La Nuit De Mai De Musset

MUSSET Résumé La nuit de mai ou les vaines séductions de la poésie. La muse exhorte le poète à chanter et lui propose d'oublier son mal en laissant errer son inspiration ; mais il persiste à se taire et demeure abîmé dans sa douleur. Ne peut-il alors, suggère-t-elle, servir au public en festin poétique les souffrances de son cœur ? Il juge la tâche au dessus de ses forces et se dérobe définitivement. La nuit de décembre ou l'obsession de la solitude Un personnage qui ressemble

 Fonction des poètes du 19 e Musset , le nuit de Mai partager ses sentiments avec les autres hommes : lyrisme romantique = poésie à la première personne axée sur souffrance du poète + sur thème de l'amour . Les + importants mouvement = Musset ,Vigny, Lamartine, Hugo , T. Gauthier Victor Hugo , romans et ombres : romantique aussi , poète : prophète , observateur , penseur , poésie d'inspiration divine guide la société par utopies qu'il imagine , mène vers

Fiche lecture n°2 On ne badine pas avec l'amour Alfred de Musset Né sous le Premier Empire, le 11 décembre 1810, Alfred de Musset appartient à une famille aristocratique, affectueuse et cultivée, où l'on a le goût des lettres et des arts. Il passa toutes ses études secondaires au collège et au lycée Henri IV. Il suit des études, vite abandonnées, de médecine, de droit et de peinture jusqu'en 1829, mais il s'intéresse surtout à la littérature. Il a été élevé avec les idées de Rousseau

quoi le poème « souvenir » d’Albert de Musset est-il élégiaque ? Souvenir est un poème écrit en 1841 par Alfred de Musset, poète dramaturge français de la période romantique (1820-1850). Il est né le 11 décembre 1810 à Paris où il est décédé le 2 mai 1857. Durant 5 années de sa vie il vécut une relation tumultueuse avec la célèbre auteur, Georges Sand. Mais cette liaison prends fin définitivement en 1885. Ce fut une période douloureuse pour Alfred de Musset, qu’il exprima quelque années après

bruts, vifs et colorés et parfois une syntaxe relâchée. On pourra retenir comme œuvres et auteurs, Le Lac de Lamartine, La mort du Loup de Vigny, La tristesse d’Olympio de V. Hugo et Souvenir de Musset. début du poème "Le lac" de Lamartine Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait

Villequier de Victor Hugo ou les Nuits d’Alfred de Musset) au sonnet régulier de Baudelaire puis aux formes libres des symbolistes et à l’expression jaillissante de l’inconscient avec les Surréalistes avant la spontanéité de l’expression orale de Jacques Prévert dans Paroles par exemple. La poésie lyrique est pour le poète le canal d’expression privilégiée de sa sensibilité et de sa subjectivité que symbolise le Pélican (Nuit de mai) d’Alfred de Musset. Mais cette poésie va au-delà de la confidence

bagage culturel. Ainsi, malgré le fait que Musset, éternel romantique, et Baudelaire, instaurateur du symbolisme, appartiennent à deux courants totalement différents, leurs deux poèmes, La Nuit de mai, extrait de Les Nuits (T.A) et L’Albatros extrait de Les Fleurs du Mal (T.B) se ressemblent par leur genre et par les deux thèmes qu’ils abordent. En premier lieu, les deux auteurs s’expriment par le genre poétique sous des formes différentes. En effet, Musset choisit une forme libre d’un seul paragraphe

extrait de La Nuit de Mai Les deux premiers vers énoncent la thèse romantique de la souffrance comme moteur de la création : "Les chants désespérés sont les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots." Cela rappelle au passage que Chant = poésie lyrique, expression sentiments intimes, mélancoliques. Il y a là quelque chose qui peut paraître malsain, de masochiste ("Laisse-là s'élargir, cette sainte blessure") : nature tourmentée du poète. Les deux vers 3.4 présentent

Parce qu'elles sont prises dans leur oeuvre ; Ô sort ! fatals noeuds ! Parce que l'ortie est une couleuvre, L'araignée un gueux; Parce qu'elles ont l'ombre des abîmes, Parce qu'on les fuit, Parce qu'elles sont toutes deux victimes De la sombre nuit... Passants, faites grâce à la plante obscure, Au pauvre animal. Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, Oh ! Plaignez le mal ! Il n'est rien qui n'ait sa mélancolie ; Tout veut un baiser. Dans leur fauve horreur, pour peu qu'on oublie

une idée très précise sur son avenir alors qu’il est encore au lycée.Le 12 octobre 1822, Hugo a épousé, son amour d’enfance Adèle Foucher. Deux ans plus tard, Adèle donne naissance à leur premier enfant, Léopoldine. Ils auront en tout 5 enfants.Le 22 mai 1885, Victor Hugo meurt d’une congestion pulmonaire à l’âge de 83 ans dans son hôtel particulier « La Princesse de Lusignan ». Arthur Rimbaud Arthur Rimbaud est né à Charleville-Mézières (dans les Ardennes) le 20 octobre 1854. Sa mère, Vitalie