La Mouette et le Chat

Il faut dire qu’Ernest et Célestine est le fruit d’une réunion de talents inattendue : d’un côté, Benjamin Renner, fraîchement sorti de l’école de La Poudrière à Valence et remarqué grâce au court La Queue de la souris proposé avant Une vie de chat. De l’autre, les deux créateurs géniaux de Pic Pic André, Vincent Patar et Stéphane Aubier, qui ont insufflé leur esprit anarchisant et leur humour farfelu à ce film euphorisant, à voir et à revoir quel que soit son âge et son obédience (ours ou

mulot, mésange, vairon, lézard, faucon crécerelle. 30 La montagne Animal : truite, crapaud, araignée, geai, cerf, marmotte, isard, mouche, gypaète, lièvre, lombric, écureuil. 31 La mer Animaux : Moule, couteau, crabe, crevette, mouette, sole, palourde, anguille, truite, cormoran, moustique, bigorneau. 32 VEGETAL Pin Mousse Laitue de mer (ulve) Lichen Epicéa Ciste Fougère Chêne vert Arbousier Pommier Cerisier Polypode 33 Caractères

nous partîmes, des gens au loin nous souhaitaient l'aurevoir et le bon voyage en agitant fierement la main.. Bandlat : SHIT I WANT THE BOAT, COMEBACKKKKK ! Le soleil se couchait et le bateau dechirait les vagues, je m'endormis. Jour 3 Les mouettes hurlaient, la terre etait proche! Tous excités, je remercia le capitaine du bateau pour ce voyage en toute tranquilité : Aylian : Merci infiniment capitaine, ce fut un voyage d'une grande qualité. Nous vîmes la mer comme jamais, je ne sais comment

Ne trouves-tu pas que ces iris sont d’une couleur inhabituelle ? .désigner. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .............. reprendre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2. Chloé a adopté un chat, or ce chat était celui de ses voisins. . . . . . . . . . . . . . . . . . 3. J’ai acheté un bureau, mais ce meuble est trop grand. . .reprendre. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ................ 4. Nous allons

faut pas non plus peser dessus parce que ça ouvre encore et ça fait encore plus mal. Une fois j’étais sur un huit et demi par onze de gazon et je m’amusais à mettre des brindilles sèches entre mes pouces puis à y souffler pour faire des bruits de mouette qu'on étrangle. Mon voisin de pallier était jaloux de ce talent particulier (pas que je ne fût jamais jaloux du talent des autres) et il m’arracha des mains l'herbe tranchante. Sur le coup je n'ai rien sentis mais elle m’avait profondément entaillée

Soulignez les déterminants démonstratifs et indiquez s’ils servent à reprendre ou à désigner. désigner 1. Ne trouves-tu pas que ces iris sont d’une couleur inhabituelle ? ������������������������������������������ reprendre 2. Chloé a adopté un chat, or ce chat était celui de ses voisins. ������������������������������������������������� reprendre 3. J’ai acheté un bureau, mais ce meuble est trop grand. ����������������������������������������������������������� désigner 4. Nous allons passer

La terre entière, humanité comprise, prenant source de vie dans l'eau. L'Océan montant à l'assaut du ciel le long de la falaise et, jusqu'aux cimes, le long des cèdres hérissés. Un cheval blanc court et s'ébroue sur la plage. Mon cheval. Deux mouettes s'enlacent dans le ciel. Une vague vient du fond du passé et, lente, dandinante, puissante, déferle. Explose et fait exploser les souvenirs comme autant de bulles d'écume. Souffrance et amertume d'avoir tant lutté pour presque rien : pour être

gueule ! — Vous confondez : si vous êtes l’assassin, vous êtes aussi la victime. — Je ne peux pas mourir dans des conditions pareilles ! Elle était bien loin, l’indifférence que j’éprouvais quelques instants auparavant, elle s’était envolée avec les mouettes, au large, et devait s’amuser, au-dessus des récifs, à se laisser porter, immobile, par le vent. 7 — Je veux être seul. Je veux que ce moment n’appartienne qu’à moi. Je veux être tranquille. Comment pouvez-vous rester à côté d’un homme qui

blafarde et solennelle, une Nuit mélancolique et lourde d'été, Pleine de silence et d'obscurité, Berce sur l'azur qu'un vent doux effleure L'arbre qui frissonne et l'oiseau qui pleure. CAPRICES A Henry Winter. I FEMME ET CHATTE Elle jouait avec sa chatte; Et c'était merveille de voir La main blanche et la blanche patte S'ébattre dans l'ombre du soir. Elle cachait—la scélérate!— Sous ces mitaines de fil noir Ses meurtriers ongles d'agate, Coupants et clairs comme un rasoir. L'autre

mangeant le morceau de pain. Il le cassait par petits bouts, pour le faire durer, et il marchait et mangeait sans se presser. Il paraît qu'il vivait surtout de pain, à cette époque-là. Tout de même il gardait quelques miettes pour donner à des amies mouettes. Mondo Il y avait beaucoup de rues, des places, un jardin public, avant de sentir l'odeur de la mer. D'un coup, elle arrivait dans le vent, avec le bruit monotone des vagues. A l'extrémité du jardin, il y avait un kiosque à journaux. Mondo s'arrêtait