La Mémoire Gaulliste

république le 16 janvier1947. • La Troisième Force : Elle est constituée de l’ensemble des partis qui soutiennent les institutions et les gouvernements de la quatrième République, face à l’opposition de la gauche communiste et de la droite gaulliste. La troisième force succède donc au tripartisme. Cependant, elle était minoritaire. Il a souvent été dit que la Troisième Force était une coalition négative dont le premier but était l'anticommunisme et l'antigaullisme. Pourtant, elle avait une

le continent en deux espaces de domination. La création de l'ONU permet, un moment, d'espérer le maintien de la paix. Sujets : Le monde en 1945 ; L'Europe en 1945 ; Bilan de la 2e GM 4. Les mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France  Vichy, génocide, guerre = 3 drames qui tourmentent la mémoire nationale, sans cesse réactualisés "Un passé qui ne passe pas" (H. Rousso) ; "4 ans à rayer de notre histoire" (A. Mornet, 1949) Quel est l'état de la Fr à la Libération, comment les fr ont-ils

ministérielle. b. La crise du 13 mai 1958 Le contexte de la guerre d'Algérie précipite la chute de la IVe République (voir fiche La guerre d'Algérie). Le 13 mai 1958, une manifestation est organisée par les colons à Alger. Ils tiennent à honorer la mémoire des soldats français tués par le FLN. Ce même jour est annoncé à Paris l'investiture d'un nouveau président du conseil, Pierre Pfimlin. Celui-ci est connu pour être partisan d'une solution négociée avec le FLN. Pour les colons, cette position signifie

d’insubordination désigne le fait que « de très nombreux ouvriers ne se soumettent plus, ou difficilement, à l’ordre usinier, à ses contraintes, à ses hiérarchies ». Par l’examen minutieux de sources variées, telles que des rapports de police, des tracts, des mémoires ouvrières écrites ou recueillies, des documents émanant d’organisations syndicales, Vigna s’attache tout d’abord à dégager les faits objectifs de cette insubordination ouvrière : il décrit les principales grèves de mai-juin 68, leurs acteurs, en

d'énergie pour un Doriot toujours plus activiste que jamais, malgré la fuite des dirigeants collaborationnistes. Aussi annonça-t-il la création, le 6 janvier 1945, d'un « Comité de libération française », réplique collaborationniste de l'entreprise gaulliste en Angleterre.[] Ce Comité devait rassembler le petit groupe des exilés de Sigmaringen et assurer le pouvoir au chef du PPF. Cependant, plusieurs autres dirigeants collaborateurs se montraient encore réticents : Déat, l'éternel rival, Darnand, le

la Résistance. ● La vie politique continue cependant sans lui, chose qu’il n’avait pas réellement prévu, il devient alors un homme politique d’opposition. Fait campagne contre les 2 propositions de constitution et créer le RPF en 47, un parti gaulliste et anti-communiste. Ses succès électoraux (notamment municipaux) sont importants. ● Après le départ de De Gaule, le 1er projet de la constituante est donc refusé par le peuple. Le 2e projet, ratifié, est plus modéré (le PS et le PCF ont mis

gauche et la droite, on pouvait même être membre du RPF et membre d'un parti politique différent à l'exception de la SFIO et du MRP. Le Rassemblement du Peuple Français, fut le seul « mouvement politique » à réunir l'ensemble des gaullistes mais également, le seul parti gaulliste de l'histoire politique. Le RPF a donc la volonté de rassembler les français « qui pensent et qui se sentent  ainsi » c'est à dire dans la pensée du mouvement dans le but de construire « une France nouvelle » selon De Gaulle

THEME 1 : LE RAPPORT DES SOCIETES A LEUR PASSE CHAPITRE 1 : L’HISTORIEN ET LES MEMOIRES DE LA SEGONDE GUERRE MONDIALE EN FRANCE INTRODUCTION : La mémoire est la représentation (c’est a dire l’image) que les individus, les groupes ou les peuples se font de leur passé. La représentation signifie qu’il ne s’agit pas de la réalité, mais bien d’une perception de la réalité. La mémoire est donc subjective et est le résultat de choix opérés consciemment ou inconsciemment. De la même manière qu’un individu

la résistance n'aura pas de postérité politique sinon le gaullisme , donc fin en 1944 . Il n'y a pas eu de parti politique qui se soit construit autour de la résistance . . 1944 à la fois la victoire et la fin de la résistance . Existera dans la mémoire nationale autrement mais pas de postérité politique . Pourquoi devient-on résistant ? A/ De multiples motivations qui transcendent les clivages . 1° Un patriotisme éclairé doublé d'un refus d'accepter la défaite . Aucun plan d'ensemble

Ministre d'état en 1945. Dès 1946, il est élu Président du Conseil, jusqu'à son élection républicaine, en janvier 1947, sous la bannière de la SFIO. Durant son mandat de 7 ans, il tient le «Journal du Septennat» qui peut être considérer comme les mémoires d'Auriol pendant sa présidence. Ce socialiste aguerrit est un fervent républicain, et souhaite perpétuer la république démocratique en France. A travers l'extrait de son journal, il relate ses premiers affrontements en tant que président de la république