La Nuit M Est Courte

l’évènement traumatique n’utilisent pas les voies habituelles : celles du refoulement. Les images intrusives, se représenterons sous formes de symptômes de type psychotique tel que des flash-back et des rêves traumatiques, véritable « psychose de courte durée » selon Freud. (Freud S. 1975) B. Élaboration de la névrose traumatique de guerre 1. L’évènement traumatisant Il y a deux cas de figure, celui ou l’évènement se constitue massivement et brusquement et celui ou il n’est

questions permettant de réaliser la synthèse d’une lecture cursive : Voyage au bout de la nuit, CELINE 3ème étape A. Consignes : Vous répondrez à chacune de ces 2 questions par des paragraphes organisés en grandes parties Question 1. En quoi la première partie du Voyage au bout de la nuit est-elle une violente critique de la guerre ? Idée directrice de la question I. : Le Voyage au bout de la nuit = une violente critique de la guerre. 1er § d’analyse : ……………………………………… ………………………………………………………

inscrivent la scène dans la réécriture d’un mythe. Le mythe de Pyrame et Thisbé est à l’origine des histoires d’amants tragiques, tels Roméo et Juliette. Les deux personnages s’aiment, contre la volonté de leurs pères. Ils se donnent rendez-vous une nuit près d’un mûrier blanc. Thisbé arrive la première, mais voyant une lionne à la gueule ensanglantée elle prend peur et va se cacher en laissant tomber son voile. Quand Pyrame arrive à son tour, il voit le voile plein de sang, pense que la lionne l’a

à la fenêtre,Les fleuves de charbon monter au firmamentEt la lune verser son pâle enchantement.Je verrai les printemps, les étés, les automnes ;Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones,Je fermerai partout portières et voletsPour bâtir dans la nuit mes féeriques palais.Alors je rêverai des horizons bleuâtres,Des jardins, des jets d'eau pleurant dans les albâtres,Des baisers, des oiseaux chantant soir et matin,Et tout ce que l'Idylle a de plus enfantin.L'Émeute, tempêtant vainement à ma vitre

métal parle toutes les langues.)
Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues
Qu'il ne faut pas lâcher sans en extraire l'or !

Souviens-toi que le Temps est un joueur avide
Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c'est la loi.
Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi !
Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide. 

Tantôt sonnera l'heure où le divin Hasard,
Où l'auguste Vertu, ton épouse encor vierge,
Où le repentir même (oh ! la dernière auberge !),
Où tout te dira : Meurs, vieux lâche

NUIT ET BROUILLARD, Jean Ferrat, 1963 : 1. Avant propos : Bonjour, je suis Dorian Valis, élève en troisiéme huit. Bonjour, je suis Simon Turlan et je suis en troisiéme huit également. Nous allons vous présenter Nuit et Brouillard, une chanson de Jean Ferrat (nous voyons ici la pochette de l'album). 2. Introduction : Jean Ferrat écrit Nuit et Brouillard en mémoire pour son père et tous les autres déportés, mort lorsque Jean avait 12ans. Elle dure 3 minutes, c'est une chanson populaire engagée

de décasyllabes aux rimes féminines. Puis il supprima la ponctuation, transforma les tercets en quatrains en conservant deux décasyllabes qui encadrent deux vers de quatre et six pieds. Ainsi furent créées des strophes dites élégiaques où les vers courts, porteurs de sentiments profonds, sont plus intenses. ‘’Le pont Mirabeau’’ est formé de quatre strophes où s’intercale un refrain. Chaque strophe est composée de trois décasyllabes, le deuxième vers (de quatre syllabes) et le troisième (de six

ARTS, ETATS, POUVOIR Cinéma Nuit et Brouillard Présentation Nuit et Brouillard est une commande du Comité d’histoire de la Seconde Guerre mondiale, un organisme gouvernemental fondé en 1951, pour le dixième anniversaire de la libération des camps de concentration. D'une durée de trente-deux minutes, le film est un mélange d'archives en noir et blanc et d'images tournées en couleur. Le texte, écrit par Jean Cayrol, est lu par Michel Bouquet. Le film tire son titre du nom donné aux déportés

s’avère en réalité être un vampire.Dans l’extrait que nous étudierons Romuald, le jeune prêtre est dérangé, en pleine nuit, par un étrange personnage qui lui demande de le suivre au chevet de sa maitresse, mourante. Cet extrait se situe au début de la nouvelle, il amorce l’intrigue « Une nuit… »l1, en projetant le lecteur dans le surnaturel et l’étrange. Nous allons voir, comment ce court extrait fantastique arrive à provoquer un fort sentiment d’angoisse chez le lecteur.Nous verrons dans un premier temps

l’instant » • « Saint-Denis » • « Je ne connaissais pas Paris le matin » • « Les voyages en train » Dans l’album Enfant de la ville : • « Pères et mères » • « J’écris à l’oral » • « Enfant de la ville » • « La nuit » • « J’ai pas les mots » • « Le blues de l’instituteur » ÉCRITURE : Pour soi : Prise de notes à partir d’un support écrit et d’une communication orale ORAL : Diction (suite) : Lecture à voix haute et récitation de poèmes ayant