La Méchanceté

La Boetie p24 E. de la Boétie est agé de 19 ans lorsqu’il va écrire son œuvre -> maturité impressionante Pamphlet : texte attaquant souvent avec méchanceté un personnage ou une institution. C’est un texte qui est utilisé par les protestants pour attaquer le roi. Plaidoyer, contraire de requisitionner Construction des phrases : longues Ponstuations fortes -> beaucoup de questions. Compassion du peuple Enumération Objectif du discours : Opposition vous/il L7 et 8 « ennemis »->

indifférent avec le monde qui l’entoure, il n’a pas peur des scandales et c’est un personnage désabusé de l’existence. En premier lieu, Hervé Jodoin peut être qualifié d’antihéros, car il ne possède aucune qualité traditionnelle : la paresse, la méchanceté, l’agressivité, la fermeture, le manque d’imagination, la ruse, le cynisme, l’indifférence et la volonté d’inaction. Tel que le prouve de nombreux ‘’peu importe’’ (p.13, 35, 41, 91,142) ou ‘’ça n’avait pas d’importance’’ (p.7, 8,136) qui parsèment

c’est tourné vers la nouvelle vers 1875. Il a collaboré avec les écrivains naturalistes aux "soirées de Médan" (1880) en publiant Boule de Suif. Sa vie été guidée par son seul idéal littéraire et son fort attachement au réalisme mettant en scène la méchanceté humaine et l'horreur ordinaire. Il a publie au total six romans et seize volumes de nouvelles, entre réalisme et fantastique, qui lui apportent, grâce à son talent de conteur, célébrité et fortuné. Voici quelques œuvres de Guy de Maupassant :

(pensent-ils) Scène 2Tartuffe entre dans la pièce. Dorine lui annonce qu'Elmire va arriver d'un instant à l'autre pour lui parler. Scène 3 Entre Elmire. Au fil de la conversation, Tartuffe lui déclare sa flamme. Elmirele repousse, mais sans méchanceté et dit qu'elle ne dira rien sur cette folie à condition que Tartuffe refuse de se marier avec Marianne. Scène 4 Damis, qui écoutait toujours, sort de sacachette et crie qu'il va prévenir Orgon. Scène 5 Entre alors Orgon. Damis dénonce Tartuffe

son être qui s’affrontent en lui et le déchirent. Spleen = le mal sous toutes ses formes : la souffrance physique, la maladie, l’ennui, la routine, la vie quotidienne qui donne l’impression de sombrer, les sentiments mauvais (colère, haine, méchanceté). Idéal = le bien (les bons sentiments) et le bonheur (la joie intérieure) + l’élévation et l’épanouissement de son être. Cette double postulation, ces 2 tendances, Baudelaire les perçoit dans tous les aspects de son existence et surtout

les choque. On s'est tellement senti trahi par tant d'évènements personnels ou non qu'on ne laisse plus la chance aux bienfaiteurs de prêcher leurs bonnes paroles. C'est triste. Nous n'avons pas un gramme de méchanceté en nous. Juste quelques rêves à faire partager. Seulement la méchanceté a détruit vos rêves et a mis en quarantaine vos utopies. On ne cherche plus à faire le bien, ni même le sien. Rien ne vous convient et vous partez vaincus d'avance. Laissez vous déjà une chance à vous-même avant

c'est le personnage le moins sympathique. Maupassant semble lui avoir donner presque tous les défauts humains comme l 'hypocrisie, le mensonge, l'égoïsme, l'indifférence, la lâcheté, l'intérêt, l'infidélité, la violence, la superficialité, et la méchanceté. Grand, jeune, élégant, le vicomte Julien de Lamare réussit son entrée en scène et séduit la baronne et le baron page 39. Pour lui ce mariage arrange sa situation matérielle car il devient le maîtres des Peuples. Une foie marié il montre son

à l’orgueil ou à l’humilité. Compassion : malaise qui nous saisit lors de souffrance d’autrui. « Il semble que la comparaison de nous-même avec les autres soit la source de l’envie et de la méchanceté. Plus l’autre est malheureux et plus nous nous figurons heureux. » Compassion bienveillance Envie méchanceté « Un partenaire est naturellement un objet d’amitié, un rival un objet d’inimité. » La compassion portée à une personne peut avec le temps se transformer en mépris. La passion amoureuse se compose

fixant sur sa bosse, regard intransigeant et méchant mais ayant le mérite de le faire exister du point de vue des rapports sociaux, et qui se double d’un second effet, tout aussi redoutable : l’accès à la connaissance et de fait, la découverte de la méchanceté des hommes et de la dureté du monde (« -Tu es bossu, non ? […] // Il n’avait pas compris que sa courbure, à lui, était anormale, qu’il était différent de tous les autres, et que, pour cette différence, on ne disait pas de lui « un enfant » ou «

Le Rouge et Le Noir de Stendhal Extrait n°2 – Livre second chap. XVII p.394 à p.395 - l. 89 à 124 La vie et l’œuvre de Stendhal sont profondément marquées par l’Histoire : il est tout jeune lorsque débute la Révolution française, participe à l’épopée napoléonienne puis, devenu indésirable en France sous la restauration, il part en Italie et est contraint de vivre de sa plume. Désireux, ainsi qu’il l’affirme, d’« être le successeur de Molière », il est un fin