La Méchanceté

amorce l’argumentation qu’il entend déployer. - « et que tous ceux qui le voient en parlent comme d’un garçon qui n’a point de méchanceté » -> Le père se défend d’être subjectif en s’appuyant sur le témoignage de «  tous ceux qui le voient », ce qui va rendre d’autant plus comique le premier élément de portrait, présenté comme favorable : «  il n’a point de méchanceté » . Cette formule est en réalité comprise par le lecteur/ spectateur comme un euphémisme pour dire qu’il est benêt. Quand on parle

Exemple de début, rédigé : − Le poète : Pourquoi vous acharnez-vous sur moi ? Pourquoi tant de mépris, pourquoi tant de méchancetés à mon égard. Je ne vous ai rien fait de mal. En quoi le poète peut-il vous déranger ? − L’homme d’équipage : Vous ne nous dérangez pas, vous nous irritez ? À quoi servez-vous donc sur cette terre ? À rien. Vous êtes là, à rêver, à ne rien faire, les cheveux dans le vent et les yeux dans le vague. Vous errez l’air triste. Mais vous ne faites rien ! − Le poète : Mais

jeunes, terrorisés à l’idée de dévoiler leurs sentiments. Leurs aventures psychologiques à la fois complexes et naïves se déroulent sous le regard des plus vieux (les parents) et des spectateurs qui se moquent dans un mélange d’indulgence et de méchanceté. On note que les comédies de Mariveaux ne sont jamais marquées par un dénouement bouleversant. En effet à la fin de chacune d'entre elles, tout rentre dans l'ordre. De plus, ses comédies sont très «prenantes» dans le sens où il mêle des histoires

qu'il vient de créer, il le qualifie de "malheureux, misérable monstre". La déception d'un travail vain prédomine ses sentiments "une horreur et un dégoût sans borne m'emplissait l'âme". Paradoxalement, dans le texte Robert Louis Stevenson, la "méchanceté", la "difformité" et la "déchéance" qui symbolise le côté funeste de l'homme sont fascinant pour son auteur; il est subjugué par ce versant de sa propre personnalité qu'il découvre pour la première fois pleinement. Il le qualifie même de "naturel

Guy de Maupassant (1850-1893) est un écrivain français. Ses romans, ses contes et ses nouvelles, entre réalisme et fantastique, mettent en scène la méchanceté et l'horreur ordinaires. Né à Fécamp (en Normandie), Guy de Maupassant coule une enfance heureuse dans la campagne normande. Après des études de droit interrompues par la guerre de 1870, il commence une carrière de fonctionnaire à Paris. Peu assidu au travail, préférant les guinguettes et la compagnie des femmes, il découvre, sous l’influence

bornée, il doit aussi se passer de père, le sien étant méprisé, humilié, et ne valant guère mieux, tout professeur qu'il soit, que son obtuse épouse. Que cet enfant ait pu grandir et se développer intellectuellement malgré le poids de bêtise de méchanceté et de mesquinerie posé sur sa tête pensante, c'est un premier miracle. Qu'il ait été en mesure d'en faire une oeuvre, c'est sûrement la seul iissue qu'il a trouvée. Une résilience, en quelque sorte…. Sinon dans l’ensemble une oeuvre tres bien faite

extrait des pages 32 à 34 est une description détaillée et complète de la statue.Le narrateur part tout d’abord d’une simple description de la Vénus. Il va ensuite sous-entendre le fait qu’elle soit vivante et finira par exprimer le sentiment de méchanceté qui dégage de cettestatue. Le texte propose donc une description de la Vénus. Elle est très attendue. En effet, tous les personnages, lieux et évènements ont déjà été présentés. C’est donc au dernier moment quel’exposition que la statue est décrite

l’hypocrisie féminine : sorte de Tartuffe féminine : ironie omniprésente sur la scène. Conclusion Célimène montre son talent oratoire en ce qui concerne les portraits satiriques. Derrière ce langage, il y a un portrait cruel et blessant, une méchanceté avec des propos assassins qui s’appuient sur des procédés rhétoriques.

avec une joyeuse férocité. Guerre entre jésuites et la royauté espagnole dans la lointaine Amérique. Guerre entre Français et Anglais pour le Canada = terre sans valeur au climat rigoureux Guerres aux causes futiles où s’étalent la bêtise et la méchanceté humaine. * La pauvreté qui conduit à la mendicité. * L’hypocrisie et le fanatisme religieux : Les protestants hollandais qui refusent d’aider un frère dans la peine. Les catholiques portugais où l’Inquisition espionne et viole les

le comportement du « méchant », rend compte de ce penchant : « sans la satire amère, sans la raillerie insultante, il serait toujours triste ; le ris moqueur est son seul plaisir ». Si le « méchant » chez Rousseau ne trouve le plaisir que dans la méchanceté, Thérèse, dans Les âmes fortes, accorde au plaisir le privilège de succéder à la réussite : « Si elle a fait quelque détour (…) c’était pour mieux réussir. D’abord. Et ensuite pour faire durer le plaisir». Chez Shakespeare, Macbeth perpètre le régicide