La Méchanceté

révèle les hommes à eux-mêmes : plaisir de dessiner du garde-chasse de Mikkeli, intérêt pour la botanique du chauffeur de taxi de Mikkeli, découverte de la natation par Kurko, mais aussi violence du pasteur Laamen, violence de Kaartinen, ou encore méchanceté imbécile et violente des voisins de Karjalhoja. Double ou "âme visible" de Vatanen, celui-ci se transforme et "grandit" au rythme du lièvre jusqu'à l'affrontement final et victorieux avec l'ours.

est fière mais pas méchante, Mais tu sais, les gens se fichent de ça. Pour eux, elle est juste une salope. Une salope qui a tout donné pour être avec celui qu'elle aime. Il s'est foutu d'elle et tu vois ce qu'elle récolte ? Indifférence, solitude, méchanceté gratuite. Tu t'es rendu compte de ses cernes ?Elle a mis du fond de teint, ça se voit, mais elles sont toujours présentes. Ancrées dans sa peau, laissant la trace de toutes ses larmes, de toute cette peine qu'elle tente en vain d'évacuer. Parce

ce soit sur cette propriété. Au nom de Jésus et par la puissance de son esprit, je détruis l’effet de toute parole qu’on aurait pu prononcer contre moi ; je détruis, j’annule l’effet de tout geste, de toute cérémonie pouvant susciter une méchanceté sur moi. Au nom de Jésus, je me relève de tout parole, de tout geste, Toute cérémonie, capables de provoquer une angoisse, un trouble, une oppression, une maladie et une malédiction quelconque. Au nom de Jésus, je coupe tous les liens négatifs

oxymore des le titre de son recueil. Car il met dans une même phrase les mots « fleurs » et « mal ». Car les fleurs sont belles, délicates, fraiches elles expriment la pureté… alors que le mot mal est tout le contraire la laideur, la souffrance, la méchanceté. Donc dans ce titre ressort une certaine beauté le mot « mal » est atténué par « beauté ». De plus il s’agit de poèmes, ces poèmes traites de sujet assez médiocres mais le fait d’en parler sous forme de poème qui est un art et donc qui a une certaine

colère ardente du firmament. Un soulagement. La petite ne ressent plus la tension qui si souvent lui opprime les épaules. Elle est en accord avec elle-même, le ciel ayant eu pitié de son trop plein d'animosité, la soulage pour une soirée. Une telle méchanceté dans des yeux si calmes, un tel désir de vengeance dans un corps si chétif... Les gens ne pensent pas, n'imaginent pas... Ils s'en fichent, lèvent les yeux au ciel devant des simulacres pareils, ricanant bêtement devant la possibilité d'un quelconque

Charles trouve du réconfort auprès de Juliette, sa jeune cousine aveugle. Celle-ci tente de lui apprendre la patience et la sagesse. Mais le bon petit diable ne pense qu’à jouer des tours, à échafauder de curieux stratagèmes pour contrer la méchanceté de Mac Miche. Celle-ci finit par le placer dans une pension d’où il réussit à se faire renvoyer. Le juge en charge de l’enfant exige de Madame Mac Miche la restitution de l’argent destiné à Charles. Charles est recueilli par ses cousines Juliette

son attitude par rapport à la vie, aux autres, au travail, aux traditions, à la famille… 1. Comment construire un portrait L’impression générale Une impression générale se dégage du personnage : la beauté, la force, la fierté, la maladresse, la méchanceté, l’hypocrisie, la puissance, le courage, la faiblesse… On détermine l’impression générale à donner avant de faire le portrait. 3. Procédés d’écriture • Utilisez un vocabulaire précis • Le portrait sera enrichi par des comparaisons, des métaphores

cruauté Affectée, et l’air très faux De sale méchanceté Dont, bête, tu te prévaux J’aime ta lasciveté ! Et quoiqu’en dépit de tout Le trop factice dégoût Que me dicte ton souris Qui m’est, à mes dams et coût, Rouge aux crocs blancs de souris ! Je t’aime comme l’on croit, Et mon désir fou qui croît, Tel un champignon des prés, S’érige ainsi que le Doigt D’un Terme là tout exprès. Donc, malgré ma cruauté Affectée, et l’air très faux De pire méchanceté, Dont, bête, je me prévaux, Aime ma simplicité

Tandis qu’il ya des couples insoucieux Il ya des personnes censé Mais malgré le monde est rempli de méchanceté « Oui sous ce ciel bleu il y’en a ». Jusqu’à quand Quand la guerre cessera t’il enfin ? Car personne ne spécule à un bon lendemain Le bonheur est incertain Pendant que le monde touche vers sa fin. Quand cessera la haine et la méchanceté ? Quand cessera la guerre et l’immoralité ? Quand dira-t-on que la guerre a enfin terminé

cou à la statue, de lui arracher les yeux, jet de pierres. Dans les deux cas, il y a agression de la statue et rétorsion. La méchanceté attribuée à la statue est renvoyée par le fait qu’elle fait naître le désir d’agression des autres. C’est une projection. Elle ne fait pas naître seulement des sentiments agressifs mais aussi des sentiments de haine, à cause de sa méchanceté.« Germanicus » est le père d’Agrippine, elle est l’archétype de la mère toute-puissante. On la retrouve dans « Britannicus »