La Mer Chateaubriand

souvient; ce qui, du passé, fortuitement ou par l'effet d'un rappel volontaire, revient à l'esprit, est reconnu par la conscience comme passé et généralement rattaché par le sujet à un moment précis du passé (d'apr. Morf. Philos. 1980). Pour Chateaubriand, « Les souvenirs sont comme les échos des passions; et les sons qu'ils répètent prennent par l'éloignement quelque chose de vague et de mélancolique qui les rend plus séduisants que l'accent des passions mêmes... » l'ennui, est l'apparition de

1° Etude de l’extrait. 2° Parallèle avec des textes du Romantisme : a- CHATEAUBRIAND, Le Génie du Christianisme, I, 5, chap.12, la lune. b- CHATEAUBRIAND, René, « Levez-vous vite, orages désirés ». c- LAMARTINE, Méditations Poétiques, « Le Lac ». IV DEVOIR SUR TABLE: 1° Analyse de l’extrait n°4 de Madame Bovary : la promenade en barque avec Léon. 2° Comparaison de quatre extraits sur la mort de l’héroïne : a- CHATEAUBRIAND, Atala. b- BERNARDIN DE SAINT PIERRE, Paul et Virginie. c- FLAUBERT, Madame

1° Etude de l’extrait. 2° Parallèle avec des textes du Romantisme : a- CHATEAUBRIAND, Le Génie du Christianisme, I, 5, chap.12, la lune. b- CHATEAUBRIAND, René, « Levez-vous vite, orages désirés ». c- LAMARTINE, Méditations Poétiques, « Le Lac ». IV DEVOIR SUR TABLE: 1° Analyse de l’extrait n°4 de Madame Bovary : la promenade en barque avec Léon. 2° Comparaison de quatre extraits sur la mort de l’héroïne : a- CHATEAUBRIAND, Atala. b- BERNARDIN DE SAINT PIERRE, Paul et Virginie. c- FLAUBERT, Madame

retourne vivre dans le quartier du Val de Grâce à Paris. De retour à Paris, Victor Hugo grandit auprès d'une mère tendre et assez libérale. 1816 Il s'adonne aux lettres et dès 1816, alors qu'il n'a que quatorze ans, qu'il note : "Je veux être Chateaubriand ou rien". 1817 L'Académie, à l'occasion d'un concours qu'elle organise, est a deux doigts de lui décerner le prix; mais le titre du poème de Victor Hugo, Trois lustres à peine, suggérant trop le très jeune âge du poète, effraye les jurés. Le

s'efforcent de donner des descriptions, des relevés, des détails des édifices visités, et qui ont donc peut-être moins d'ambitions littéraires. Le voyage d'Orient de Le Corbusier, par ses qualités tend peut-être plus à se rapprocher des récits de Chateaubriand, de Gérard de Nerval, de Théophile Gautier ou encore de Flaubert. « Le verbe de Le Corbusier y est incisif et poétique» phrase du livre Le Corbusier, moments biographiques. On peut par ailleurs remarquer des similitudes entre les écrits de Le

deviendra sa femme en 1822, malgré l'opposition de ses parents et la jalousie de son frère Eugène, qui sombrera peu à peu dans la folie. Participant à des concours poétiques, il se fait connaître et commence à fréquenter les milieux littéraires (Chateaubriand, Vigny) ; l'octroi d'une pension royale lui permet d'envisager de se consacrer entièrement à son œuvre. Il devient peu à peu le chef de file incontesté du Cénacle romantique (Dumas, Gautier, Musset, Nerval, Nodier et d'autres écrivains de la génération

Hugo retourne vivre dans le quartier du Val de Grâce à Paris. De retour à Paris, Victor Hugo grandit auprès d'une mère tendre et assez libérale. Il s'adonne aux lettres et dès 1816, alors qu'il n'a que quatorze ans, qu'il note : "Je veux être Chateaubriand ou rien". 1817: L'Académie, à l'occasion d'un concours qu'elle organise, est a deux doigts de lui décerner le prix; mais le titre du poème de Victor Hugo, Trois lustres à peine, suggérant trop le très jeune âge du poète, effraye les jurés. Le

-Georges Sand (1804 – 1876), écrivaine française, La Mare au diable (1846). -Honoré de Balzac (1799 – 1850), écrivain français, Les Chouans (1829). -Charles Baudelaire (1821-1867), poète français, Les Fleurs du mal (1857). -François-René de Chateaubriand (1768 – 1848), écrivain et diplomate français, Le Génie du Christianisme (1802). -Charles Dickens (1812 – 1870), écrivain anglais, Oliver Twist (1837-1838). -Alexandre Dumas (1802 - 1870), romancier français, Les Trois Mousquetaires (1844).

se trouve dans une position physiquement dominante . - Analyse comparative avec une peinture de GASPAR DAVID FRIEDRICH, LE VOYAGEUR AU-DESSUS DE LA MER DE BRUME (1818) Gaspar David Friedrich est le chef de file de la peinture romantique allemande du XIXe siècle. C’est donc un contemporain à Stendhal. Le voyageur au-dessus de la mer de brume décrit un homme représenté en vêtement de ville et tenant une canne. Il se dresse sur un haut rocher au-dessus de nuages et regarde la montagne la

Voyons par exemple au chapitre IV de La Regenta, la description de ces «pavorosos acantilados (...) que caen a pico sobre el mar», de ces pins, de ce torrent, et nous pensons immédiatement à Emma Bovary qui parle avec Léon des paysages «au bord de la mer, surtout (...) dont la contemplation vous élève l'âme et donne des désirs d'infini, 4 Pour l'espace dans Madame Bovary, voir Auerbach (1968: Chap. 18), Vargas Llosa (1975) et Bancquart (1973). Pour La Regenta, Bobes Naves (1985: 196-216). 5 Pour le