La Médiocrité En Littérature

Analyse du sujet doit-il > et non « peut-il ». Donc nécessité absolue, impératif. modèle > pour le lecteur / l’auteur ? héros vertueux La littérature a-t-elle un impératif moral ? I. Thèse : le personnage de roman doit être un modèle Le personnage doit représenter un idéal. La littérature veut instruire/édifier. Cf la devise Placere et docere de l’Antiquité. A- Le héros moral: Le roman doit présenter comme personnages des êtres exceptionnels

affirmation. En effet, le terme « héros » vient du grec « heros » qui signifie « demi-dieu » ou | | |« homme de grande valeur ». Le héros est ainsi traditionnellement un personnage surhumain dans la littérature épique, ou | |Sujet (répétition du sujet proposé, |du moins un personnage doué de grandeur, de qualités indéniables. Or, le roman de Maupassant, qui répond à l’esthétique | |explication des termes et des enjeux) |réaliste met

lui en l’écartant des bénéfices de « l’affaire du Maroc ». En vérité, ce Duroy, qui croit à sa valeur, à sa beauté, à son irrésistible virilité, ne peut pas supporter cette femme compétente, libérée, cette « politicienne » qui a démasqué la médiocrité et l’arrivisme d’un mari qui n’a ravi que ses sens. Lui, « homme-fille », comme le qualifie Maupassant, est jaloux de cette personnalité flamboyante, de cette dame de fer qui ne plie jamais, sinon dans quelques rares instants de désir. La haine

se sont mobilisé : certains publiant des articles élogieux, d’autres faisant jouer leurs relations. Mais c’était sans compter avec le rigorisme du Second Empire, porté par son moralisme intransigeant et son goût douteux pour l’art pompier et la littérature édifiante, ainsi qu’une censure omniprésente qui ne dit pas son nom. Le soir même, à l’issue du procès, qui n’a duré que quelques heures Baudelaire et ses éditeurs sont condamnés pour « outrage à la morale publique et aux bonnes mœurs ». Baudelaire

Du côté de chez Swann Proust Pour Proust, la littérature et l’art sont les meilleurs moyens de communication. Il est d’actualité par des biais indirects, il était quelque peu un précurseur des moyens de communication actuel. Il a développé son roman au fur et à mesure, mais ne changeant pas le début et la fin de l’œuvre. INTRODUCTION : L’INTERET DE PROUST ? «  La vie est trop courte et Proust est trop long. Je ne comprends rien à son œuvre » Anatole France Proust semble être un auteur du 19ième

clémence, indulgence, pardon. - Religieux : La miséricorde divine absolution Cette pièce a été représentée pour la première fois en 1665. Situation de cet extrait : Molière n'a pas inventé le personnage de Dom Juan, il l'a emprunté à la littérature espagnole et il a repris ce thème dans cette pièce en le développant. Cette pièce a été très contestée à l'époque : Dom Juan est un noble (Dom = seigneur), il se dit athée et professe des idées matérialistes, de plus, c'est un amateur de femmes

Conclusion Question : face aux médiocrités du quotidien, le poète ne doit-il pas renoncer à ses ambitions de jeunesse ? Réponse : Les Regrets Sonnet I, p.252, v.12-14 : Aussi ne veux-je tant les peigner et friser, Et de plus braves nom ne les veux déguiser, Que de papiers journaux, ou bien de commentaires 14 Sources • Céard, Jean/ Tin, Louis Georges : Anthologie de la poésie française du XVIe siècle. Gallimard 2005. • Prat, Marie-Hélène/ Aviérinos, Maryse : Littérature Tome 1. Moyen Age, XVIe, XVIIe

première partie du règne de Louis XIV. Le genre dominant est le théâtre (règle des trois unités, de la bienséance et de la vraisemblance). « La Querelle des Anciens et des Modernes » éclate en 1687 : opposition entre les auteurs qui soutiennent que la littérature contemporaine peut égaler celle des Anciens et les traditionalistes (Perrault est le chef de file des Modernes et Boileau celui des Anciens). Ecrivains représentatifs : Corneille (pièces de théâtre, 2ème partie de son œuvre), Racine, Molière, La

de spontanéité romanesque dont l'amour se leurrait (une ascension, en quelque sorte, et une chute inéluctable, d'un tragique de bas registre, où les deux personnages d'Emma et de Charles meurent de l'excès de leur médiocrité : le fait divers prend une dimension d'épopée de la médiocrité). Emma en devient un être maléfique et, dans sa longue et terrible agonie, l'extrême-onction prend des allures d'exorcisme. Mais le manque dont elle souffre, son désir inassouvi, puis ses actions, son étonnant courage

et blasonné à son milieu, comme la portière d’un carrosse. (I, 8, p. 115). Taureau devenu bœuf ou cheval devenu hongre, tel semble Charles depuis son mariage20, ce qui est encore amplifié dès lors qu’Emma, sa deuxième épouse, le méprise pour sa médiocrité. La castration de Charles est symbolique, mais montre l’ascendant qu’Emma exerce sur son époux et la disparition progressive de leur amour. Charles est donc un piètre époux, lors même que son prénom le destinait à en être un parfait. Il n’a rien