La Meditation Nietzsche

substance ou non, ne vient pas d’une thèse cartésienne forte qui consiste à soutenir que le moi est une chose qui pense. Comment D. en arrive-t ’il à cette thèse que le « moi » est une chose qui pense. Voici comment D. résonne en substance dans les Méditations : - Je veux trouver un fondement sûr et certain de ma connaissance, ce qu’il appelle une vérité claire et distincte. Autrement dit je veux construire l’édifice de la connaissance sur une vérité absolument solide car sans certitudes absolues pour

l'histoire de l'esthétique que Heidegger retrace dans son cours sur Nietzsche. L'histoire de l'esthétique suit pour Heidegger cette histoire de la difficulté à penser la chose pure et simple qui est la difficulté à penser l'être expérimentée dans la métaphysique occidentale. L'esthétique suit les grandes étapes de la métaphysique. A chaque époque de la métaphysique correspond une forme de l'art. Dans la première partie de son cours sur Nietzsche, intitulé « La volonté de puissance en tant qu'art », Heidegger

et, au reste, ne doit point l'être. Et je tiens, comme principe des principes, qu'il faut ouvrir un large crédit et chercher le bien, c'est-à-dire présupposer le bien. Celui qui espère beaucoup de l'homme est le mieux servi. ALAIN. 1,80 € La méditation a perdu toute sa dignité extérieure ; on a tourné en ridicule le cérémonial et l'attitude solennelle de celui qui réfléchit ; on ne pourrait plus supporter un sage de la vieille école. Nous pensons trop vite, et en pleine marche, en chemin, au milieu

La conscience est un phénomène psychique permettant d'avoir la représentation mentale des actes que l'on accomplit, comme une sorte de « miroir », selon le mot de Nietzsche. La conscience est une faculté mentale de réflexivité de nos actes, de notre existence et de notre personnalité. Nous avons en effet conscience d'avoir conscience. Consciences immédiate (Fondement de notre présence, connaissance de soi. Forme d'échappement vers quelque chose) / réfléchie Analyse du moi-sujet : En distinguant

l’art un statu ontologique (discours sur l’être) et un rôle messianique absolument inédits mais cette sanctification de l’art est justifié par un discours extérieur (esthétique = philosophie de l’art). 3. Nietzsche Nous venons de voir que Hegel traite de l’art à partir de la philosophie, Nietzsche va affirmer une identité fondamentale de l’art et de la philosophie. - La naissance de la tragédie, 1872. Il distingue deux archétypes fondamentaux de l’art grec qui manifeste deux principes ontologiques

Introduction: Les philosophies du sujet, et par extension la conscience de soi, sont des notions sur lesquelles la philosophie moderne se base. Descartes, considéré comme promoteur des ces philosophies du sujet, recherche dans cet extrait de la méditation seconde, la première vérité « certaine et indubitable » qui n’est pour lui, autre que le cogito « je pense, je suis ». Comment Descartes passe donc du doute radical, méthodique et hyperbolique

l'erreur et la tromperie, marques de mon impuissance et de ma finitude, la certitude et la vérité comme « connaissance claire et distincte », preuves de mon existence d'être pensant, et que l' « âme est plus aisée à connaître que le corps » ( voir Méditations métaphysiques) b) La vérité comme horizon de la recherche scientifique : Descartes et Malebranche à la recherche d'une méthode pour « bien conduire sa raison » c'est-à-dire se donner les moyens de prendre une chose pour vraie si je peux en reconnaître

influence ses actions malgré lui ; enfin la conscience peut être consciente de l’illusion de soi. De prime abord, l’homme est nécessairement conscient de lui-même. L’expérience de la pensée fonde la conscience de l’homme. Descartes dans ses Méditations métaphysiques utilise la méthode sceptique (aussi appelée le doute méthodique) pour arriver à un objectif : fonder la science sur des vérités solides. Pour arriver à une certitude, Descartes procède en doutant de tout ce qui est incertain jusqu’à

complexes à partir d’éléments simples (modélisation à l’aide PLATON : Ménon, Lachès, Hippias majeur, La République, livres VI et VII ARISTOTE : Métaphysique SPINOZA : Traité de la réforme de l’entendement L’origine « D’où cela provient-il ? » NIETZSCHE : La Naissance de la tragédie La Généalogie de la Morale FREUD : Malaise dans la civilisation Daniel. C. DENNETT: Darwin est-il dangereux? d’un algorithme, par exemple la sélection naturelle). L’existence « Est-ce que ceci existe S’interroger

le monde existe ou pas, je suis. Mais la conscience est un vécu qui ne se construit pas sur mon savoir ou ma perception mais sur ce qu’il vise. « Toute conscience est conscience de quelque chose », a ainsi démontré Edmund Husserl (cf. Husserl, Méditations cartésiennes, 1929). Toute conscience porte en lui son cogitatum (chose, objet qui est pensé) auquel il se rapporte et dont il se distingue. Autrement dit, toute conscience est relation à autre chose qu’elle-même. Se rapporter à quelque chose suppose