La Médiocrité En Littérature

rapport à la tâche à effectuer, l’action à accomplir. Ce n’est qu’au 18ème siècle que le mot art n’a plus désigné que les beaux arts et les arts décoratifs. Les beaux arts comprennent la peinture, la sculpture, l’architecture, la musique et la littérature. Les arts décoratifs comprennent la fabrication de meubles de style, la tapisserie d’art, la peinture décorative, la poterie d’art, le travail du verre destiné aux objets décoratifs, l’art du vitrail. C’est alors le mot de technique qui a commencé

MAUPASSANT Le genre littéraire : Un roman : Long récit en prose, la plupart du temps imaginé, où l'auteur cherche à éveiller l'intérêt par la peinture des moeurs, l'analyse des caractères et la singularité des aventures. Réaliste : En littérature, le réalisme est un courant qui cherche à décrire le monde et les hommes tels qu'ils sont, de manière objective et sans illusion, et non tels que l'imagination peut les idéaliser, les styliser, les épurer. Se démarquant du romantisme et de l'impressionnisme

gagné sa fortune, mais en a hérité. Gatsby parviendra-t-il à reconquérir sa bien aimée ? Nick Carraway, le cousin de Daisy, qui est un observateur lucide, nous raconte cette histoire... » Résumé tirée de « alalettre » site internet dédié à la littérature, biographie, oeuvre , auteurs, romans Nous allons donc voir en quoi ce recit developpe t-il l'idée du tragique romantique. Pour cela nous allons d'abord nous intéresser a l'identité de ce personnage qu'est nick, puis dans une seconde parti nous

Le roman – Histoire littéraire Antiquité : Epopées en vers, absence de récits en prose. Aristote : distinction récits mode narratif et mode dramatique. Fin de la latinité : Pétrone, Le Satiricon ; Apulée, L’âne d’or. Qualifiée de sous-littérature. Moyen Age : Récits en langue romane (roman) mais en vers (octosyllabes). Sujets : amour courtois, idéalisé, exploits chevaleresques. Renaissance : Récit en prose peu repris parmi les plus grands (Marot, Ronsard, Du Bellay) Rabelais : inspiration

ses oeuvres en français à partir de 1945. En tant que dramaturge, il s'inscrit dans le courant du " Nouveau Théâtre" ou " Théâtre de l'absurde" qui a vu le jour au lendemain de la Deuxième guerre mondiale et qui souligne, notamment, les faibles médiocrités de la condition humaine, ainsi que l'angoisse devant la mort. Parmi ses oeuvres théatrales, on peut citer Fin de partie, Oh! Les beaux jours et En attendant Godot dont on va étudier la fin. Après le départ du garçon, venu, comme à la fin du premier

assombries par les problèmes financiers et de santé et par la mort de ses amis 1880 mort ; enterré à Rouen ; Zola, E. de Goncourt le saluent comme le MAITRE Flaubert, contemporain de Baudelaire: comme lui, dans une position charnière dans la littérature du XIX siècle. Il se place entre le roman psychologique de Stendhal et le mouvement naturaliste de Zola et Maupassant, mais fortement influencé par Balzac, dont il reprend les thèmes sous une forme plus personnelle ( exemple : Le Lys dans la vallée

intérieur se faisait qui la déliait de lui. ‘’ 1. Niveau prétextuel Le roman ,, Madame Bovary’’ est écrite par Gustave Flaubert (1821-1880) un écrivain française, pamphlétaire de premier plan de la seconde moitié du xixe siècle, il a marqué la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme, son regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la force de son style dans de grands romans comme Madame Bovary (1857), Salammbô (1862)

En 1780, à Iéna, celui-ci est appelé « Frühromantik ». C’est un phénomène principalement littéraire et philosophique au départ. Il est à l’origine conditionné par des précurseurs nationalistes tels que Fitche. En effet, à cette époque, la littérature classique française avait été imitée par les différents Etats d’Europe et « régnait » en maître. Mais les artistes voulurent un jour se libérer de ce « joug». Cette réaction se nomme le romantisme. Ce mouvement partit d’Allemagne.  Goethe

valorisante et valorisée. • À l’inverse, héros dégradés, burlesques : Rabelais, Cervantès, romans réalistes et burlesques du baroque. 2. La nécessaire métamorphose artistique : un monde fabuleux, fantastique, fantaisiste… entre réel et imaginaire La littérature métamorphose le réel, le dépasse, le sublime par l’écriture. • Même chez les romanciers réalistes ou naturalistes, les personnages prennent une dimension fantastique. – Le vieillard de Balzac évolue dans la « couleur fantastique » d’une lumière

devient le jouet d’une fatalité qui le précipite dans un déclin moral ; Mme Raquin ouvre une boutique au bout de la rue Guénégaud parce que ses économies ne lui permettent pas de s’établir dans un lieu plus décent. Enfin, Thérèse souffre de cette médiocrité dans son sang africain habitué au soleil et non aux boutiques obscures semblables à des caveaux. Ces personnages, socialement condamnés par une société en plein essor, sont alors plus enclins aux dérives morales : l’adultère, le crime, la paresse