vécu à Fampoux et a gardé longtemps sur la cheminée familiale les bocaux avec les fœtus de ses fausses-couches[1]. Paul Verlaine est né à Metz, rue de la Haute-Pierre. Il est baptisé en l'Église Notre-Dame de Metz. Les Verlaine quittent la ville en 1851. Installé avec sa mère au 26 rue Lécluse à Paris, à la suite du décès de son père[2], il fréquente les cafés

Fin de la nuit, Les Anges noirs), il prend part à de nouveaux combats politiques, notamment au moment de la Guerre d'Espagne, d'abord en faveur des nationalistes, puis contre (cf. ses articles dans Temps présent). Sous l'Occupation, après quelques hésitations, puis la parution de La Pharisienne (1941), il entre en contact avec la Résistance et écrit dans des publications clandestines, où il fait paraître notamment, sous le pseudonyme de « Forez », Le Cahier noir (1943). Il appartient au Comité national

L’assaut de la Bastille. Jean-Pierre Houel 2. Le soulèvement des campagnes (juillet-août 1789) Entraînés par la révolte urbaine, les paysans se révoltent dans tout le royaume. Cela contraint L'Assemblée nationale à abolir les privilèges dans la nuit du 4 août. Cette adoption de l'égalité civile marque la disparition de la société inégalitaire d'ancien régime. Le vote de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen, le 26 août 1789 en précise les nouveaux principes. Dates à connaître

(au sens de l'Orient Ancien) et patriarcale en sus. La femme, ici, n'a aucun droit: ni civil, ni religieux. Comme le dit si bien Ex 20,17 : « Tu ne voleras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui lui appartient ». La femme est toujours et nécessairement le bien d'un homme : père, mari, fils, beau-frère, beau-père, beau-fils, cousin, etc. Bien malgré elle, la femme adultère1 devient l'enjeu d'un groupe d'hommes, scribes et pharisiens. Ceux-ci faisant fi

Lecture linéaire 9« La jeune mère » est un poème écrit en 1942 par Francis Ponge, un poète français du XXe siècle, contenu dans le recueil « le partit pris des choses ». Cette œuvre appartient au mouvement littéraire du lyrisme surréaliste.Francis Ponge est un poète français Dans ce poème l’auteur parle de la transformation du corps de la femme après l’accouchement et s’attarde sur chaque détails. La description ne semble pas à l’avantage de la jeune mère. Nous pouvons alors nous demander